Revue Relations : Pour une démondialisation heureuse


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La revue Relations vient de publier son numéro de novembre-décembre. Le dossier s’intitule Pour une démondialisation heureuse. Le mouvement initié par le Brexit au Royaume-Uni et par Donald Trump, qui a forcé une renégociation de l’ALENA et renoncé à l’Accord de partenariat transpacifique, annonce-t-il vraiment une ère de remise en question de l’ordre économique mondial fondé sur le libre-échange? Après des années de mobilisations altermondialistes visant à freiner la mondialisation néolibérale, comment expliquer que ce soit finalement la droite populiste qui parvienne à mettre la démondialisation à l’ordre du jour politique en Occident? Quel serait par ailleurs un projet de «démondialisation heureuse», plus juste, solidaire et respectueuse de la planète et des peuples, notamment en Europe et en Amérique du Nord?

Libre-échange : ni pour, ni contre, bien au contraire


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Après avoir quelque peu déserté les manchettes au cours des dernières années, l’enjeu du libre-échange a repris le devant de la scène depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis. La victoire du camp du Brexit au référendum de juin 2016 en Angleterre et, plus récemment, l’éventualité d’une victoire du Front national à l’élection présidentielle française ont également contribué à ramener ce débat au premier plan.

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André Lamoureux analyse le déclenchement des élections britanniques et les lois contre le trafic de cannabis et la consommation de la drogue au volant


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La première ministre britannique, Theresa May, a appelé la semaine dernière à la tenue d’élections législatives anticipées le 8 juin, rompant sa promesse de respecter le scrutin à date fixe prévu en 2020. «Elle doit avoir une voix forte devant le conseil européen et elle vient de montrer que c’est une politicienne stratégique, qui veut non seulement déjouer l’opposition, mais aussi montrer à son propre parti qu’elle a la légitimité de négocier le Brexit», analyse André Lamoureux, chargé de cours en sciences politiques, pour Le Devoir. Il a également commenté le durcissement des lois contre le trafic de cannabis et la consommation de l’alcool et la drogue au volant proposé par le gouvernement Trudeau.

Royaume-Uni : le Brexit chasse les universitaires de l’Union européenne


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À la suite du vote sur le Brexit, quelque 31 000 universitaires européens travaillant dans des universités britanniques ont été priés de prendre leurs dispositions pour partir, certains d’entre eux ayant déjà décidé de le faire, menaçant ainsi gravement l’expertise des universités britanniques. Ayant vécu et travaillé ici pendant plus de vingt ans, de nombreux universitaires de l’UE ont décidé de demander l’autorisation de rester après le 23 juin, demande qui a été rejetée. La lettre typique va comme suit: «Si vous ne partez pas volontairement, une décision séparée pourra être adoptée ultérieurement pour exécuter votre renvoi…»

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