Grève à la TÉLUQ : Manifestation de soutien en marge du conseil fédéral de la FNEEQ à Québec


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Les membres de la délégation du SPPEUQAM, en conseil fédéral de la FNEEQ à Québec, ont participé à une manifestation de soutien pour le Syndicat des tuteurs et tutrices de la télé-université devant les bureaux de la TÉLUQ dans la Capitale nationale. Cette action de solidarité, de revendication et de visibilité à laquelle ont participé plus de 250 personnes visait à dénoncer l’immobilisme et la mauvaise foi de la partie patronale dans ce conflit qui dure depuis beaucoup trop longtemps.

Grève générale illimitée à la TÉLUQ


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Les membres du Syndicat des tuteurs et tutrices de la TÉLUQ ont voté à 84% en faveur de la grève générale illimitée jeudi dernier.

Voici la description du déroulement de cette assemblée telle que parue sur la page Facebook du STTTU:

« Exaspérés par l’attitude de leur employeur à la table de négociation, les tutrices et les tuteurs de l’Université TÉLUQ ont voté hier soir à 84% en faveur de la grève générale illimitée à exercer au moment jugé opportun.

Pour Nancy Turgeon, présidente du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université – CSN (STTTU), le changement de cap escompté à l’arrivée du directeur général, André G.

TÉLUQ : Le jour de la marmotte


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Plus ça change, plus c’est pareil à la table de négociation entre le Syndicat des tutrices et tuteurs de la Télé-Université et la TÉLUQ.

On avait pensé que l’arrivée du nouveau Directeur général par intérim de l’institution, M. André G. Roy, permettrait enfin aux choses de progresser, mais force est de constater que l’on pourrait tout aussi bien être dans le film culte de Bill Murray tellement les derniers jours ont un air de déjà vu.

En effet, la nouvelle offre patronale est presque identique à celle qui avait été déposée à la table de négociation en novembre 2017.

Ce qu’on veut, essentiellement, du côté de la TÉLUQ, c’est de faire disparaître la profession de tutrice ou tuteur.

Opinions : Statut de « professeur-e-s sous contrat » à la TÉLUQ

Depuis la démission du président du SPPTU, les débats et les sorties publiques se multiplient par rapport au dossier de la TÉLUQ, mais plus particulièrement en ce qui a trait au virage vers la privatisation adopté par certaines universités.

Ricardo Penafiel, chargé de cours au Département de sciences politiques, a publié un article sur la question pour la revue sociale et politique À babord dans lequel il dénonce ce qu’il perçoit comme l’inaction du SPPTU face aux nombreuses sorties et interpellations du STTTU dans le dossier de la privatisation de la Télé-université et l’illégalité de la création du statut de «professeur-e-s sous contrat» entériné par la convention collective signée par les professeur-e-s de la TÉLUQ.

Appeler un chat un chat


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On en parlait à mots couverts depuis plusieurs mois, on tournait autour du pot pour ne pas dire les choses telles qu’elles sont, on mettait des gants blancs pour éviter les termes alarmants, mais c’est finalement arrivé en une de Radio-Canada : l’embauche par la TÉLUQ de la firme privée MATCI constitue de la privatisation… et pas n’importe quel genre de privatisation, une privatisation illégale, faisant présentement l’objet de trois enquêtes et pour laquelle les têtes ont déjà commencé à tomber.

Alors que l’Institut MATCI, prétendant sur Facebook être une université, était rendu à encadrer plus du tiers des effectifs de la TÉLUQ, il ne s’agissait pas seulement de « sous-traiter » certains services, de « complémenter » l’offre de services éducatifs ou de faire une « transition » dans le modèle d’enseignement, contrairement à ce que certains s’évertuaient à dire.

Enfin des bonnes nouvelles pour les tuteurs et tutrices de la TELUQ


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Le directeur général de la TELUQ, Martin Noël, s’est fait montrer la porte (ou «suspendre pour une durée indéterminée») par la ministre responsable de l’Enseignement supérieur, Hélène David, à la fin du mois de juillet.

