Les profs de l’UQO acceptent l’entente de principe à 93 %


Classé dans : Monde syndical | 0

Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais–CSN (SPUQO) ont accepté, lundi, à 93% par voie de scrutin secret l’entente de principe intervenue vendredi dernier entre le syndicat et l’administration de l’UQO. «Après plus de deux ans et demi de négociations, nous avons réussi à préserver nos acquis, tout en allant chercher des gains appréciables. Entre autres, nous avons obtenu un fonds professionnel de 2000$ renouvelé à chaque deux ans afin de soutenir les activités de recherche des profs, de souligner Louise Briand, présidente du SPUQO. Nous avons également obtenu l’amélioration des droits parentaux, des dégagements supplémentaires pour activités syndicales et des augmentations salariales respectables, en rupture avec le gel salarial proposé par l’employeur dans sa dernière offre.»

Négociation du SPUQO : un arbitre impartial doit trancher


Classé dans : Monde syndical | 0

À la demande du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO), le conciliateur a convoqué les parties à une 42e rencontre de négociation, qui a eu lieu mercredi. «Le comité de négociation entretenait des espoirs de convenir, enfin, d’une entente de principe: or, nous avons été déçus. Il était toutefois nécessaire de tenir cette rencontre afin de vérifier la teneur des propos du recteur dans son communiqué du 16 février 2018 selon lesquels la demande d’arbitrage et le vote de grève de l’assemblée générale mettaient fin au processus de négociation et de conciliation entre l’UQO et le Syndicat des professeurs, de préciser Louise Briand, présidente du SPUQO.

Les profs rejettent la contre-offre de l’UQO


Classé dans : Monde syndical | 0

Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais–CSN (SPUQO) ont rejeté à 71% par voie de scrutin secret, le 16 février, la contre-offre de l’administration de l’UQO déposée le 10 février. «Nous avons rejeté cette contre-offre de l’administration parce que nous refusons de sacrifier la démocratie syndicale, l’équité de traitement entre les professeures de Saint-Jérôme et de Gatineau, l’insertion professionnelle des nouveaux professeurs, le recours à la justice face aux atteintes par l’administration de l’UQO au Code du travail et le traitement salarial méprisant qui ferait de nous les professeurs les moins bien payés du réseau de l’Université du Québec.

Négociations à l’UQO : le recteur Denis Harrisson pousse les profs à la grève


Classé dans : Monde syndical | 0

Mercredi matin entre 8h30 et 9h30, les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO) ont exercé leur droit de grève, contredisant ainsi les prétentions du recteur Denis Harrisson. Celui-ci avait annoncé sur le site de l’UQO que l’arrêt de travail d’une heure prévu ce matin pouvait ne pas se concrétiser tellement une entente était envisageable. «Lundi dernier, lors de la première de deux séances de conciliation que nous avons demandées, l’équipe patronale n’avait pas le mandat de répondre à la contre-proposition que nous lui avons présentée», de déclarer Louise Briand, présidente du SPUQO.

UQO : la plainte contre la professeure Louise Briand est rejetée


Classé dans : Monde syndical | 0

La professeure de l’Université du Québec en Outaouais, Louise Briand a récemment été informée que la plainte contre elle avait été rejetée, mais sans explication! En mai 2017, la Fédération des professionnèles (FP-CSN) a lancé une campagne pour dénoncer l’exclusion illégale de Louise Briand, professeure à l’UQO, du conseil d’administration de l’UQO et la plainte en déontologie qui a été logée contre elle. La professeure Briand a comparu devant le Comité de gouvernance et d’éthique du conseil d’administration de l’UQO le 6 septembre et elle ne connaissait pas, plus de trois mois après sa comparution, la décision du comité, bien qu’elle ait contacté le président du comité à deux reprises.

UQO : les chargés de cours et les profs pourraient bien être en grève bientôt


Classé dans : Monde syndical | 0

Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) et l’Université du Québec en Outaouais (UQO) étaient en négociation les 18 et 19 décembre. L’UQO a pris la décision de quitter la table de négociation et de faire appel à la médiation. Le SCCC-UQO pourra utiliser son mandat de grève générale illimitée au trimestre d’hiver 2018. «Notre syndicat avait proposé une série de compromis. L’UQO a plutôt choisi la voie de l’intransigeance et du conflit de travail», a déclaré Marie-Josée Bourget, présidente du SCCC-UQO.

