Une première grève à Regina Assumpta

Ce n’est pas parce que c’est une école privée que les conditions de travail sont bonnes, au contraire! Dans ce milieu, les patrons gèrent souvent les écoles comme si elles étaient des entreprises privées, mais ce ne sont pas des entreprises, ce sont des écoles!

Pour de l’information sur la lutte et les revendications des enseignantes et des enseignants du Collège Regina Assumpta qui ont voté trois jours de grève dans une proportion de 97%, on se dirige vers le site Internet de notre fédération nationale. On peut aussi consulter La Presse qui a également publié cet article de la journaliste Émilie Bilodeau, le 12 octobre dernier.

À distance et parfois de l’au-delà

« Les cours en ligne permettent de grandes économies d’échelle, particulièrement ceux qui sont préenregistrés. Une fois le cours produit, il est bon pour l’éternité. Parlez-en aux étudiants de l’Université Concordia qui ont été surpris d’apprendre que leur professeur enseignait… de l’au-delà, puisque son cours virtuel était encore offert des années après sa mort, rapportait Le Devoir, en 2021 »; c’est ce que nous rappelle l’éditorialiste en chef de La Presse, Stéphanie Grammont dans un texte paru le 7 octobre, sous le titre « Le étudiants vaches à lait », que l’on peut consulter juste ici.

Comme certaines études l’ont indiqué, madame Grammont établit un lien entre la réussite scolaire et les interactions sociales étudiantes en présence; elle fait aussi référence à quelques articles publiés dans La Presse sous les plumes des journalistes Louise Leduc et Marie-Ève Morasse, dont celui-ci, intitulé « C’est comme si on était encore en pandémie », paru le 7 octobre dernier.

Manif-action, 31 octobre, 11 h, sur les horreurs de la CAQ au Square Victoria

La Coalition Main Rouge, qui s’oppose à la tarification et à la privatisation des services publics, où sont membres plusieurs organisations progressistes comme la FNEEQ-CSN, organise, en collaboration avec le Front régional pour l’action communautaire autonome, une manif-action pour dénoncer les horreurs du gouvernement caquistes car depuis des mois, ce gouvernement « nous impose d’horribles projets de lois et de réformes qui font craindre le pire pour le filet social, dont le projet de loi 15 en santé et services sociaux, le projet de loi 31 sur le logement et les projets de loi 23 et 40 en éducation »; pour plus d’infos sur la manif-action, c’est par ici : www.nonauxhausses.org

Dernier Conseil syndical

Un Conseil syndical élargi avait lieu le 26 septembre dernier, alors que les membres ont participé avec intérêt à des ateliers formés petits groupes sur l’intelligence artificielle. L’ambiance de la rencontre était sous le signe de l’échange, de la réflexion critique, de l’ouverture et parfois aussi de l’humour; les ateliers avaient lieu après une intéressante présentation sur l’intelligence artificielle de Stéphane Daniau, trésorier, et de Ricardo Peñafiel, vice-président aux relations intersyndicales, tous deux actifs au sein du Comité école et société de la FNEEQ.

On peut d’ailleurs aller consulter ce dossier du comité « Intelligence artificielle en éducation. De la mission à la démission sociale : replaçons l’humain au cœur de l’enseignement »déposé au Conseil fédéral de notre fédération, les 31 mai, 1er et 2 juin.

Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur

La vice-présidente, responsable du regroupement université, Christine Gauthier, a récemment rédigé un texte sur le clientélisme en études supérieures, un des effets pervers du sous-financement des universités. On retrouve ce texte sur le site Internet de la FNEEQ-CSN, notre fédération nationale, sous le titre « Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur ». Trop souvent, les enseignantes et les enseignants font face à des clients de l’université qui en veulent pour leur argent. Mais si l’université était plus accessible pour toutes et tous, gratuite, sans frais de toutes sortes, et que le gouvernement faisait de l’éducation une véritable priorité et non un slogan… N’est-ce pas là un des fondements de la démocratisation de l’enseignement?

5 octobre : Journée mondiale des enseignants


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« L’UNESCO (en français, l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture) a proclamé le 5 octobre 1994 la Journée mondiale des enseignants, célébrant ainsi le grand pas effectué en faveur des enseignants le 5 octobre 1966, lorsqu’une conférence intergouvernementale spéciale organisée par l’UNESCO à Paris en coopération avec l’Organisation mondiale du travail (OIT) a adopté la Recommandation OIT / UNESCO concernant la condition du personnel enseignant. (…) Le 5 octobre célèbre également l’adoption, par la Conférence générale de l’UNESCO en 1997, de la Recommandation de l’UNESCO concernant la condition du personnel enseignant de l’enseignement supérieur. »

En fouinant sur le site de l’UNESCO qui est une mine d’informations pertinentes, on peut entre autres découvrir la présentation du nouveau rapport 2023 du GEM (Global Education Monitoring) sur la technologie dans l’éducation.

