Suicide d’un itinérant : on dénonce les coupes dans les services à l’itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Un centre d’hébergement pour itinérants dénonce la coupe de subvention qu’il a subie et qu’il l’a forcé à abolir le poste d’intervenant en soirée. La présence de ce dernier aurait pu prévenir un suicide survenu la semaine dernière, soutient l’organisme. «Il avait de bonnes périodes, il faisait un cours pour de la réinsertion à l’emploi», laisse savoir Sébastien Pageon, directeur général du Centre NAHA, sans révéler l’identité de l’homme, un ancien détenu hébergé depuis neuf mois.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

De militaire à itinérant : un phénomène en croissance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le 11 juin, une marche nationale va se tenir dans les grandes villes canadiennes, afin de sensibiliser les citoyens aux conditions de vie des anciens combattants, qui sont en crise ou sans abri. C’est un phénomène mal connu. De plus en plus de vétérans viennent grossir les rangs des itinérants. Il y en aurait 2250 au pays, un chiffre prudent de l’aveu même des auteurs d’une étude canadienne réalisée à cet effet.

Visionner le reportage de Radio-Canada.

Le problème d’itinérance chez les vétérans inquiète Ottawa.

Le sort des déplacés du square Viger inquiète


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Avec la fermeture, au cours des derniers jours, du square Viger pour des travaux de réaménagement, le sort des itinérants qui le fréquentaient est-il inquiétant? Oui, croit Bernard St-Jacques, du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). «On est à la croisée des chemins. On ne sait pas quel genre d’été on va vivre, dit-il en entrevue avec Métro. À mesure que l’été va avancer, il y a des gens qui vont se chercher un “lieu de tolérance” comme le square Viger, et ce sera difficile», s’inquiète-t-il.

Lire la suite.

Bonis liés aux constats d’infraction : 110 000 $ en contraventions à un seul itinérant


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Au tour de la Clinique Droits Devant, organisme communautaire venant en aide aux itinérants, de dénoncer les bonis offerts aux cadres du SPVM: des bonis liés notamment aux contraventions émises par les policiers. La controverse entourant ces bonis survient au moment même où l’organisme défend des sans-abris cumulant des dizaines voir des centaines de contraventions à la cour municipale de Montréal. La Clinique Droits Devant tente de convaincre le tribunal d’annuler ces contraventions puisque les itinérants n’ont pas les moyens de les payer.

Lire la suite sur tvanouvelles.ca

Ouverture des haltes-chaleur : Le RAPSIM demande des balises claires pour les personnes itinérantes et les organismes


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0