La CSQ en accord avec l’avis du Conseil supérieur de l’éducation : lever les obstacles pour plus d’égalité


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«Nous ne pouvons qu’être en accord avec le grand principe proposé par le Conseil supérieur de l’éducation, puisque celui-ci vise à assurer l’égalité des chances, une valeur que nous partageons et un objectif qui doit être au cœur de l’éducation au Québec. Or, selon nous, cela restera un idéal si certains obstacles ne sont pas levés et que les conditions adéquates ne sont pas données aux établissements», souligne Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) en rapport avec l’avis présenté par le Conseil supérieur de l’éducation (CSE), Pour une école riche de tous ses élèves,portant sur la prise en compte de la diversité des élèves, de la maternelle à la fin du secondaire.

Inégalité scolaire : le Québec dernier de classe ?


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La concurrence entre les différents établissements scolaires, ce qu’on appelle le «marché scolaire», s’impose comme la nouvelle norme présidant au destin des écoles québécoises. Que ce soit par le biais de la concurrence faite par les écoles privées aux écoles publiques ou même, de manière plus insidieuse, de la chasse à la «clientèle» qui oppose les écoles publiques les unes aux autres, certains semblent penser qu’une configuration concurrentielle du réseau d’éducation l’aiderait à mieux répondre aux aspirations des élèves. Pourtant, comme le Conseil supérieur de l’éducation le relevait l’an dernier, cette mise en concurrence ne fait que miner la qualité des services offerts à la majorité des jeunes.

L’Est-du-Québec présent au Conseil supérieur de l’éducation


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Le Conseil supérieur de l’éducation a présenté ses 24 nouveaux membres qui siègent à l’une ou l’autre des cinq commissions. Parmi eux, deux membres proviennent de la région de l’Est-du-Québec. Il s’agit de Mme Diane Bélanger, psychoéducatrice à l’école Caron, de la Commission scolaire des Monts-et-Marées, qui siégera à la Commission de l’éducation préscolaire de l’enseignement primaire. Il y a aussi Mme Laurence Galarneau-Girard qui siègera pour la Commission de l’enseignement secondaire. Elle est orthophoniste à la Commission scolaire René-Lévesque et administratrice à la Commission jeunesse Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine.

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Visionnez la conférence sur l’éducation populaire du Conseil supérieur de l’éducation


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Maxime Steve Bégin et Jean Rousseau, les coauteurs de l’avis sur l’éducation populaire produite par le Conseil supérieur de l’éducation, ont présenté les grandes lignes de la publication le 22 mars, une conférence sur l’éducation populaire qui a attiré plus de 55 personnes. L’avis, très fouillé et documenté, permet de constater la richesse et la diversité de l’éducation populaire développée au Québec. Vous pouvez visionner la conférence.

L’éducation populaire sous les projecteurs du Conseil supérieur de l’éducation le 22 mars


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Le Conseil supérieur de l’éducation présentera son avis sur l’éducation populaire le 22 mars, de 10h30 à 12h30 au local N-M210 du Pavillon Paul-Gérin-Lajoie de l’UQAM. Cet avis fait un portrait très juste de l’éducation populaire et montre tout son intérêt et son apport. L’événement est organisé conjointement par l’ICÉA et Audrey Dahl, professeure au Département d’éducation et formation spécialisées de l’UQAM. Vous pouvez assister à l’événement sur place ou en webdiffusion. À partir d’un ordinateur, cliquez sur ce lien ou copiez-le dans un moteur de recherche (Google ou autre).

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Le 22 mars : un rendez-vous qui met en lumière l’éducation populaire


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L’ICÉA invite le Conseil supérieur de l’éducation à présenter son excellent avis portant sur l’éducation populaire. L’avis est étoffé, bien documenté et offre un tour d’horizon assez complet de l’éducation populaire. Il présente notamment un historique très juste de l’éducation populaire où les actrices et acteurs de ce secteur s’y reconnaissent. Il réaffirme son rôle central en matière d’éducation tout au long et tout au large de la vie. Ainsi, rappelle-t-il, l’éducation populaire ne se réduit pas à un objectif de développement de la main-d’œuvre, comme le voient trop souvent les gouvernements. Elle constitue l’un des lieux où les nombreux besoins d’apprentissage, qui s’expriment différemment tout au long de la vie, peuvent trouver une réponse.