Ouvrir les yeux sur l’esclavagisme moderne d’ici


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Un reportage choc de la journaliste Sophie Langlois, intitulé « À la recherche du rêve canadien », diffusé au Téléjournal de Radio-Canada, le 26 septembre dernier, nous informe, qu’au début du mois, un rapporteur spécial des Nations Unies a dénoncé les conditions de travail et les conditions de vie des travailleurs étrangers temporaires au pays. Le rapporteur spécial a même parlé d’une forme d’esclavage moderne. De son côté, la ministre québécoise de l’Immigration a affirmé vouloir revoir les règles qui encadrent les 300 000 immigrants temporaires au Québec, parmi lesquels ces travailleurs précaires qu’on retrouve dans les fermes, les hôtels, les restaurants, les chantiers de construction et les CHSLD, entre autres.

Carmen Quintana y était le 11 septembre


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Nous ne parlons pas ici du 11 septembre 2001 qui nous a spectaculairement marqué avec ces avions qui frappent deux tours du World Trade Center de New-York mais du coup d’état militaire de Pinochet, commandité par le gouvernement des États-Unis contre le gouvernement chilien élu de Salvador Allende. Carmen Quintana était au Chili ce 11 septembre et quelques années plus tard, elle participe à manifestation d’opposition au régime. Elle et son compagnon, Rodrigo Rojas, sont arrêtés et battus par des militaires. Ils seront ensuite aspergés de matière inflammable pour devenir ensuite des torches vivantes. Carmen Quintana reprendra connaissance dans un fossé situé à une vingtaine de kilomètres des lieux de leur torture alors que son ami succombera de ses blessures.

Les absences en cours: en rire ou en pleurer?


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Les personnes qui enseignent en études supérieures ont dû s’attrister ou rigoler de découragement à la lecture d’un article de Claude Malboeuf, paru dans la Presse du 12 septembre et qui fait partie d’un dossier intitulé «  Les cégépiens de plus en plus absents ». On y lit que « L’époque des cours en ligne obligatoires a beau être derrière nous, bon nombre de cégépiens persistent à se tenir à distance (…), se désole Yves de Repentigny, vice-président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ). »

Il poursuit : « Plusieurs jeunes s’attendent à recevoir du matériel de rattrapage sur mesure ou un cours privé.

Vivre serré


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Connaissez-vous Pivot? Pas Bernard, l’homme de la dictée, mais le média québécois. Pivot articule sa mission en déployant une vision progressiste que nous vous encourageons à lire et soutenir. Pour s’informer de la réalité des jeunes à qui nous enseignons, à l’UQAM, on peut lirecet article de Léa Beaulieu-Kratchanov, paru le 16 août dernier et qui jette un regard sur laréalité pas toujours spacieuse que vive « nos » jeunes. C’est par ici, par ce lien.

Photo : Harry Strauss, sur Pixabay

Écrans vs dynamique de groupe


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Ces jours-ci, on entend de plus en plus parler des effets néfastes que peuvent avoir l’utilisation exponentielle des écrans dans nos vies. Dans un article signé Marie-Claude Malboeuf dans La Presse du 25 août, on lit ceci : « Avant, les étudiants se levaient et discutaient entre eux ou avec moi à la pause. Depuis cinq ans, ils restent immobiles et dans leur bulle avec leur téléphone », rapporte Aïcha Van Dun, professeure de littérature au cégep de Lanaudière, à L’Assomption.

Photo : Adrian Swancar, sur Unsplash

Elle poursuit : « Former des équipes devient extrêmement difficile dans ce contexte.

Universités du Québec et financement

Plusieurs mémoires ont récemment été déposés à la ministre de l’Enseignement supérieur sur le financement universitaire, suite à un appel à mémoires lancé le 12 mai dernier par son cabinet. En plus du mémoire du SPPEUQAM que présente notre président, Olivier Aubry, à la Rubrique SPPEUQAM de ces Nouvelles, la CSN en collaboration avec la FNEEQ a bien sûr participé à l’exercice ainsi que l’UQAM et le réseau de l’Université du Québec.

Tous les liens Internet sont identifiés, avec en prime un éditorial de Marie-Andrée Chouinard, paru dans Le Devoir du 10 juin dernier. On s’entend toutes et tous sur le fait que le système de financement des universités, particulièrement en ce qui touche les universités publiques, est totalement désuet.