Les raisons évoquées font état d’anomalies sérieuses et de non-respect de lois régissant l’enseignement supérieur, notamment dans le dossier du contrat signé par la TÉLUQ avec la firme privée MATCI qui encadre aujourd’hui 37% des étudiant-e-s de l’institution.

Le départ de M. Noël représente une première «bonne nouvelle» pour les tuteurs et tutrices de la TELUQ qui ont vécu des moments difficiles depuis 2016.

En effet, suite à la signature du contrat avec MATCI en septembre 2016, plus de 20% des tuteurs et tutrices avaient perdu leur emploi, voyant leurs tâches disparaître au profit de contractuels privés.

Partenariat TÉLUQ-MATCI : la FNEEQ–CSN devant les tribunaux


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La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ–CSN) salue la décision de la ministre de l’Enseignement supérieur, madame Hélène David, de confier à son ministère le mandat d’effectuer des vérifications auprès de l’Institut MATCI Montréal. La FNEEQ–CSN tient cependant à rappeler qu’elle dénonce sur toutes les tribunes la situation à la TÉLUQ depuis plusieurs mois malgré les tentatives d’obstructions et les mises en demeure de l’Université. Lundi matin, la FNEEQ–CSN a déposé une requête demandant l’émission d’une injonction provisoire et permanente à l’encontre de MATCI Montréal. La fédération prétend que l’entente TÉLUQ-MATCI est illégale en fonction de la Loi sur les établissements d’enseignement de niveau universitaire, la Loi sur l’Université du Québec et les règlements de l’UQ.

Privatisation partielle de la TÉLUQ : des milliers de signatures pour appuyer les tuteurs et les tutrices


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Alors que l’administration de l’Université TÉLUQ persiste dans l’opération de mises à pied de la presque totalité de ses tuteurs et tutrices, des représentant.es de toutes les universités québécoises sont venus appuyer vendredi midi le Syndicat des tuteurs et des tutrices de la Télé-université-CSN (STTTU). La présidente du syndicat, madame Nancy Turgeon, doit rencontrer, à cette occasion, le directeur général, Martin Noël, à son bureau de la rue du Parvis à Québec pour lui remettre des cartes de protestation signées par près de trois mille étudiant.es, enseignant.es et citoyen.nes. Cet appui de la communauté a accru la détermination des tuteurs et des tutrices qui s’opposent au transfert de l’encadrement des étudiantes et des étudiants à une entreprise privée, l’Institut MATCI, et à des professeur.es

La TÉLUQ se débarrasse en douce de ses tuteurs


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Quelques semaines après avoir été invité, l’automne dernier, à la Fête de la reconnaissance pour me remercier de mes 25 ans de services et de la grande qualité de mon travail, j’ai appris de source informelle que la TÉLUQ souhaitait remplacer toutes les personnes tutrices par du nouveau personnel et que mon emploi serait éliminé. Dès janvier, je n’avais plus que quelques étudiants résiduels, soit environ de 15% de ma tâche normale et de mes revenus habituels, et ce, après avoir assuré l’accompagnement et le suivi de près de 8000 étudiants depuis 1991. Sans avertissement, sans aucun préavis, sans explication, sans aucune discussion ni entente avec mon syndicat, rien, la TÉLUQ a décidé d’embaucher des «professeurs sous contrat» pour essentiellement faire le travail des personnes tutrices.

Réplique à Alain Dubuc : l’UQ, un réseau tourné vers l’avenir


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Le 1er février dernier, Alain Dubuc dans les pages de La Presse+ laissait entendre que le vrai problème de l’UQAM tenait non pas à son caractère public, mais bien à son appartenance au réseau de l’UQ. En tant que présidente de l’Université du Québec, il est de mon devoir de contredire de tels propos. L’Université du Québec est un réseau de dix établissements autonomes, dotés de caractéristiques distinctives. Avec les UQAM, UQTR, UQAC, UQAR, UQO, UQAT, INRS, ENAP, ÉTS, TÉLUQ, le réseau diplôme en 2018 le tiers des étudiantes et étudiants universitaires de tout le Québec. Le quart d’entre eux affirment qu’ils n’auraient pas fréquenté l’université si leur établissement n’avait pas existé.