Sans contrat de travail depuis le 1er mai 2015, le Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO) déclenchera la grève le 17 janvier prochain si aucune entente satisfaisante n’est obtenue d’ici là.

Trois syndicats quittent le comité de lutte contre les violences sexuelles de l’UQO


Classé dans : Monde syndical | 0

Les syndicats représentant les chargés de cours, les professeurs et les étudiants salariés de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) ont décidé de retirer leurs représentantes au Comité consultatif pour une communauté exempte de harcèlement, de violence et d’agression à caractère sexuel. Plusieurs éléments sont reprochés à l’UQO dans sa gestion de ce comité dont le manque de transparence quant à la nomination et à la gouvernance. «La création d’un comité consultatif chapeauté par un comité décisionnel constitué uniquement de cadres crée une illusion de collégialité qui est impropre au contexte universitaire et qui mine le succès de l’initiative dans son ensemble», a soutenu Louise Briand, présidente du Syndicat des professeures et professeurs de l’UQO (SPUQO).

Contre les violences sexuelles, l’implication des communautés est essentielle


Classé dans : Monde syndical | 0

La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), la Fédération des professionnèles (FP) et la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP) reconnaissent que la stratégie d’intervention présentée aujourd’hui par la ministre de l’Enseignement supérieur pour lutter contre les violences sexuelles sur les campus est un pas dans la bonne direction. Pour viser juste, la stratégie gouvernementale doit cependant respecter certaines conditions. «L’adoption par les établissements d’une politique de prévention des agressions à caractère sexuel doit impliquer l’ensemble de la communauté et les ressources financières doivent être récurrentes et à la hauteur des besoins», précise pour sa part, Louise Briand, vice-présidente du secteur universitaire de la FP.

Appui de l’intersyndical de l’UQAM à la professeure Louise Briand, représentante des professeures et professeurs au conseil d’administration de l’UQO


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Aux membres du Comité de gouvernance et de déontologie du conseil d’administration de l’Université du Québec en Outaouais, les syndicats de l’Université du Québec à Montréal tiennent à vous faire part de leur indignation face au geste posé par le Comité de gouvernance et de déontologie du conseil d’administration de l’UQO de menacer la professeure Louise Briand de révocation. Les membres internes qui siègent au conseil d’administration des institutions d’enseignement supérieur ont droit à tous les égards qu’appelle la fonction d’administrateur. Plus particulièrement, la professeure Louise Briand mérite d’être traitée de manière équitable et respectueuse de sa liberté académique, de sa liberté politique et de sa liberté d’expression.

Le SPUQO appuie unanimement la plainte de négociation de mauvaise foi déposée par son comité de négociation


Classé dans : Monde syndical | 0

Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais ont adopté unanimement, jeudi en assemblée générale, une résolution d’appui à leur comité de négociation qui a déposé, le 21 avril dernier, une requête en vertu de l’article 53 du Code du travail demandant au Tribunal administratif du travail (TAT) de statuer sur la mauvaise foi de l’employeur dans le cadre de la négociation actuelle. «Pour la première fois de son histoire, la direction de l’UQO a confié le mandat de négocier à un cabinet d’avocats externe à l’institution. Nous sommes alors en droit de nous demander si la mauvaise foi de l’employeur est liée à la porte-parole patronale, Isabelle Carpentier-Cayen, ou au refus obstiné de Denis Harrisson, recteur de l’UQO, de donner un réel mandat à son comité de négociation pour en arriver à un règlement», de déplorer Louise Briand, présidente du SPUQO.

Offre de cours à l’UQO : la direction de l’université fait diversion et joue la carte de l’intimidation


Classé dans : Monde syndical | 0

Le 21 mars dernier, le Syndicat des professeures et professeurs de l’UQO (SPUQO) a tiré la sonnette d’alarme en informant la communauté que la direction de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) cherchait à réduire son offre de cours au trimestre d’automne 2017. En entrevue avec le journaliste Louka Jacques sur les ondes de Radio-Canada Première, le porte-parole de l’UQO, monsieur Gilles Mailloux, a réfuté les affirmations du SPUQO et a affirmé qu’au contraire, il y avait une augmentation de l’offre de cours. «Données factuelles à l’appui, le SPUQO constate que les propos de monsieur Mailloux détournent notre attention de l’enjeu mis en lumière par notre syndicat puisque l’offre de cours dont il a fait mention durant cette entrevue touche à l’année universitaire 2016-2017 ainsi qu’aux années antérieures.