Déboires à la Maison-Blanche : l’analyse d’Élisabeth Vallet


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Les attaques contre Donald Trump ont fusé de toutes parts cette semaine. Par contre, contrairement à d’habitude, celles-ci provenaient de son propre Cabinet cette semaine. Assiste-t-on à la chute finale du président américain ou s’agit-il simplement d’une autre semaine dans la vie de ce controversé personnage? 

Élisabeth Vallet, chargée de cours au Département de sciences politiques étaient en entrevue au Téléjournal de Patrice Roy sur les ondes de Radio-Canada pour faire son analyse lors d’une entrevue disponible en cliquant ici.

Donald Cuccioletta parle de l’assassinat de Martin Luther King et de l’attaque chimique en Syrie


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L’assassinat de Martin Luther King a bouleversé l’Amérique. 50 ans après, le chargé de cours Donald Cuccioletta raconte ce qu’il reste de son rêve, à l’antenne de Radio-Canada. Le chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand analyse également le dossier d’une possible attaque chimique en Syrie dénoncée par Donald Trump qui n’écarte pas une action militaire, encore à l’antenne de Radio-Canada.

Doit-on s’inquiéter des récents soubresauts des bourses américaines ?


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Les marchés financiers se sont emballés la semaine dernière, ravivant chez certains la crainte de voir l’économie entière sombrer dans une récession de l’ampleur de celle qu’elle a connue en 2008. Maintenant que la poussière est retombée, essayons de comprendre ce qui s’est passé. Soulignons d’abord que l’économie américaine fonctionne depuis plusieurs mois à plein régime. Donald Trump, en poste depuis un an à la Maison-Blanche, s’est évidemment attribué le mérite de cet apparent succès. Il faudrait cependant rappeler au président américain que la politique monétaire mise de l’avant depuis la crise de 2008 par la Réserve fédérale, qui est la banque centrale américaine, a été de maintenir, jusqu’en 2015, de bas taux d’intérêt et d’injecter massivement des liquidités dans l’économie.

Allégations de collusion entre le gouvernement russe et la campagne de Trump : Poutine bien en selle, selon Yann Breault


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De nouvelles allégations de collusion entre le gouvernement russe et la campagne de Donald Trump ont émané la semaine dernière de Russie, à un mois de l’élection présidentielle. Les sources : une prostituée et le principal opposant à Vladimir Poutine, Alexeï Navalny. La vidéo, qui a fait l’objet de nombreux articles aux États-Unis, mais a été ignorée dans les médias d’État russes, aura-t-elle un impact quelconque sur l’élection ? Le chargé de cours et expert de la Russie Yann Breault en doute. «Ça ne changera pas grand-chose. Navalny jouit d’une audience concentrée dans une mince couche de la société. Sa stratégie de boycottage va tout au plus avoir un impact sur 5 à 10% de l’électorat», dit-il dans un texte de La Presse+.

Davos 2018 : l’arroseur arrosé


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Comme tous les ans, au Forum économique mondial, les grands de ce monde se réunissent dans la jolie ville de Davos pour discuter du sort de l’humanité. Pour la première fois depuis les années Clinton, le président des États-Unis Donald Trump a choisi de s’y déplacer. Aussi impopulaire soit-il, cela donne de la solennité à l’évènement, alors que de gros nuages noirs se pointent à l’horizon. Ceux qui suivent le Forum économique depuis plusieurs années ont observé un changement radical dans le ton. Auparavant, l’optimisme régnait. La pauvreté et la misère étaient des mots absents des conversations. Les participants espéraient rentrer à la maison après avoir brassé de fructueuses affaires.

Appel à une mobilisation internationale : pour l’enseignement supérieur et la recherche, pour le progrès scientifique et humain


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Dès les premiers jours de sa présidence, Donald Trump exprima sa volonté de contrôler les programmes de recherche susceptibles de recevoir des crédits fédéraux et de restreindre la diffusion des résultats de grandes agences fédérales comme l’Agence pour la Protection de l’Environnement (EPA). Rapidement, il prit de premières décisions en ce sens. Quelques années auparavant, Stephan Harper, premier ministre du Canada de 2006 à 2015, avait ouvert la voie. En Turquie, les universitaires sont l’une des cibles prioritaires de la répression contre toute opposition à Recep Tayyip Erdogan. De tels comportements autoritaires constituent une régression inquiétante pour la communauté universitaire, la science et la démocratie.

Julien Tourreille analyse les répercussions de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par Donald Trump


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La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par Donald Trump n’a pas fini de faire des vagues. Le chargé de cours Julien Tourreille, spécialiste de la politique américaine, a analysé la situation à l’antenne de Radio-Canada.

Revue Relations : Pour une démondialisation heureuse


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La revue Relations vient de publier son numéro de novembre-décembre. Le dossier s’intitule Pour une démondialisation heureuse. Le mouvement initié par le Brexit au Royaume-Uni et par Donald Trump, qui a forcé une renégociation de l’ALENA et renoncé à l’Accord de partenariat transpacifique, annonce-t-il vraiment une ère de remise en question de l’ordre économique mondial fondé sur le libre-échange? Après des années de mobilisations altermondialistes visant à freiner la mondialisation néolibérale, comment expliquer que ce soit finalement la droite populiste qui parvienne à mettre la démondialisation à l’ordre du jour politique en Occident? Quel serait par ailleurs un projet de «démondialisation heureuse», plus juste, solidaire et respectueuse de la planète et des peuples, notamment en Europe et en Amérique du Nord?

