Les étudiants étrangers incités à s’établir dans les provinces de l’Atlantique


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Un projet pilote mené en Nouvelle-Écosse afin de surmonter les difficultés liées au recrutement et à la rétention d’étudiants étrangers sera étendu à l’ensemble des provinces de l’Atlantique. En plus d’inciter les étudiants à rester dans la région, il se veut une solution à un risque qui plane de plus en plus sur les provinces de l’Atlantique: le vieillissement et la faible croissance de la population. Le programme Étudier pour m’y établir devrait commencer en septembre au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve-et-Labrador et à l’Île-du-Prince-Édouard. Selon Étienne Chiasson, porte-parole de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA), «l’initiative donnera lieu à deux activités principales : d’abord attirer et recruter des étudiants étrangers, puis les aider à s’intégrer au marché du travail et dans les collectivités pour y rester.»

Non à la marchandisation de l’éducation, clame la FNEEQ


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Le nombre d’étudiants étrangers — qui inclut les étudiants canadiens d’autres provinces — ne cesse d’augmenter dans les établissements d’enseignement supérieur québécois. «C’est une tendance qui date du début des années 2000 et qui est en croissance depuis, explique Jean Murdock, président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ). Cela est particulièrement évident dans le réseau universitaire, mais le phénomène a aussi fait son apparition dans le réseau collégial.» L’internationalisation peut entraîner des effets pervers, soutient-il.

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Hausse importante du nombre d’étudiants étrangers


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Le nombre d’étudiants étrangers dans les universités québécoises, et notamment dans celles situées à Montréal, a beaucoup augmenté cet automne par rapport à l’an dernier. On avait pourtant prévu une diminution. Ce nombre est passé de près de 39 000 en 2016 à plus de 42 000 en 2017 dans la province, soit une progression de plus de 9%, selon les données du Bureau de coopération interuniversitaire (BCI). C’est à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) que la hausse relative a été la plus marquée, soit 25%: ils sont maintenant près de 1300 élèves venus de l’extérieur du pays.

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Les effectifs d’étudiants étrangers ont augmenté de 11 pour cent dans les universités canadiennes


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Les données sur les inscriptions pour l’automne 2017 montrent une augmentation de deux pour cent des étudiants canadiens à temps plein au premier cycle, avec des variations par région et, à l’échelle du pays, une augmentation de 10,7 pour cent des étudiants étrangers comparativement à l’année précédente. Les données ont été recueillies dans le cadre de sondages préliminaires menés par l’Association des universités de l’Atlantique, le Bureau de coopération interuniversitaire, le Conseil des universités de l’Ontario et Universités Canada.

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Nombre record d’étudiants étrangers à l’UQAC


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Cet automne, 1285 étudiants venant de l’étranger sont inscrits à l’Université du Québec à Chicoutimi, une hausse de 24% par rapport à l’an dernier. Sur 6506 étudiants inscrits à l’UQAC, c’est donc un étudiant sur cinq qui vient de l’étranger. Pour la rectrice de l’UQAC, Nicole Bouchard, l’expertise de l’Université pour le recrutement a fait ses preuves. «Ça fait plus de 20 ans que l’UQAC est à l’international», souligne la rectrice, Nicole Bouchard. «On s’est installé dans différents lieux. On a créé des contacts très personnels avec les gens, surtout en France», ajoute-t-elle. L’UQAC compte aussi un record d’inscriptions aux cycles supérieurs avec 1492 étudiants.

Toujours plus d’étudiants étrangers au Canada depuis onze ans


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Les universités canadiennes accueillent toujours plus d’étudiants étrangers chaque année, selon une étude effectuée par Universités Canada dans le cadre de la rentrée d’automne. À l’échelle canadienne, c’est plus de 175 000 étudiants qui ont choisi de faire leurs études au pays en 2017. Ce nombre représente une augmentation de plus de 50% sur une période de onze ans, alors qu’on en comptait que 83 000 en 2006. À l’inverse, toujours selon Universités Canada, seul 3,1% des étudiants canadiens choisissent de partir à l’étranger chaque année. Les retombées économiques liées aux dépenses des étudiants étrangers, soit les frais de scolarité et d’hébergement en plus des dépenses diverses, se chiffraient à 11,4 milliards pour 2014.

