Les patients et le personnel mis à risque à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec


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Comme médecins généralistes, psychiatres, pharmaciens et autres professionnels soignant les patients aux prises avec une maladie psychiatrique aiguë nécessitant une hospitalisation à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec, nous avons été profondément choqués et indignés par les propos provenant de l’administration de l’IUSMQ (Le Devoir, 14 février). Alors que le fléau des maladies mentales est de plus en plus pris au sérieux dans la population avec les sorties publiques d’Alexandre Taillefer ou de Samuel Archibald, des décisions administratives ne vont pas dans la bonne direction.

Lire la suite du texte collectif publié par Le Devoir.

L’extrême centre mou (bis) : les fils blancs d’Alexandre Taillefer


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Dans un style étonnamment brouillon, l’investisseur Alexandre Taillefer a décliné dans un de ses propres médias, le Voir, sa conception de la justice fiscale. Elle tient en une expression: mystifier le référent à la loi et n’y rien toucher. «Il est important de comprendre la différence entre évitement et évasion. L’évitement est l’utilisation de structures légales (mais peut-être pas morales) permettant de diminuer et de reporter de l’impôt. Avoir de l’argent dans un paradis fiscal n’est pas toujours illégal. Des juridictions qui offrent des taux d’imposition très bas attirent des entreprises qui vont y reconnaître des revenus. Ces revenus devront toujours par la suite revenir aux actionnaires et donc dans les pays d’origine.»

Le marché des batteries : des opportunités pour le transport lourd


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Dans une note d’intervention précédente, nous avons présenté les premiers éléments de notre analyse des enjeux soulevés par le développement du créneau stratégique des batteries pour les véhicules électriques et nous avons soumis quelques pistes pour en relever les défis. Nous poursuivons ici en nous penchant sur le potentiel de développement du créneau des batteries dont les produits pourraient alimenter la chaîne d’approvisionnement des éventuels fabricants de véhicules électriques de l’Ontario et des États du Nord-Est. Ce créneau nous paraît plus réaliste et mieux adapté à la situation québécoise. Comme l’a maintes fois déclaré Alexandre Taillefer, il paraît illusoire de vouloir attirer au Québec une usine de voiture électrique de grande série, l’historique des échecs dans ce domaine nous semble assez concluant pour ne pas chercher à refaire les mêmes erreurs.