Pour ou contre l’entente de principe


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Lors d’un vaste mouvement de revendications qui se déploie dans une extraordinaire mobilisation des membres des syndicats, il n’est pas toujours évident de se rendre compte que l’aboutissement des négociations ne reflète pas les objectifs que nous nous étions tracés et qui ont soutenu le déploiement de nos énergies pendant plusieurs semaines, souvent dans un contexte très engageant émotivement.

C’est sans doute ce que vivent plusieurs militantes et militants du milieu de l’éducation et d’autres secteurs qui étaient récemment en grève et qui votent actuellement sur l’entente de principe conclue entre les comités de négociation syndicaux et patronaux. À ce sujet, on peut lire un article d’Alice Girard-Bossé, paru dans l’édition du 17 janvier de La Presse, qui nous informe que « les orthophonistes du réseau public jugent la nouvelle entente de principe du Front commun « extrêmement décevante » et s’apprêtent à voter contre la proposition. 

Enfants vulnérables : près de 4 sur 10 dans certains quartiers


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Un article de Katia Gagnon de la Presse, daté du 17 janvier 2024, nous apprend que « certains quartiers de Montréal présentent des taux de vulnérabilité importants dans les classes de maternelle ; près de quatre enfants sur dix dans les quartiers du sud-ouest de la métropole présentent au moins un facteur de vulnérabilité lorsqu’ils arrivent à l’école, montre l’analyse régionale de l’Enquête québécoise sur le développement des enfants à la maternelle (EQDEM), réalisée en 2022. »

Plus que jamais, il importe, pour l’État et aussi pour les organisations citoyennes, d’actualiser ces objectifs ultimes de justice sociale, de lutte contre la pauvreté et de démocratisation de l’éducation.

Cette grève en éducation fut une révélation


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Le Devoir a publié le 15 janvier dernier, dans sa section Idées, un intéressant texte de Martin Lacasse, qui est impliqué dans le milieu de l’Éducation depuis plusieurs années; si vous pouvez accéder à ce texte dans Le Devoir, c’est par ici, sinon, nous en citons un bon extrait : « Cette grève en éducation fut une révélation. Tout d’abord en montrant que le gouvernement n’avait pas de plan précis pour mener des négociations fructueuses. Offrir moins de 10 % d’augmentation sur cinq ans était ridicule comme entrée en matière. Pour reprendre une célèbre expression née de la pandémie, le gouvernement a construit l’avion de la négociation en plein vol!

Une grève féministe


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Sur le même sujet de ce mouvement de grève et de son extraordinaire mobilisation, mais avec une autre optique d’analyse que le texte de monsieur Lacasse, on peut écouter les réflexions et l’analyse féministe de notre collègue Camille Robert, doctorante et chargée de cours en histoire à l’UQAM, à l’émission radio « Première heure » d’ICI première, diffusée le 8 janvier dernier, en cliquant sur ce lien.

Yves Léveillé


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Dans le cadre de l’émission télé Jazz@vue, produite par MAtv, le talentueux humoriste Pierre Verville prend le rôle de l’animateur pour une dynamique entrevue avec le pianiste et compositeur Yves Léveillé, chargé de cours au Département de musique de l’UQAM. On peut ainsi assister à une entrevue avec notre collègue artiste entrecoupée de prestations musicales jouées avec son ensemble pour quintette à cordes et piano. Par cet entretien, notre collègue musicien trace une partie de son riche parcours comme créateur, pédagogue et gestionnaire des Productions Yves Léveillé.

In memoriam, Francine St-Hilaire


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L’équipe syndicale a tout récemment appris le décès de notre collègue retraitée Francine St-Hilaire qui a quitté ce monde le 27 août dernier. Madame St-Hilaire était une militante assidue de notre Syndicat particulièrement dans les années 90 et 2000. Elle a ainsi occupé plusieurs postes de représentation pour défendre les intérêts de ses collègues du Département de mathématiques et de la Faculté des sciences. Très impliquée dans toutes les actions du Syndicat, on la remarquait par sa présence constante dans les instances syndicales. Elle a en outre été secrétaire générale au Comité exécutif en 1999-2000. Merci pour votre généreuse implication, madame St-Hilaire!