Olivier Barsalou commente l’onde de choc provoquée par la première année de pouvoir de Trump


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Un an après l’élection de Donald Trump, l’onde de choc est palpable pour les universitaires américains invités par l’Observatoire des États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Les limites au pouvoir du président existent dans la mesure où des gens veulent les faire respecter. Le contre-pouvoir judiciaire est déjà bien actif, remarque le chargé de cours en Sciences juridiques Olivier Barsalou. «Il y a quelques semaines, le procureur général de la Californie a contesté le projet de mur», dit-il. Quant aux nominations judiciaires de Trump, elles auront un effet encore inconnu, mais qui durera des générations, a-t-il expliqué à LaPresse+.

ALENA : Trump ne se passera pas de l’accord du Congrès, selon Olivier Barsalou


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Que Donald Trump laisse planer le doute sur le sort de l’ALENA n’avait pas de quoi étonner la galerie. Mais le président américain est allé plus loin, lors de sa rencontre avec Justin Trudeau mercredi, en évoquant carrément l’exclusion du Mexique au libre-échange nord-américain pour conclure plutôt une entente bilatérale avec le Canada. Une possibilité que n’a pas rejetée le premier ministre canadien. Mais un «flou législatif» plane quant à l’autorité qui aurait le dernier mot pour modifier un tel traité, car l’accord de libre-échange en est un commercial qui relève notamment du Congrès, précise la correspondante parlementaire du Devoir à Ottawa.

Protestations des joueurs de la NFL : un symbole puissant contre Trump, selon Donald Cuccioletta


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Les gestes de protestation d’une centaine de joueurs de football américain, dimanche, pendant l’interprétation de l’hymne national pour s’opposer aux propos tenus par le président Donald Trump, représentent un «symbole extrêmement puissant» quant à la question raciale aux États-Unis, aux dires du chargé de cours et spécialiste de la politique américaine Donald Cuccioletta. Par ces gestes, les joueurs veulent plutôt mettre de l’avant la question raciale en sol américain, une question qui est loin d’être réglée, rappelle le chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand, sur le site de Radio-Canada.

Les raisons qui poussent les étudiants étrangers aux cycles supérieurs à choisir le Canada


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Plus tôt cette année, les facultés d’études supérieures canadiennes n’ont pas perdu de temps à répondre à l’appel et à offrir leur soutien aux chercheurs et aux étudiants touchés par les répercussions du décret émis par le président des États-Unis Donald Trump. Nos écoles ont prolongé la période d’inscription, offert des espaces de travail et accordé le statut de chercheur invité aux étudiants et aux universitaires coincés au Canada. Ces mesures, et d’autres aussi, traduisent un profond engagement à l’égard des principes de diversité, d’inclusion et de citoyenneté mondiale que sous-tendent les études supérieures.

Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.

Donald Trump et l’énergie : le pire n’est jamais sûr…


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En 2008, le parti républicain américain avait fait de l’extraction tous azimuts (le fameux « Drill, baby, drill ») un des slogans de la campagne présidentielle d’alors. En 2016, Donald Trump aura poussé bien plus loin la revendication d’un recours décomplexé aux énergies fossiles, au déploiement des infrastructures de leur transport (notamment le projet Keystone XL acheminant le pétrole issu des sables bitumineux d’Alberta jusque dans le Golfe du Mexique), le tout sur un fond d’un climato-scepticisme qui, énoncé sans retenue, confine au climato-négationniste. Mais, plutôt que de se référer aux propos d’estrade pour anticiper la politique du président élu, sans doute est-il préférable de se reporter au site de campagne où l’énergie est placée sous le sceau de «l’indépendance» (dans la rubrique «Making America Secure Again») Et plutôt que d’analyser la cohérence interne de ce programme (retour du charbon et qualité de l’air feront mauvais ménage…), tentons d’esquisser quelques observations sur la faisabilité des grands objectifs d’exploitation accrue des ressources fossiles.

ALENA : une renégociation qui s’annonce difficile, selon la FTQ


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Ça y est. On devra y faire face. L’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) sera renégocié dans les prochains mois à la suite de la promesse électorale du président des États-Unis, Donald Trump, qui le dépeint comme le pire accord de libre-échange jamais signé par le gouvernement américain. Il l’accuse notamment d’avoir accéléré la désindustrialisation de leur économie. Aussi, la renégociation de l’ALENA vise essentiellement à réduire le déficit commercial des États-Unis envers ses deux partenaires sans toutefois leur offrir de contrepartie. Voilà une occasion à saisir par le mouvement syndical afin de remettre de l’avant des revendications visant à ce que cet accord de libre-échange soit mieux équilibré, plus inclusif et permette l’amélioration du bien-être des sociétés concernées.

