Consignes pour la grève du 7 février


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Chères membres, chers membres,

Vous avez appris, dans la dernière édition de l’infolettre (26 janvier), que le Syndicat tiendra une journée de grève le 7 février, découlant du mandat de grève obtenu lors de l’assemblée générale spéciale du 25 novembre 2016.

En conséquence, les cours donnés par les chargées, chargés de cours qui enseignent le mardi 7 février prochain (matinée, après-midi ou soirée) n’auront pas lieu et donc la paie sera ajustée en conséquence.

Toutefois, toutes les personnes chargées de cours (celles qui enseignent ce jour-là, celles qui enseignent à d’autres moments durant la semaine et aussi celles qui n’enseignent pas au trimestre d’hiver 2017) recevront une prestation de grève si elles se conforment aux conditions suivantes :

participer aux actions qui se dérouleront lors de cette journée de grève (présences aux piquets de grève, marches déambulatoires, rassemblements, etc.).

Les chargées et chargés de cours n’ont d’autres choix que d’appliquer leur mandat de grève, car rien ne bouge depuis trop longtemps!


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• 17 juin 2015 : début de la négociation. • 26 septembre 2016 : après 25 séances de négociation, la partie patronale dépose une offre globale qui sera rejetée à l’unanimité par les membres lors de l’assemblée générale du 28 septembre. • 15 novembre 2016 : après 30 séances de négociation, la partie patronale dépose une offre finale. • 25 novembre : les chargées et chargés de cours de l’UQAM refusent à 96,5 % l’offre finale de l’employeur et 86 % des membres présents à l’assemblée générale votent en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun.

Rapport de la négo : un long fleuve tranquille


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La conciliatrice au dossier, Louise Létourneau, a rencontré, le lundi 9 janvier, les membres des comités de négo syndical et patronal afin de leur expliquer comment elle comptait travailler avec eux, puis elle s’est entretenu une demi-heure avec les porte-paroles des deux comités pour faire le point. Tout le monde s’est entendu sur un agenda de trois rencontres de conciliation les 8 février, 8 et 27 mars, avec possibilité d’ajouter des rencontres le samedi, mais pas avant le 8 février, selon la conciliatrice. La rencontre s’est terminée un peu passé 14 h parce qu’un membre du comité de négo patronal devait quitter, malgré que la rencontre était prévue de longue date.

Rapport de la négo : l’employeur se braque, le SCCUQ demande la nomination d’un médiateur-conciliateur


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À la suite du vote de refus de l’offre finale de la direction par 96,5% des chargées et chargés de cours présents à l’Assemblée générale spéciale et l’acceptation par 86% des membres d’une banque de cinq jours de grève à être exercés au moment jugé opportun, les comités de négo se sont revus le 28 novembre. Le comité de négo patronal a dit qu’il ne retournerait pas voir ses mandants tant que le Syndicat ne revoyait pas ses demandes, qu’il refusait de reprendre la négociation et que l’offre finale était toujours sa réponse aux dernières contre-propositions syndicales. À la demande du comité de négo syndical, ils se sont tout de même entendus pour se revoir le 15 décembre.

Les chargées et chargés de cours de l’UQAM rejettent l’offre finale : une banque de cinq jours de grève!


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Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, vendredi en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun par le Comité exécutif et le Comité de négociation. Cette offre finale contenait des augmentations salariales en-deçà de celles offertes aux professeurs et aux employés de soutien – se limitant aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75% sur cinq ans – alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises.

Les chargées et chargés de cours de l’UQAM célèbrent leur Journée nationale dans des circonstances déplorables


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Rapport de la négo : offre finale de l’employeur

La séance de négociation du 15 novembre s’est terminée abruptement, la partie patronale affirmant «nous ne sommes pas en mode négociation». En attente de réponses à nos contre-propositions du 8 novembre, notre comité de négo a plutôt eu droit à la présentation d’une offre finale. Par rapport à l’offre globale (partielle) de septembre, l’employeur a fait trois petits ajouts. Les étudiantes et étudiants à la maîtrise devront avoir fait 4 sessions avant d’avoir accès à des charges de cours en clause réserve dont les EQE exigent la maîtrise. Trois charges de perfectionnement additionnelles seront réservées aux chargées et chargés de cours ayant donné une moyenne de trois charges au cours des cinq dernières années pour leur permettre d’obtenir de nouveaux EQE.

Rapport de la négo : en attente de réponses à nos contre-propositions

Lors de la séance de négociation du 8 novembre, quatre jours après la rencontre avec le recteur et l’assemblée générale, la partie patronale n’a fait qu’un seul retour, reconfirmant que l’UQAM n’accepte pas que les syndicats soient associés à une future politique institutionnelle sur les environnements numériques d’apprentissage. Mais la partie syndicale en a profité pour revenir sur l’ensemble des clauses normatives qui ne font pas encore l’objet d’un accord. Pour faire avancer les choses, elle a présenté des contre-propositions sur les charges de cours liées au perfectionnement permettant d’acquérir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), sur le projet pilote portant sur l’élaboration et la modification des EQE, sur une nouvelle approche pour l’attribution des EQE et sur l’ensemble de la clause réserve.

L’UQAM préfère le béton armé et des chargées et chargés de cours précaires et éjectables


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Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ) dénonce que l’employeur maintient ses membres dans un état de précarité et sur un siège éjectable, une situation qui sert bien la direction. «L’UQAM verse plus de 7 millions de dollars par année pour des agents de sécurité, l’équivalent de 18% de la masse salariale des chargées et des chargés de cours, et elle injecte 10 millions de dollars de plus que l’an passé dans le béton. Les conséquences se font sentir dans les classes: moins de correcteurs, plus d’étudiantes et d’étudiants par groupe et moins de charges de cours», déplore Marie Blais, présidente du SCCUQ, en négociation pour le renouvellement de sa convention collective depuis plus d’un an.