Vers la fin du trimestre


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C’est presque, mais vraiment presque, la fin du trimestre d’automne à l’UQAM, avec un congé des fêtes qui s’en vient et où les précaires de l’enseignement universitaire que nous sommes vont, pour celles et ceux qui ont eu la chance d’enseigner, faire de la correction avant et après le Jour de l’an; ce ne sera également pas le congé des fêtes mur à mur pour notre Comité de négociation sur l’enseignement en ligne, car le cahier de demandes sur lequel il travaille minutieusement sera déposé le 11 janvier, au lieu du 14 décembre comme prévu initialement.

Claude Hétu


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C’est avec grande tristesse que des membres du Syndicat viennent d’apprendre le décès de notre collègue et camarade Claude Hétu qui enseignait à l’École des sciences de la gestion et qui, surtout, avait une personnalité hors du commun, à la fois doté d’une grande intelligence, d’une attachante sensibilité et d’une remarquable expérience sur le terrain; au syndicat, il s’était, entre autres, impliqué en étant élu en novembre 2019 par l’Assemblée générale pour faire partie du conseil d’administration provisoire du SPPEUQAM, afin de veiller à la bonne administration du syndicat jusqu’à l’élection d’un nouvel exécutif en 2020.

Assurance médicaments, le passage tortueux de décembre à janvier


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Un mémo a été envoyé à l’ensemble des chargées, chargées de cours le 5 décembre par le Service de la rémunération globale de l’UQAM; comme indiqué dans ce message, il ne faut pas oublier que notre assurance médicaments prendra fin le 31 décembre, pourvu que l’on ait eu une couverture par cette assurance en 2023, assurance qui sera renouvelée en janvier 2024 s’il y a cumul d’au moins 45 h de charge de cours au trimestre d’Hiver. Ainsi, voici quelques points importants à prendre en considération :

Les précaires au cégep : environ 40% du corps enseignant


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Ce matin 14 décembre 2023, 5 h 35, en commençant à lire mon Devoir papier que je viens de sortir de la froidure de la boîte aux lettres, je découvre tels des cadeaux plusieurs textes qui pourraient être inclus dans Les Nouvelles du SPPEUQAM que vous avez sous les yeux : il y a entre autres cette lettre d’opinion de Maude Nepveu Villeneuve, enseignante au collégial en littérature qui a été précaire au cégep pendant 12 ans, intitulée « Le chêne et le roseau » et qui exprime avec justesse la flexibilité dont les précaires et aussi les profs permanent-e-s font preuve au Cégep.

L’exploitation des femmes par la réforme Dubé


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Nous vous convions à lire cette lettre signée par un nombre impressionnant de militantes particulièrement des milieux syndicaux et communautaires et qui dénonce l’exploitation du travail des femmes par la réforme Dubé adopté sous bâillon à l’Assemblée nationale; la lettre a été publiée dans l’édition du Devoir du14 décembre, et elle est disponible sur le site Internet de la CSN par ici

Vanessa Mardirossian et Daniel Robitaille


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La designer textile et chercheuse Vanessa Mardirossian, également chargée de cours à l’École de design de l’UQAM, vient de participer au symposium international « Le textile au-delà de l’artisanat », qui s’est tenu au Centre du design du pavillon de Design, les 30 novembre et 1er décembre derniers; le Pavillon de Design où travaillent plusieurs chargées, chargés de cours de renom abritent d’ailleurs souvent des expositions, fort intéressantes : son Centre du design est vraiment un endroit à fréquenter pour accéder gratuitement à des expositions qui sortent de l’ordinaire, d’autant plus que c’est au Campus central de l’UQAM, rue Sanguinet.

Zurcher Mardy


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Actualités UQAM nous apprenait récemment, par un texte de Jean-François Ducharme, que notre collègue Zurcher Mardy, chargé de cours en géographie depuis un an, allait être scientifique en résidence à la ville de Laval grâce à une bourse postdoctorale des Fonds de recherche du Québec; « Le chercheur alimentera les travaux et les réflexions de la Ville en lien avec le développement et la mise en œuvre d’un plan de résilience municipale, notamment vis-à-vis des changements climatiques ».

