Les étudiants de l’UQAM sont en attente d’une réponse de la direction pour dénouer l’impasse


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Voici un texte du Comité interfacultaire des étudiants adressé lundi à toute la communauté de l’UQAM (parce que oui, elle existe!) faisant le point sur la situation.

Dans la semaine du 13 avril, un comité interfacultaire a été formé de délégations des différentes associations facultaires ayant des mandats en faveur du retrait des convocations disciplinaires, de la réintégration de René Delvaux à la maîtrise en science politique et du retrait de l’injonction, ainsi que contre les différentes formes de répression politique actuellement mises en oeuvres à l’UQAM. Ce comité devait solliciter une rencontre avec le rectorat dans le but de porter à l’administration les revendications des associations étudiantes et d’entamer avec elle un dialogue.

La direction de l’UQAM tient le rôle du pompier pyromane!


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Voici le compte-rendu de la soirée de mercredi tel que vu par le chargé de cours Alain Gerbier.

Comme vous le savez sans doute déjà, la délégation qui a rencontré mercredi soir les vice-recteurs René Coté et Marc Turgeon (et attendu que le recteur Robert Proulx, par l’odeur de Radio-Canada alléché, revienne de son surf sur les ondes hertziennes), a tenté de faire entendre raison à ce trio, une fois qu’il a été réuni, le mettant en garde contre le risque d’une escalade de la violence. La délégation, représentative de la communauté uqamienne, après avoir plaidé une véritable sortie de crise et attendu une heure trente la fin du conciliabule du triumvirat s’est vue opposer une fin, non équivoque, de non-recevoir.

Harcèlement à l’UQAM : deux fois plus de signalements


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Il y a eu deux fois plus de plaintes pour harcèlement à l’UQAM en novembre dernier que durant le même mois l’année précédente. Le Bureau d’intervention et de prévention en matière de harcèlement (BIPH) de l’Université a enregistré 27 plaintes et signalements en novembre 2014, contre 13 un an plus tôt.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

Également en novembre, le vice-recteur à la vie universitaire, Marc Turgeon, invitait les personnes qui ont subi une situation d’agression à caractère sexuel, sans pour autant vouloir porter plainte, à écrire à l’adresse ombudsman@uqam.ca. Il précisait que le nom des personnes ainsi que la teneur de leur témoignage demeureront strictement confidentiels.

L’UQAM et le site d’injection supervisé : un refus précipité et sans fondement


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Le vice-recteur à la vie universitaire de l’UQAM, Marc Turgeon, prenait la parole le 15 avril dernier dans les pages de La Presse afin de justifier le refus de l’UQAM d’appuyer l’implantation d’un centre d’injection supervisée près du campus de l’Université. L’implantation d’un tel site semble pourtant tomber sous le sens pour l’UQAM qui doit faire face à un problème réel de toxicomanie à l’intérieur même de ses murs. Plus de 350 membres de la communauté uqamienne demandent que l’UQAM se dissocie publiquement des propos de Marc Turgeon et que les membres de la direction se gardent, dorénavant, d’affirmer une position institutionnelle sans validation auprès de la communauté universitaire.

Injection supervisée : pas dans ma cour, dit l’UQAM


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Elle-même aux prises avec un grave problème de seringues souillées à l’intérieur de ses murs, voilà que l’UQAM s’oppose publiquement à l’implantation d’un site d’injection supervisée en plein coeur de son campus. Dans une lettre envoyée lundi à La Presse, le vice-recteur à la Vie universitaire, Marc Turgeon, écrit que l’établissement «ne peut, sans examen des alternatives possibles, appuyer l’implantation d’un site d’injection pour toxicomanes» à un jet de pierre de ses pavillons principaux. Pourtant, selon le Directeur de santé publique de Montréal, des lieux destinés à l’injection sécuritaire de drogues dans le secteur aideraient à résoudre le problème de seringues à la traîne auquel fait face l’UQAM depuis plusieurs années.