Le CISO dans le textile

Naviguant sur le site Internet du Centre international de solidarité ouvrière (CISO), un organisme que le SPPEUQAM soutient régulièrement, nous avons pris contact avec plusieurs informations pertinentes sur ce qui se passe sur la planète des luttes ouvrières. Ces luttes peuvent entre autres concerner l’esclavage moderne dont les sociétés occidentales profitent en nourrissant l’exploitation odieuse des personnes travaillant dans l’industrie du vêtement. Invitation vous est donc faite d’aller visiter le site du CISO, ou encore d’accéder à sa page Facebook par ici : @cqcam.ciso.

Le SPPEUQAM a d’ailleurs distribué lors de ses deux dernières assemblées générales un très bon document, en format bande dessinée, intitulé « Les dessous du textile.

Inscriptions en baisse dans les universités

« L’UQAM est une des plus touchées par cette apparente désaffection des jeunes envers les études supérieures », écrit Marco Fortier dans un article publié dans Le Devoir du 29 mai 2023. Le journaliste poursuit ainsi : « Les inscriptions au premier cycle ont baissé de façon marquée depuis l’année 2018 dans l’établissement du Quartier latin. Le nombre d’étudiants dans les programmes courts comme les certificats a chuté de 34 % en quatre ans (une perte de 3201 étudiants). Au baccalauréat, la baisse a été de 7 % durant la même période (1292 étudiants en moins). » C’est à lire, de ce côté.

Exposition de la Ligue des droits et des libertés

La Ligue des droits et des libertés, un organisme que le SPPEUQAM soutient depuis plusieurs années, présente actuellement une exposition à l’Écomusée du fier monde, soulignant ainsi ses soixante années d’existence. « L’exposition Droits en mouvements, organisée à l’occasion du 60e anniversaire de la Ligue des droits et libertés (LDL), dresse un panorama des grandes luttes pour les droits humains qui ont marqué le Québec contemporain. » Si vous avez déjà fréquenté l’Écomusée du fier monde, cela vaut le coup d’y retourner, mais si vous ne connaissez pas ce lieu magnifique, nous vous le recommandons chaleureusement. D’autant plus que cette exposition concerne la Ligue et qu’elle sera à l’affiche tout l’été!

Alexandre Cloutier et les étudiants de l’étranger

Le président du réseau de l’Université du Québec, Alexandre Cloutier, livre ses réflexions à l’émission radio animée par Alec Castonguay, Midi Info, sur la population étudiante provenant de l’étranger, une population que l’on tente de recruter pour s’installer définitivement au Québec avec le Programme de l’expérience québécoise, communément appelé le PEQ. Mais est-ce au détriment des pays qui « fournissent » cette population étudiante, au bénéfice du Québec et plus largement du Canada? L’entrevue dure huit minutes et on l’écoute en cliquant sur ce lien.

Drainville ne démord pas de sa réforme et met le feu aux poudres

Marie-Michèle Sioui, correspondante parlementaire à Québec a récemment rencontré, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, en compagnie du chroniqueur Michel David et du directeur Brian Myles, en « table éditoriale du Devoir ». Le ministre a entre autres affirmé que « la thèse sur l’école à trois vitesses a un biais idéologique ». Selon Marie-Michèle Sioui, « Le ministre critiquait de cette façon les conclusions du Conseil supérieur en éducation (CSE), qui a remis en 2016 un rapport avançant que le Québec avait le réseau scolaire le plus inéquitable du Canada. Avec sa nouvelle réforme, le CSE perd des plumes : sa mission devient circonscrite « aux questions relatives à l’enseignement supérieur », est-il écrit dans le projet de loi 23.

Le mandat du Conseil supérieur de l’éducation en péril

Faisant suite à l’article précédent qui traite du projet de loi 23 déposé par Bernard Drainville, un texte collectif de Jean-Pierre Proulx, Claude Benjamin, Robert Bisaillon, Céline Saint-Pierre, Nicole Boutin et Claude Lessard, qui ont déjà présidé le Conseil supérieur de l’éducation a été publié dans l’édition du 11 mai du Devoir. En voici une partie, mais nous vous invitons à le lire en entier : « C’est avec stupéfaction que nous avons pris connaissance du projet de loi 23 modifiant notamment la Loi sur l’Instruction publique et la Loi sur le Conseil supérieur de l’éducation et édictant la Loi sur l’Institut national d’excellence en éducation.