Une profonde réforme s’impose en éducation : nous sommes collectivement coupables d’avoir gravement négligé nos écoles publiques


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«Sortir de la logique du quasi-marché en éducation.» Voilà une phrase clé de l’important rapport que le Conseil supérieur de l’éducation a récemment rendu public. Il s’agit de son Rapport sur l’état et les besoins de l’éducation 2014-2016. Rappelons-le d’abord: depuis sa création en 1964 — en même temps que le ministère de l’Éducation — le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) a produit avec constance des avis et des rapports d’une grande qualité, d’une grande pertinence. Il faut seulement regretter qu’il n’ait pas été écouté et suivi comme il aurait dû l’être par les gouvernements successifs. Le rapport que le CSE vient de remettre au ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport mérite toute notre attention, car il met crûment en lumière les dangereuses inégalités de notre système québécois d’éducation.

L’éducation populaire : un maillon incontournable de l’éducation des adultes, selon un récent avis du Conseil supérieur de l’éducation


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Le Conseil supérieur de l’éducation vient tout juste de faire paraître un avis au ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et à la ministre responsable de l’Enseignement supérieur portant sur l’éducation populaire. L’ICÉA salue la publication de cet avis puisqu’il remet à l’ordre du jour une vision large de l’éducation des adultes et l’importante contribution de l’éducation populaire. On peut résumer cet avis, intitulé L’éducation populaire : mise en lumière d’une approche éducative incontournable tout au long et au large de la vie, en trois idées fortes. Tout d’abord, l’éducation des adultes ne doit pas se résumer, comme c’est le cas actuellement, à l’obtention d’un diplôme et au développement de la main-d’œuvre.

François Blais écorche son propre ministère et le Conseil supérieur de l’éducation


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Le ministère de l’Éducation est «vieillot», lent, s’appuie sur peu de données fiables, et des fonctionnaires pourraient être invités à «relever de nouveaux défis ailleurs». C’est le ministre François Blais lui-même qui le dit, selon un document obtenu par La Presse. Le Conseil supérieur de l’éducation et certains dispositifs ont peut-être eu leur utilité, mais ne s’avèrent plus si pertinents actuellement, a aussi soutenu le ministre devant des représentants de l’Association des doyens, doyennes et directeurs, directrices pour l’étude et la recherche en éducation au Québec.

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Un ancien ministre de l’Éducation donne raison à François Blais.

Le Conseil supérieur de l’éducation consacre l’importance de la formation collégiale


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L’avis du Conseil supérieur de l’éducation intitulé Retracer les frontières des formations collégiales: entre l’héritage et les possibles. Réflexions sur de nouveaux diplômes collégiaux d’un niveau supérieur à celui du DEC technique rendu public mercredi «consacre l’importance de la formation collégiale et réaffirme le rôle essentiel que les cégeps jouent partout au Québec en enseignement supérieur», affirme madame Caroline Senneville, présidente de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN). Le bilan du Conseil exprime très clairement que l’enseignement collégial a contribué au développement d’un système d’enseignement supérieur original, simple et ouvert.

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Les défis du nouveau programme de la Formation générale des adultes


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Le Conseil supérieur de l’éducation a consacré son Rapport sur l’état et les besoins de l’éducation 2012-2014 à la question de la réforme des programmes d’étude. Le curriculum de la Formation générale des adultes (FGA) a retenu l’attention du Conseil, ce que l’ICÉA tient à saluer. Le Conseil explique que la spécificité de l’organisation scolaire de la FGA suscite d’importants défis pour la réforme du curriculum de la FGA, défis qui sont accentués par le report de cette réforme et l’absence d’indications sur son éventuelle relance.

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L’anglais intensif au primaire : la mise en garde du Conseil supérieur de l’éducation


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Le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) vient de présenter au ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, son avis fort intéressant concernant l’enseignement de l’anglais comme langue seconde au niveau primaire. L’avis ne pouvait pas mieux tomber, considérant l’intention du gouvernement de repenser l’approche pédagogique en place pour imposer de manière globale l’enseignement de l’anglais intensif pour les élèves de 6e année.

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Anglais intensif au primaire : la CSQ voit d’un bon œil l’approche prudente du CSE


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La Fédération du personnel de l’enseignement privé (FPEP-CSQ), affiliée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), reçoit positivement l’avis publié au cours des derniers jours par le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) portant sur l’amélioration de l’enseignement de l’anglais comme langue seconde au primaire. Le président de la FPEP-CSQ, Stéphane Lapointe, se réjouit des recommandations prudentes faites par le CSE au ministre de l’Éducation, surtout dans le contexte actuel de manque de ressources et d’austérité budgétaire. «Le Conseil a été bien éclairé en recommandant au ministre de se garder d’imposer mur à mur l’enseignement intensif de l’anglais en 5e ou 6e année», explique Stéphane Lapointe.