Multiplier les organismes ou les mécanismes de vérification de la gestion contractuelle au gouvernement du Québec ne changera rien, selon le SFPQ


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Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) estime que le projet de loi no 107, Loi visant à accroître la compétence et l’indépendance du commissaire à la lutte contre la corruption (UPAC) et du Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), ainsi que le pouvoir du directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) d’accorder certains avantages à des témoins collaborateurs passe à côté de l’essentiel. Le président général du SFPQ, Christian Daigle, a expliqué en commission parlementaire que le projet de loi no 107 ne permettra pas de réduire significativement le risque de corruption, de collusion ou d’autres types de pratiques répréhensibles autour des contrats publics, pour la simple et bonne raison qu’il ne s’attaque pas du tout à la racine des problèmes, soit la prolifération de la sous-traitance dans le secteur public québécois.

Interventions de l’UPAC du SPGQ le 14 octobre : deux «mandat de perquisition» viseront les ministres Heurtel et Charlebois


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L’UPAC (Unité professionnelle en attente de convention) du Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) tentera de remettre un «mandat de perquisition» au ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel, qui prononcera le 14 octobre à 7h30, à l’hôtel Le Westin, à Montréal, une allocution devant les membres du Conseil du patronat du Québec. Un autre «mandat de perquisition» visera la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois, qui prononcera le 14 octobre à 11h30, au Club de golf Parcours du Cerf, à Longueuil, une allocution devant les membres de la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud.

L’UPAC s’intéresse à l’UQTR


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L’Unité permanente anticorruption (UPAC) aurait lancé une enquête sur l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), trois ans après le début du rectorat controversé de Nadia Ghazzali. L’Unité serait intéressée par diverses affaires, notamment celle de la mutation de la rectrice Ghazzali d’une chaire de recherche de l’Université Laval vers l’UQTR.

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Contrats octroyés par l’UQTR : Drummondville a aussi collaboré avec l’UPAC.

L’UPAC à l’UQTR : la rectrice Ghazzali se défend.