Harcèlement de rue : Dès 10 ans, elles sont aux aguets

Un rapport de recherche de recherche sur le harcèlement de rue que vivent les fillettes et les jeunes filles à Montréal vient de paraître. Intitulé : « Le harcèlement de rue envers les jeunes : de la recherche à l’action », le rapport révèle une situation qu’un très grand nombre de femmes, très jeunes et moins jeunes, de Montréal et d’ailleurs, connaissent malheureusement trop bien, parce qu’elles l’ont vécue. C’est plutôt brassant et choquant comme situation, mais cela vaut la peine, et le temps, de s’y arrêter. On peut télécharger le rapport par ici, via le site Internet du Centre d’éducation et d’action des femmes de Montréal.

Réforme Drainville en éducation

Un article signé Marie-Ève Morasse et Hugo Pilon-Larose, de La Presse du 4 mai nous apprend que « Les syndicats estiment que cette nouvelle réforme n’est qu’un nouveau « brassage de structure » et que dans les faits, les élèves ne verront pas la différence. « Est-ce que cette énième réforme viendra régler les importants problèmes que vivent les élèves et le personnel du réseau de l’éducation ? La réponse est non », a déclaré Caroline Senneville, présidente de la CSN ».

La réforme « draine » l’idée réchauffée de la création d’un institut national d’excellence en éducation, ce qui ne fait absolument pas consensus du côté des syndicats concernés qui n’ont évidemment pas été consultés.

Recherche sur nos besoins en enseignement

Un projet de recherche sur les transformations du travail en enseignement collégial et universitaire par la pandémie s’intéresse aux besoins actuels des enseignantes et enseignants pour des conditions favorables à la santé physique et mentale. L’objectif de cette recherche est de comprendre comment les ressources individuelles, interpersonnelles et organisationnelles influencent l’expérience de l’enseignement (non présentiel, présentiel et autres modes) et de formuler des pistes de solution à partir des besoins du personnel enseignant. On doit répondre au questionnaire d’ici le 7 mai. Pour participer, on clique sur ce lien.

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Cette collecte de données consiste à remplir un questionnaire en ligne d’une durée de moins de 20 minutes afin d’observer à plus grande échelle certains résultats observés lors des groupes de discussion réalisés au cours du printemps 2022.

Deux brèves vidéos réussies

Notre fédération nationale a récemment produit deux brèves vidéos, très réussies, réalisées par Martin Robert, conseiller à l’information de la FNEEQ, sur la situation des chargées et chargés de cours dans les universités du Québec. On peut accéder aux vidéos sur Viméo. La première s’intitule : « La précarité, douloureuse réalité des chargés-es de cours », à télécharger ici, et la deuxième  « Le manque de reconnaissance de l’expertise des chargé-es de cours », est à télécharger par là.

La trahison des objectifs de la Commission Parent

L’école autrement, un documentaire d’Érik Cimon, a récemment été diffusé à Télé-Québec. Le film fait part du gâchis monumental dans lequel pataugent les jeunes et le personnel enseignant des niveaux primaire et secondaire au Québec, ce qui a évidemment des répercussions au CEGEP et à l’université, et bien sûr aussi pour les jeunes qui fréquentent l’école et toute notre société. On peut voir le film par ce lien.

On peut aussi lire un article de la journaliste Anne-Marie Provost, paru dans l’édition du Devoir du 11 avril qui écrivait : « C’est comme si, aujourd’hui en 2023, nous étions revenus à la situation de 1960 », soulignera devant la caméra le sociologue Guy Rocher, en revenant sur la Commission Parent qui fut mise sur pied en 1961 et qui répondait à des problèmes de profondes inégalités.

Forum citoyen Parlons éducation à l’UQAM

Un forum citoyen organisé par Parlons éducation aura lieu les 14 et 15 avril, à l’UQAM. Nous avons déjà souligné cette importante initiative de consultation dans les Nouvelles du SPPEUQAM. Nous vous invitons chaleureusement à recueillir les informations nécessaires pour vous y inscrire. C’est gratuit. On accède à la page facebook ici et à celle d’Instagram de ce côté. On peut également consulter un texte de Marie-Ève Morasse, paru en janvier dernier dans La Presse et qui présente la concept des forums citoyens.

L’UQAM en vedette

Notre université a ainsi passablement été en vedette ces derniers jours dans les médias, entre autre, dans Le Devoir, avec un texte de Zacharie Goudreault et un second signé Anne-Marie Provost sur la « course » au rectorat et une lettre ouverte signée par plus de 1 300 personnes ayant à cœur la mission de l’UQAM et qui presse le Gouvernement du Québec de sauver notre université de la dérive. La très grande majorité des membres de notre Syndicat ont aussi à cœur la mission de l’UQAM; plusieurs d’entre nous ont d’ailleurs signé cette lettre. Nous vivons toutefois une amère déception en constatant que les trois premières personnes signataires qui apparaissent dans Le Devoir sont toutes trois professeur.e.s,