Sur la page LinkedIn de monsieur Mardy, on peut lire ceci : « Zurcher Mardy, docteur en sciences de l’environnement, chargé de cours au département de géographie de l’UQAM dans le domaine de l’évaluation environnementale stratégique et de la géomatique.

Gestionnaire à la TELUQ et agréer des formations… de la TELUQ avec le CAPFE


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Marie-Michèle Sioui,correspondante parlementaire à Québec,est titulaire d’un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et à qui plusieurs chargé-e-s de cours lui ont d’ailleurs enseigné, a signé un texte dans le Devoir du 14 décembre intitulé « Drainville a nommé une présidente en conflit d’intérêts, selon doyens et oppositions » qui reflète le malaise de plusieurs au sujet de « la nomination de la directrice du Département d’éducation de la TELUQ, Caroline Brassard, à la tête d’un comité d’experts qui doit majoritairement approuver des formations offertes par la TELUQ (et qui) suscite l’indignation des partis d’opposition et des doyens, qui y voient de sérieux risques de conflits d’intérêts. 

Frais de scolarité universitaires pour les hors-Québec et francisation


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Ce 14 décembre, Tommy Chouinard, chef de bureau de La Presse à Québec, a signé un article intitulé « Étudiants étrangers des autres provinces, Québec confirme la hausse des droits de scolarité »; il y écrit que « Le gouvernement Legault confirme la hausse des droits de scolarité des étudiants venant des autres provinces canadiennes et rend conditionnelle une partie du financement des universités McGill et Concordia à la francisation de 80 % de leurs étudiants non québécois. » On peut accéder à l’article complet par ce clic.

So! So! So! Solidarité!!!


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La solidarité est une des valeurs qui s’illustrent abondamment dans cette édition des Nouvelles du SPPEUQAM. On le voit par cette unanime solidarité exprimée par les membres du SPPEUQAM en Assemblée générale sur nos revendications en enseignement en ligne, également par la solidarité que nous exprimons avec nos collègues précaires de l’Université Laval et à l’endroit de toutes les femmes qui prennent soin des gens et subissent l’anti-féminisme néo-libéral du gouvernement Legault avec ce texte de notre collègue Joëlle Dussault dans la rubrique Membres en action, et par bien d’autres textes de cette édition

Enfin, nous invitons toutes et tous les membres du SPPEUQAM à exprimer leur solidaire générosité envers les parents aux études à l’approche des festivités de Noël en déposant des vêtements, des livres ou des jouets en bon état qui ne servent plus dans les boîtes installées à cet effet par le Comité de soutien aux parents étudiants à ces endroits : Bureau de la sécurité au A-M865, au Poste de garde du DS et à celui du PK.

Chronique de négo


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Projet de négociation adopté à l’unanimité : la suite

Réunis en Assemblée générale, le 16 novembre, les membres du SPPEUQAM ont adopté le projet de négociation qui leur a été proposé suite aux consultations (sondage, ateliers de discussion, etc.) effectuées par le Comité de négociation; la proposition adoptée à l’unanimité prévoit de demander à l’employeur de limiter la taille des groupes-cours pour les cours en ligne à un maximum de 40 étudiants et étudiantes, tout en les maintenant sous la barre du nombre d’étudiants des cours en présence.

De plus, les membres ont choisi de revendiquer l’obtention de deux charges de cours pour la médiatisation de matériel pédagogique préalable à la prestation d’enseignement de cours hybride et en ligne.

Chronique mobilisation-intégration


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Dernière édition du SPPEUQAM-INTÉGRATION

On trouvera par ce lien la dernière édition du SPPEUQAM-INTÉGRATION sur le site Internet du Syndicat. Le budget annuel pour les projets d’intégration est de 600 000$ auquel s’ajoute le montant résiduel des projets antérieurs non complétés, soit 164 413 $ pour cette année.

Précédemment, lors du dépôt annuel de mai dernier, 130 projets ont été financés par le Comité de liaison institutionnel, pour un total de 470 629$. Un total de 41 projets ont par la suite été financés lors du dépôt Ad hoc de septembre 2023, pour une somme de 123 783 $, en considérant un taux horaire de 55$/h.

