Les employés en lock-out de Viterra disent non à l’offre finale de l’employeur


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Les 51 employés de Viterra mis en lock-out par ce distributeur de céréales présent au Port de Montréal ont dit non à l’offre finale de l’employeur. Réunis en assemblée spéciale ce mardi après-midi, les salariés – qui sont à la rue depuis près de dix semaines – ont rejeté à 90% la dernière offre patronale. Selon la partie syndicale, «les dirigeants de Viterra veulent profiter du contexte difficile dans lequel se trouvent les travailleurs pour les faire accepter n’importe quoi. C’est mal connaître la motivation de ces syndiqués», d’expliquer Jean-Pierre Proulx, conseiller syndical au SCFP. Ils revendiquent un rattrapage au niveau du régime de retraite, de meilleures dispositions en santé et sécurité au travail ainsi qu’une amélioration des clauses touchant les horaires de travail et la conciliation travail-famille.

Lock-out chez Viterra : manifestation à la Cité-du-Havre


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La pression augmente sur Viterra, un distributeur de céréales présent au Port de Montréal qui a mis 51 de ses travailleurs en lock-out le 30 janvier dernier. Ce matin, des salariés de plusieurs domaines d’activité sont venus piqueter par solidarité devant les bureaux administratifs de Viterra à la Cité-du-Havre. «En négociation, ces opérateurs (du SCFP 5317) demandaient les mêmes conditions de travail que la grande majorité des travailleurs du Port de Montréal. Ils revendiquent un rattrapage salarial, de meilleures dispositions en santé et sécurité au travail ainsi qu’une amélioration des clauses touchant à la conciliation travail-famille», d’expliquer Jean-Pierre Proulx, conseiller syndical au SCFP.

Viterra : 51 travailleurs en lock-out au Port de Montréal


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La compagnie Viterra, un des principaux commerçants-distributeurs de céréales présent au Port de Montréal, a envoyé un avis de lock-out à 51 opérateurs qui, en négociations, demandaient les mêmes conditions de travail que la grande majorité des travailleurs du Port de Montréal. Le lock-out est effectif le mardi 30 janvier, à partir de 7h. «Ces opérateurs s’occupent du chargement et déchargement du grain. Ils voulaient simplement l’équité avec les autres salariés du Port. C’est un milieu de travail très particulier et la demande d’être payé à temps et demi le soir et à temps double la nuit est tout à fait légitime», d’expliquer Eric Sinclair, président du Syndicat (SCFP 5317).