Julien Tourreille publie L’Effet 11 septembre


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Le chargé de cours au Département de science politique Julien Tourreille a co-dirigé l’essai L’Effet 11 septembre, un ouvrage qui regroupe le travail de plusieurs chercheurs, jeunes et moins jeunes sur l’impact des attentats du 11 septembre et les politiques des différents gouvernements en réaction à cet événement. Même si le risque d’attentat terroriste en Occident est bien réel, L’Effet 11 septembre permet au grand public de le relativiser. «Ce risque est surestimé en Occident. On ne le nie pas, on ne le néglige pas, mais on souhaite le mettre en perspective», explique Julien Tourreille, qui est aussi chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM.

Élisabeth Vallet analyse les répercussions du 11 septembre


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La chargée de cours au Département de science politique Élisabeth Vallet signe un texte dans L’effet 11 septembre. Quinze ans après le 11 septembre 2001, comment le terrorisme a-t-il évolué? Le terrorisme est-il aussi menaçant qu’on le croit? Justifie-t-il de vivre dans un état d’alerte, d’exception et de guerre permanent? Pour répondre à ces interrogations, la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques, qui célèbre cette année son 20e anniversaire, vient de faire paraître L’effet 11 septembre, un état des lieux éclairant dont le cadre de référence est cet «état d’exception permanent, où nos élus et nous-mêmes avons conclu – souvent à tort et parfois à raison – qu’il n’est plus possible et qu’il serait irresponsable de baisser la garde devant le terrorisme».