Assurances collectives : Décision à la prochaine assemblée générale


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Plusieurs problématiques ont été rencontrées au cours des dernières années par nos membres par rapport à nos assurances collectives avec Desjardins (assurance médicaments + assurance invalidité de courte durée).*

La prochaine assemblée générale spéciale du 10 octobre prochain sera l’occasion de présenter un comparatif entre ce que nous avons présentement et un autre contrat d’assurance.

D’autres syndicats de chargé-e-s de cours du réseau de l’Université du Québec examinent aussi la possibilité de changer d’assureur, ce qui risque d’avoir un impact sur nos primes.

Une présentation et une proposition de changement d’assureur seront faites lors de l’assemblée, donc il s’agit d’un rendez-vous à ne pas manquer.

Les patients et le personnel mis à risque à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec


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Comme médecins généralistes, psychiatres, pharmaciens et autres professionnels soignant les patients aux prises avec une maladie psychiatrique aiguë nécessitant une hospitalisation à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec, nous avons été profondément choqués et indignés par les propos provenant de l’administration de l’IUSMQ (Le Devoir, 14 février). Alors que le fléau des maladies mentales est de plus en plus pris au sérieux dans la population avec les sorties publiques d’Alexandre Taillefer ou de Samuel Archibald, des décisions administratives ne vont pas dans la bonne direction.

Lire la suite du texte collectif publié par Le Devoir.

Assurance invalidité et santé psychologique : «Il est temps de créer une instance indépendante de révision»


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Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) lance un appel à mettre sur pied le plus rapidement possible un mécanisme indépendant de révision des dossiers d’assurance invalidité. S’inscrivant dans la foulée du débat lancé par l’écrivain Samuel Archibald, le SCFP souligne que le problème est récurrent parmi ses membres, notamment dans le secteur des communications. «Même avec nos moyens comme grande organisation syndicale, il est très difficile de corriger ces erreurs et ces injustices subies par nos membres. Imaginez alors ce que c’est, faire face à un grand assureur sans assistance quand on est vulnérable psychologiquement», a expliqué Denis Bolduc, président du SCFP-Québec.