Harcèlement et chômage temporaire


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Hier, le 29 novembre, le SPPEUQAM, représenté par son président Olivier Aubry, a participé à une action avec le Comité chômage de Montréal dans les bureaux de Service Canada à Montréal; lors de la conférence de presse, notre président a expliqué la situation chargées et chargés de cours et les difficultés, voire le harcèlement, que certaines de ces personnes vivent lors d’une période de chômage temporaire.

Cette action s’inscrit dans la nécessité de réformer l’assurance-emploi afin d’en faciliter l’accès et de réduire les délais dans le traitement des demandes. Pour lire plus d’informations, on se dirige sur cette page Facebook du Conseil central du Montréal métropolitain.

Affichage complémentaire : 4 décembre


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Pour les chargées, chargés de cours de l’UQAM qui n’ont pas le nombre de cours désirés, il vaut la peine de consulter l’affichage complémentaire qui sera accessible sur ACCENT les 4 et 5 décembre, avec les réponses d’attribution le 7 décembre, car on ne sait jamais…

Retour sur l’action de visibilité du 22 novembre


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Lors de la Journée nationale des chargées et des chargés de cours, 120 livres de pommes, lavées, croquantes et juteuses ainsi que et 1 500 feuillets (tracts) ont été distribués aux personnes qui sont passées par l’entrée principale du métro Berri-UQAM; le feuillet soulignait notre Journée nationale, notre précarité au niveau de l’emploi et un bref sommaire de nos revendications sur la négociation de l’enseignement en ligne.

Pour une meilleure reconnaissance du travail des chargé-e-s de cours


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Un cahier spécial sur le syndicalisme a été publié dans l’édition de la fin de semaine dernière du Devoir; il s’y trouve ainsi un article de Pierre Vallée intitulé « Mieux soutenir le réseau universitaire québécois », avec pour sous-titre « La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec plaide notamment pour une meilleure reconnaissance du travail des chargés de cours. »

Notre vice-présidente, responsable du regroupement université, Christine Gauthier est citée dans cet article, où elle mentionne à notre sujet : « Ce sont tous des employés contractuels (explique-t-elle), et de ce fait, ils ne sont pas considérés comme faisant partie du corps professoral régulier.

L’ADEESE poursuit la grève


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En solidarité avec les travailleuses et les travailleurs de l’enseignement en grève ou à la veille de l’être, on lit sur le site Internet de l’association étudiante en éducation que « L’assemblée générale de l’ADEESE UQAM s’est prononcée à nouveau cet après-midi (28 novembre NDLR) en faveur d’une grève générale illimitée en appui au Front commun et à la FAE.

Les cours réguliers et toutes les activités académiques dont la remise de travaux, les examens et les cours en ligne synchrones et asynchrones sont touchés par la grève. Les stages et les séminaires de stage sont exclus de la grève. Voici la liste des cours touchés par la grève.

Joëlle Dussault


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Chargée de cours en travail social, Joëlle Dussault a rédigé une lettre d’opinion intitulée « Grève : le néolibéralisme est antiféministe » qui a récemment été publiée dans Pivot et où on y lit que « Dans le but de faire des économies, le gouvernement se repose entre autres sur le travail du care fourni par de nombreuses femmes dans la société pour se désinvestir de tout ce qui touche au soin, à l’éducation et à l’accompagnement .

« C’est en ce sens que les politiques néolibérales sont antiféministes : pour qu’elles réussissent, ces politiques sociales doivent compter sur le travail gratuit, sur le surmenage et sur la disponibilité constante des professionnel·les du care. »

Bachir Sirois-Moumni


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Nos collègues Bachir Sirois-Moumni enseignant en communication sociale et publique et Myriam Lavoie-Moore de l’École des médias, qui sont deux spécialistes de la sociologie du sport, sont cités dans la chronique d’Yves Boisvert d’aujourd’hui, 30 novembre, intitulée « Une usine à jambon de boxe »; cette excellente chronique indique, entre autres, que monsieur « Sirois-Moumni est « solidaire avec les boxeurs, mais voir comment sont organisés les combats, ça me fait craindre pour leur sécurité. Ils sont placés dans un régime d’inégalité. »

Le chroniqueur de La Presse s’inquiète du fait que « Depuis 2013, seulement 9 % de tous les boxeurs invités de différents pays ont remporté leur combat au Québec.