Les raisons qui poussent les étudiants étrangers aux cycles supérieurs à choisir le Canada


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Plus tôt cette année, les facultés d’études supérieures canadiennes n’ont pas perdu de temps à répondre à l’appel et à offrir leur soutien aux chercheurs et aux étudiants touchés par les répercussions du décret émis par le président des États-Unis Donald Trump. Nos écoles ont prolongé la période d’inscription, offert des espaces de travail et accordé le statut de chercheur invité aux étudiants et aux universitaires coincés au Canada. Ces mesures, et d’autres aussi, traduisent un profond engagement à l’égard des principes de diversité, d’inclusion et de citoyenneté mondiale que sous-tendent les études supérieures.

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Sur les bancs de l’UQAC… en Chine


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Poursuivre ses études avec des professeurs en chair et en os de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) tout en restant en Chine, au Maroc, au Sénégal, en Colombie ou en Tunisie, c’est possible. Et l’établissement de Saguenay a à ce point développé ses programmes offerts à l’étranger qu’il en est devenu le leader québécois. Les établissements d’enseignement supérieur sont nombreux à accueillir des étudiants étrangers, à encourager la mobilité étudiante et à offrir des formations à distance. Et l’UQAC ne fait pas exception. Mais les programmes délocalisés font un pas de plus vers l’extérieur en envoyant à l’étranger les professeurs de l’université d’origine enseigner des programmes complets de baccalauréat et de maîtrise.

Devenir des «interprètes culturels» pour les étudiants étrangers


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Comment accompagner les étudiants étrangers et favoriser leur mieux-être et leur inclusion une fois au Québec? Cette question s’est trouvée au cœur du colloque sur la médiation interculturelle qui se déroulait à l’UQAR dans les derniers jours, auprès de formateurs et d’intervenants à même de devenir des «interprètes culturels». Organisé par le département de psychosociologie et le groupe de recherche en éthique ÉTHOS de l’UQAR, le colloque sur la médiation interculturelle visait à réfléchir à l’accueil et l’inclusion des étudiants internationaux, dans un cadre universitaire et socioculturel qui est souvent très différent de ce que ceux-ci ont connu dans leur pays d’origine.

Comment retenir les étudiants étrangers?


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Tout un tour de force que réalise l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) à Québec. Près de 60% des étudiants de cette université de deuxième et de troisième cycles proviennent d’une quarantaine de pays. Ces étudiants étrangers apprécient tellement la qualité de la vie dans la capitale que 50% des finissants décident d’y établir leurs pénates à la fin de leur parcours académique, signale le recteur par intérim Claude Arbour. Un exploit étant donné que le taux de rétention des étudiants étrangers au Québec est d’à peine 25%.

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Montréal : meilleure ville universitaire du monde, selon les étudiants


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La métropole québécoise a mis fin au règne de cinq ans de Paris à titre de ville préférée des étudiants étrangers, selon une étude de l’Institut Quacquarelli Symonds (QS). La cinquième édition du classement de QS des meilleures villes étudiantes de la planète, qui dénombre les 100 villes les plus prisées des étudiants, a couronné Montréal comme meilleure ville universitaire du monde. L’organisme souligne que Montréal profite d’un nouvel essor économique et des prévisions de croissances pour 2017, après une période de stagnation au cours des dernières années. Montréal est également reconnue comme la «ville la plus intelligente du monde», selon QS, en raison du développement de son industrie de l’intelligence artificielle.

Les étudiants étrangers en hausse à l’Université Laval


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Même si l’hiver bat son plein, le campus de l’Université Laval accueille davantage d’étudiants étrangers cette semaine, pour la session qui commence. Le nombre d’offres acceptées est 17% plus élevé qu’à la même date l’an dernier. «On vit une hausse substantielle de nos étudiants étrangers, soit ceux qui ont des permis de séjour au pays», s’est réjouie Nicole Lacasse, vice-rectrice adjointe aux études et aux activités internationales en entrevue au Soleil mardi.

La culture pour accrocher les étudiants étrangers


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Désireuse de garder en son giron les étudiants universitaires étrangers qui viennent fouler son sol en quête de savoir, Montréal pourra compter sur un nouvel outil destiné à les séduire, les intégrer et les retenir à long terme. La Vitrine a lancé lundi, conjointement avec BMO Groupe financier, le Passeport MTL étudiant international, véritable sésame qui leur ouvrira la porte de nombreux attraits de la Ville, dont certains gratuitement.

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La Colombie-Britannique : 1re destination des étudiants étrangers au pays.

Étudiants étrangers : pourquoi nous quittent-ils ?


