Conférence Trump et les femmes : analyses féministes contemporaines, le 13 février


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Une conférence, née d’une initiative du chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et coorganisée avec l’IREF, le GREF et la Chaire Raoul-Dandurand, proposera le mardi 13 février à 18h30, à la salle D-R200 de l’UQAM, une discussion sur la nature des obstacles ainsi que sur les stratégies antiféministes employées non seulement par l’administration Trump depuis le début de son mandat, mais également plus globalement à l’ère de Trump au sein de la société américaine. Où en sont les droits reproductifs aux États-Unis un an après l’arrivée à la Maison-Blanche de la nouvelle administration? Quels ont été les impacts sur les mouvements sociaux et communautaires?

Plus de trois Français sur cinq ont dit ne pas vouloir que Macron ait une majorité absolue au parlement souligne Julien Tourreille


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Malgré la majorité forte avec laquelle Emmanuel Macron a remporté le deuxième tour de l’élection présidentielle française, le nouveau président de la République est loin de faire l’unanimité chez ses compatriotes. En effet, on estime que près d’un électeur sur deux a voté pour lui afin de bloquer Marine Le Pen et non par conviction. «Dans son second discours, il a dit qu’il serait combatif pour obtenir cette majorité, note Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur à la Chaire Raoul-Dandurand. Toutefois, les autres partis ne l’entendent pas de cette façon; ils veulent prendre leur revanche aux législatives.

Julien Tourreille commente le premier tour des élections présidentielles françaises


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«Cette fois, les sondeurs ont vu juste», souligne en riant Julien Tourreille, chargé de cours au Département de science politique et chercheur en résidence à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Comme prévu, le candidat centriste pro-européen Emmanuel Macron (24%) et la candidate du Front national Marine Le Pen (21,3%) sont effectivement sortis gagnants du premier tour des élections présidentielles françaises. Les deux candidats s’affronteront lors du deuxième tour, qui aura lieu le 7 mai. Avec un président socialiste présentant une cote de popularité abyssale, le candidat du parti Les Républicains, François Fillon, aurait pourtant dû l’emporter facilement, estime Julien Tourreille.

Donald Cuccioletta commente le deuxième débat entre Clinton et Trump


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C’est un Donald Trump combatif et acrimonieux qui s’est présenté au deuxième débat en vue des élections présidentielles. Si la fin de semaine a été marquée par la divulgation de propos sexistes et dégradants tenus par le milliardaire il y a 10 ans, ce dernier a décidé de contre-attaquer en ramenant sur le tapis les scandales sexuels de Bill Clinton. Trump a-t-il réussi à sauver la mise? Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand, revient sur le duel à l’antenne de Radio-Canada.

Julien Tourreille publie L’Effet 11 septembre


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Le chargé de cours au Département de science politique Julien Tourreille a co-dirigé l’essai L’Effet 11 septembre, un ouvrage qui regroupe le travail de plusieurs chercheurs, jeunes et moins jeunes sur l’impact des attentats du 11 septembre et les politiques des différents gouvernements en réaction à cet événement. Même si le risque d’attentat terroriste en Occident est bien réel, L’Effet 11 septembre permet au grand public de le relativiser. «Ce risque est surestimé en Occident. On ne le nie pas, on ne le néglige pas, mais on souhaite le mettre en perspective», explique Julien Tourreille, qui est aussi chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM.

Anne Holton pourrait casser un autre plafond de verre, explique Donald Cuccioletta


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Si les démocrates gagnent l’élection présidentielle américaine du 8 novembre, Anne Holton, la femme de Tim Kaine, colistier d’Hillary Clinton, sera la première femme de vice-président ou de président des États-Unis à garder son nom de naissance. À l’exception particulière d’Eleanor Roosevelt, la femme du président Franklin Delano Roosevelt, née Roosevelt… «En politique, qu’une femme porte son nom à elle est extrêmement rare, note Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Même dans la société américaine, ce n’est pas un courant majoritaire. C’est un autre plafond de verre qui va casser.»

L’héritage du 11 septembre : la peur de l’autre, soutient Élisabeth Vallet


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Ce qui en a émergé, 15 ans après les attentats du 11 septembre 2001, c’est un monde où règnent l’anxiété et la peur de l’autre, contre qui on veut se protéger à coups de murs et de frontières. Une réalité qui, pour la génération des jeunes adultes d’aujourd’hui, est devenue une donnée fondamentale et incontestable, constate Élisabeth Vallet, chargée de cours et directrice de l’Observatoire de géopolitique de la chaire Raoul-Dandurand, à l’UQAM. Quinze ans après le 11 septembre, le moteur des relations internationales et des politiques étatiques demeure la peur, soutient-elle dans un autre article.

Yvan Conoir commente les engagements que doit prendre le Sommet humanitaire de l’ONU


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Près de 6000 participants, dont plus de 60 chefs d’État et de gouvernement du monde entier sont réunis dans le cadre du premier Sommet humanitaire de l’ONU à Istanbul. Quels engagements devrait-on y prendre? Yvan Conoir, chargé de cours au Département de management et technologie, chercheur en résidence et coordonnateur de l’école d’été sur les Opérations humanitaires à la Chaire Raoul-Dandurand répond à cette question pour la radio de Radio-Canada.

Entendre l’entrevue.

Élisabeth Vallet est responsable d’un colloque sur les murs frontaliers


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À quoi servent les murs frontaliers? À qui profitent-ils ? Permettent-ils vraiment de sécuriser les territoires? Une cinquantaine de spécialistes du Canada, des États-Unis, d’Europe, du Maghreb et du Moyen-Orient débattent de ces questions, les 2 et 3 juin, lors du colloque Frontières, murs et violence: fortification des frontières, coûts et alternatives. «Désormais et alors qu’une dizaine de murs subsistait à l’issue de la guerre froide, ils sont près de 70 construits ou en voie de l’être, le long de 40 000 km de frontières, et pour les trois quarts érigés au cours des deux dernières décennies», souligne la chargée de cours au Département de géographie Élisabeth Vallet, responsable du colloque organisé par la Chaire Raoul-Dandurand.