TÉLUQ : mises à pied et vote de grève des tuteurs et des tutrices


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Rien ne va plus à la TÉLUQ. Face à l’intransigeance de leur employeur, les membres du Syndicat des tuteurs et des tutrices de la Télé-université (STTTU) ont pris la décision d’exercer tous les moyens de pression nécessaires, incluant la grève, pour préserver leur emploi. C’est au début du mois de décembre dernier que les tuteurs et les tutrices ont pu mesurer l’ampleur de la réorganisation initiée par leur employeur il y a un an. Ceux-ci vont perdre jusqu’à 75% de leurs tâches d’ici quelques semaines en raison de la restructuration. Ce chiffre ne tient pas compte des nombreux étudiants-es transférés l’an dernier à un sous-traitant privé, l’Institut Matci.

Menacés de mises à pied massives, les tuteurs et les tutrices de la TÉLUQ manifestent


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Les tuteurs et les tutrices, ont manifesté jeudi devant le siège social de l’université en compagnie des représentantes et représentants des syndicats affiliés à la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) et du Conseil central de Québec Chaudière-Appalaches (CCQCA-CSN). Lors de leur assemblée générale tenue la semaine dernière, les membres du Syndicat des tuteurs et des tutrices de la Télé-université (STTTU) ont pu mesurer l’ampleur de la réorganisation initiée par leur employeur depuis plus d’un an. Après avoir transféré à un sous-traitant privé, l’Institut Matci, l’encadrement d’environ 37% des étudiantes et étudiants provoquant la mise à pied d’une quarantaine de postes de tuteurs et de tutrices, la direction de l’Université TÉLUQ s’est livré à une seconde attaque.

Entre vous et moi


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La direction de la Télé-université (Téluq) a confié des mandats à un sous-traitant privé et crée des postes de «professeurs-es sous contrat», à rabais, qui reprendront l’encadrement des étudiantes et étudiants, une tâche effectuée depuis toujours par les tuteurs et les tutrices. C’est 85% d’entre elles et eux qui ont perdu ou perdront leur emploi d’ici quelques semaines. À l’UQAC, la partie patronale a soumis ses demandes dans un document de 164 pages, une remise en question de l’ensemble des acquis des chargées et chargés de cours des 30 dernières années. Leurs collègues de l’UQO ont voté dans une proportion de 93% en faveur de l’intensification des moyens de pression allant jusqu’à la grève générale illimitée.

Attaques antisyndicales contre le Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université


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Le Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université (STTTU-CSN) dénonce les attaques antisyndicales de la part de la direction de la Télé-université (TÉLUQ).

À l’automne 2016, la direction de la TÉLUQ a transféré à un sous-traitant privé, soit l’Institut Matci, l’encadrement d’environ 15% de ses étudiants-es. Une quarantaine de postes de tuteurs et tutrices sont en jeu et nous contestons présentement cette action. L’Institut Matci est un établissement privé d’enseignement supérieur situé à Montréal ayant des ramifications au Maroc. Avec l’autorisation du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur du Québec, cet institut offre aux nouveaux arrivants des diplômes de la TÉLUQ.

Assemblée générale des chargées et chargés de cours le 4 octobre : 40e anniversaire, langue d’enseignement, lutte à la TELUQ et élections


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Les chargées et chargés de cours sont conviés à une assemblée générale le mercredi 4 octobre à 13h à la salle Jean-Claude-Lauzon (Pavillon Judith-Jasmin, Annexe, 1564, rue St-Denis). Il sera question des activités de commémoration du 40e anniversaire du SCCUQ, de la convention collective (notamment de la langue d’enseignement), de la lutte des tutrices et tuteurs de la TELUQ et de dons de solidarité. Il y aura aussi des élections au Secrétariat d’élections (1 personne, mandat de deux ans), Officière ou officier d’élections substitut (1 personne, mandat de deux ans), Comité de surveillance des finances (1 personne, poursuite d’un mandat, un an), Comité de vérification du double emploi (Une, un substitut, mandat de deux ans), Comité des usagers de l’audiovisuel (Une représentante, représentant, mandat de trois ans), Comité institutionnel sur les infractions de nature académique (Une, un substitut, mandat de trois ans), Comité des programmes de formation à l’enseignement (CPFE) (Une représentante, représentant, mandat de trois ans – La représentante, le représentant à ce Comité doit provenir de la Faculté des arts ou de l’un de ses départements), Conseil d’administration (Une représentante, représentant, mandat de trois ans), Commission des études (Une représentante, représentant, mandat de trois ans), et à la Sous-commission des ressources (Une représentante, représentant, mandat de trois ans).