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Chaque année, le Québec va chercher ses immigrants aux quatre coins du monde, en faisant des efforts pour privilégier les mieux qualifiés, les plus susceptibles de s’intégrer, de parler français, de trouver un emploi. Et pourtant, il a sous la main, ici même, un grand nombre d’immigrants potentiels ayant déjà toutes ces qualités… et il les laisse filer! C’est insensé! L’étude dévoilée mercredi par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain sur la contribution des universités à l’économie nous rappelle que les étudiants étrangers convergent en effet en très grand nombre au Québec, principalement à Montréal où ils représentent pas moins de 15% de la population estudiantine.

Nouvelles coupes aux frais des étudiants étrangers : taxer le savoir, c’est financer l’ignorance!


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Le gouvernement libéral poursuit son œuvre de démolition de l’enseignement universitaire en imposant de nouvelles compressions. «L’augmentation des droits de scolarité pour les étudiantes et les étudiants internationaux repose sur une marchandisation du savoir et sur une logique du financement de notre accessibilité à l’enseignement supérieur grâce à l’augmentation de la tarification. Belle logique!» s’insurge M. Sylvain Marois, le vice-président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), responsable du regroupement université.

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Québec impose de nouvelles coupes aux universités : les étudiants étrangers en feront les frais. Crainte d’un clivage francophones-anglophones.

Accueillir des étudiants étrangers pour qu’ils contribuent au dynamisme du Québec


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La question mérite d’être formulée clairement: pourquoi devons-nous continuer d’accueillir des étudiants étrangers? Et quelles balises devrions-nous mettre en place pour que l’échange soit équitable? Alors que notre société peine à financer adéquatement son réseau universitaire, la tentation peut être forte de privilégier l’admission des étudiants étrangers sur celle des étudiants d’ici. Or, en procédant de la sorte, nous risquons de faire passer les raisons économiques avant les raisons académiques. Ce qui n’est jamais une bonne approche. S’en remettre aux étudiants étrangers pour financer nos universités, c’est implicitement avouer que nous n’avons pas les moyens de nous payer le système universitaire que nous prétendons vouloir.

Stages d’étudiants étrangers : les employeurs devront débourser 230 $


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À partir de maintenant, les organismes et employeurs qui accueilleront des étudiants étrangers en stage de formation devront payer la somme de 230 $ à Citoyenneté et Immigration Canada et remplir un formulaire de plusieurs pages. Cette mesure, imposée en plein milieu de la session d’hiver, suscite déjà des problèmes aux collèges et universités de partout au pays, indique Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’international et du recrutement de l’UQTR.

Lire la suite du texte du Nouvelliste.

Les étudiants étrangers, un apport inestimable au développement du Québec


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Les universités québécoises participent à l’avancement des connaissances, favorisent l’innovation et s’inscrivent dans les grands réseaux mondiaux du savoir. Collectivement, elles attirent plus de 30 000 étudiants de l’extérieur du Canada qui contribuent à l’ouverture sur le monde de leurs confrères québécois. Aux cycles supérieurs, leur impact est d’autant plus manifeste qu’ils représentent un étudiant sur cinq à la maîtrise et un sur quatre au doctorat. Pendant leur séjour parmi nous, les étudiants étrangers participent activement à notre économie en y injectant 1 milliard de dollars en dépenses de toutes sortes.

Lire la suite de l’avis de l’Assemblée des gouverneurs de l’Université du Québec.

Un rapport propose des moyens d’attirer des étudiants étrangers


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Touchées récemment par des compressions budgétaires supplémentaires, les universités montréalaises se réjouissent d’un nouveau rapport qui propose des moyens d’attirer et de retenir dans la métropole plus d’étudiantes et d’étudiants étrangers. Et parce qu’ils paient plus en droits de scolarité que les étudiants d’ici, leur présence peut aider à renflouer les coffres de l’État et donner un argument de plus aux institutions d’enseignement qui ont besoin de l’argent de Québec pour se maintenir à niveau.

Lire la suite du texte de La Presse Canadienne.

L’UQAM est cosignataire de l’avis.

Une fête d’accueil pour 600 nouveaux étudiants étrangers.

Les collèges et universités ontariens font de l’œil aux Africains


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Les établissements postsecondaires de l’Ontario français poursuivent leur opération de charme auprès des pays africains : pendant près de trois semaines en janvier, représentants des collèges et universités francophones et bilingues de la province ont sillonné l’Afrique pour faire le plein d’étudiants étrangers. C’est le nouvel eldorado pour les établissements postsecondaires occidentaux. En 2010, les étudiants internationaux auraient injecté plus de 7,7 milliards de dollars dans l’économie canadienne.

Lire la suite du texte du Droit.