Libre-échange : ni pour, ni contre, bien au contraire


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Après avoir quelque peu déserté les manchettes au cours des dernières années, l’enjeu du libre-échange a repris le devant de la scène depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis. La victoire du camp du Brexit au référendum de juin 2016 en Angleterre et, plus récemment, l’éventualité d’une victoire du Front national à l’élection présidentielle française ont également contribué à ramener ce débat au premier plan.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

Donald Cuccioletta dresse un bilan des 100 premiers jours de Donald Trump et commente la tension entre les États-Unis et la Corée du Nord


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Ça fera bientôt 100 jours que Donald Trump a pris le pouvoir. Le chargé de cours Donald Cuccioletta et Rafael Jacob dressent un premier bilan, à l’antenne de RDI et de la radio de Radio-Canada. Il commente également la situation entre les États-Unis et la Corée du Nord à l’antenne du 106,9 FM en Mauricie.

Mobilisation mondiale pour la science


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Prenant le relais des nombreuses marches pour la science dans le monde, près d’un millier de personnes ont commencé à se rassembler samedi matin au cœur de Washington pour défendre la recherche scientifique, qu’elles estiment remise en question par l’administration de Donald Trump. Après l’intervention à la tribune de près de 60 personnes dont Nancy Roman, responsable des programmes d’astronomie de la NASA, une marche vers le Capitole, siège du Congrès, devait conclure cette manifestation sous la pluie qui coïncide avec la Journée mondiale de la Terre. D’autres rassemblements se déroulaient dans plusieurs autres villes américaines dont New York, et plus de 600 marches étaient prévues à travers le monde.

Le Québec a perdu le quart de ses fermes laitières


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Durant la dernière décennie, près de 2000 entreprises ont été rayées de la carte. La production laitière, en croissance, se concentre donc entre les mains d’un plus petit nombre d’agriculteurs. Au moment où le président américain Donald Trump met la production laitière canadienne sur la sellette, de nouvelles statistiques confirment un phénomène bien réel: d’année en année, le Québec perd des fermes laitières. La production de lait, elle, est en croissance. Ce qui accélère un phénomène de rationalisation et concentre la production entre les mains d’un nombre moindre d’agriculteurs qui ont de plus grosses entreprises. Il y a aujourd’hui 5408 fermes laitières dans la province, selon les tout derniers chiffres de l’Institut de la statistique du Québec.

Julien Tourreille estime que le président Trump tente d’esquiver le scandale russe


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Donald Trump tente de détourner l’attention du public sur les liens entre son équipe et la Russie en prétendant avoir été mis sur écoute par Barack Obama, croient des experts interrogés par Le Journal de Montréal. «On est dans la logique de la diversion. On voit une tendance de ce président à adhérer à des théories conspirationnistes», note Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM. Est-ce que le futur président français devra siéger en prison? Plusieurs candidats sont dans l’embarras! Julien Toureille commente la situation pour le FM93.

Décret sur l’immigration signé par Donald Trump : la guerre juridique est enclenchée, selon Donald Cuccioletta


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Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM, commente à l’antenne de Radio-Canada la guerre juridique enclenchée par le décret sur l’immigration signé par le président américain Donald Trump. Une bataille entre l’administration Trump et la justice américaine représentative de la constitution américaine et de la balance entre les trois branches du gouvernement – le Congrès, le président et les cours de justice – voulue par le peuple américain.

Remplacer l’ALÉNA par un processus de renégociation transparent et ouvert à la participation de la société


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Washington DC, Montréal, Ottawa, Mexico, 18 janvier – En réponse à l’annonce du président élu des États-Unis, Donald Trump, de renégocier ou de se retirer de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), ainsi qu’aux réactions du premier ministre canadien Justin Trudeau et du président mexicain Enrique Peña Nieto, de larges réseaux de la société civile du Mexique, des États-Unis, du Canada et du Québec lancent aujourd’hui un message clair à leurs gouvernements: tout processus de renégociation doit être transparent et ouvert à la participation de la société, et le remplacement de l’ALÉNA qui en découlera doit inconditionnellement protéger l’environnement et améliorer le bien-être et la qualité de vie des peuples dans l’ensemble des pays de la région.

Le naufrage du libre-échange : bonne ou mauvaise nouvelle ?


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La gauche s’est toujours opposée avec force aux accords de libre-échange. Autant le mouvement altermondialiste que des politiciens comme Bernie Sanders, Paul Magnette et Benoît Hamon ont dénoncé les méfaits de ces ententes conçues en secret dans l’intérêt des entreprises transnationales. Pourtant, la charge la plus puissante contre le libre-échange est venue de là où on ne l’attendait pas. Donald Trump, président républicain des États-Unis, voudrait aujourd’hui tout remettre en cause. Faut-il s’en réjouir ou s’en désoler ? (…) en opposant un protectionnisme étroit à un libre-échange qui refuse de se réformer, on semble actuellement faire l’économie d’un véritable débat sur ce que doit être le commerce international, sur ses limites et sur la façon dont l’économie pourrait profiter à l’ensemble des populations.