Les employés de soutien de la TÉLUQ adoptent des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève


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Les employés de soutien de la TÉLUQ, université d’enseignement à distance, affiliée à l’Université du Québec, ont donné un appui massif à leur comité de négociation le 8 juin. C’est par un vote de 90% que l’assemblée générale s’est prononcée en faveur de moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève. La convention collective, échue depuis 2014, a été prolongée à deux reprises par des lettres d’entente qui ont pris fin en mai 2016. Pendant ce temps, le total des salaires versés aux 232 membres de la section locale 2051 a diminué de 5,5% et le nombre total de salariés a diminué de 19%.

Cours en ligne : la TÉLUQ propose aux universités de s’unir


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Ex-joueur de football étoile pour le Rouge et Or, Martin Noël croit au travail d’équipe. Devenu directeur général de la TÉLUQ, il propose maintenant à toutes les universités québécoises de s’unir pour offrir, ensemble, de la formation à distance. Fraîchement confirmé dans son poste, M. Noël a déjà déposé un mémoire à la ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David pour lui proposer l’idée. «C’était très constructif comme première rencontre», lance-t-il. Selon lui, le Québec devrait s’inspirer de l’Ontario, qui a lancé l’automne dernier le portail Web eCampusOntario.ca, qui offre 13 000 cours à distance. Ce portail est supporté par un consortium d’universités ontariennes, qui ont mis leurs ressources en commun pour développer une panoplie de cours.

J’enseigne à l’université : témoignages de deux chargées de cours


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Dans le cadre de la Journée nationale des chargées et chargés de cours du 22 novembre, la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec a produit deux nouvelles vidéos J’enseigne à l’université. Eftihia Milehakis et Bouchra Klaoua témoignent de leur réalité de chargée de cours à l’ÉTS et à la TÉLUQ.

Le grand démantèlement du réseau universitaire québécois


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La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) est consternée de la façon cavalière avec laquelle votre gouvernement s’attaque cet automne au réseau universitaire. Au cours des dernières semaines, le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Blais, a fait circuler des idées insensées quant à l’avenir du siège social de l’Université du Québec et à la fermeture possible de la Télé-université (TÉLUQ). Doit-on comprendre que votre gouvernement désavoue complètement les communautés universitaires déjà fragilisées par les compressions budgétaires à répétition dont elles sont victimes depuis plusieurs années ?

Lire la suite de la lettre au premier ministre du Québec.

La TELUQ menacée de fermeture


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En plus du siège social de l’Université du Québec, la TELUQ se retrouve dans le collimateur du gouvernement Couillard, a appris La Presse. Le ministère de l’Éducation est en train de revoir l’organisation de la formation universitaire à distance, qui est le champ d’activités de la TELUQ. Le cabinet du ministre François Blais l’a confirmé à La Presse hier. L’abolition pure et simple de la TELUQ, connue aussi sous le nom de «Télé-Université», fait partie des scénarios à l’étude. «Nous voulons avoir des pratiques plus efficaces», a résumé l’attachée de presse du ministre Blais, Julie White.

Lire la suite du texte de La Presse.

Un virage majeur est annoncé à la TÉLUQ


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Bien émancipée depuis deux ans d’un malheureux mariage avec l’UQAM, l’université à distance de l’Université du Québec (TÉLUQ) semble avoir cette année le vent dans les voiles. Sous l’impulsion de sa nouvelle directrice générale, Ginette Legault, l’école supérieure a entrepris « un virage majeur », et se montre plus désireuse que jamais de répondre aux besoins de la société en matière de formation continue et d’enseignement. L’un des projets qui occupent la TÉLUQ depuis quelques mois est la mise sur pied de son nouveau service aux organisations, autonome et dédié à l’établissement de partenariats avec les professionnels des différents milieux.

Lire la suite du texte du Devoir.