Longueuil porte plainte contre un prof de HEC Montréal


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La Ville de Longueuil a porté plainte à HEC Montréal contre un de ses plus éminents professeurs jugeant qu’il a manqué d’éthique dans une analyse sur la gouvernance et la fiscalité des agglomérations municipales dont celle de Longueuil. La Ville reproche à Robert Gagné d’avoir utilisé sa crédibilité universitaire pour défendre une position qui remet en question le bien-fondé de l’agglomération, position qu’il avait défendue, dix ans plus tôt, dans le cadre d’un groupe de travail partisan pour le compte de Saint-Bruno, Saint-Lambert et Brossard. Les maires de ces villes dissidentes cherchaient ainsi à renforcer leur bataille politique contre l’agglomération de Longueuil.

Projet de loi 122 : les préoccupations et recommandations du milieu communautaire


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le Projet de loi no 122. Loi visant à reconnaître que les municipalités sont des gouvernements de proximité et à augmenter à ce titre leur autonomie et leurs pouvoirs modifie un grand nombre de lois, chartes municipales, décrets et règlements. L’analyse du projet de loi apparaît fort complexe. Par conséquent, le Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA), dans son mémoire, a choisi de concentrer son intervention et ses recommandations sur quatre éléments qui préoccupent tout particulièrement ses membres : • L’abolition de l’approbation référendaire • La révision de la fiscalité des municipalités • L’adjudication des contrats municipaux • Le respect de l’autonomie des organismes d’action communautaire autonome.

Le bulletin du Conseil du patronat : beaucoup de bruit pour rien


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Pour une 5e année consécutive, le Conseil du patronat du Québec (CPQ) nous fait l’honneur de publier son bulletin de la prospérité. Encore une fois, la note conférée au Québec (C) donne l’impression que nous n’en ferions pas assez pour favoriser la croissance économique. La fiscalité est bien entendu au centre des critiques, tout comme les coûts de rémunération des salariées et salariés ou encore la forte présence syndicale qui distingue le Québec des autres provinces canadiennes. Cela n’a pas grand-chose de surprenant : le CPQ nous a toujours habitués à privilégier ses propres intérêts à ceux de l’ensemble de la population.

Une coalition de groupes sociaux identifie 10 milliards $ de solutions fiscales


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Alors que l’Assemblée nationale reprend ses travaux sur fond d’austérité budgétaire, la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics urge le gouvernement de réformer la fiscalité dans une optique de justice sociale plutôt qu’en détériorant encore les conditions de vie de la majorité de la population. La Coalition lance une mise à jour de son argumentaire sur les finances publiques, ainsi qu’une tournée de formation présentant les 18 solutions fiscales mises de l’avant. Les groupes sociaux ont identifie 10 milliards $ qui, annuellement, permettraient de renflouer les coffres de l’État sans tarifer et taxer les services publics, et sans couper dans les programmes sociaux.

Des groupes sociaux proposent 10 milliards $ de solutions fiscales aux partis politiques


Classé dans : Monde syndical | 0

À l’occasion du débat des chefs, la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics interpelle les représentants des principaux partis politiques afin de les entendre sur leurs propositions pour réformer la fiscalité dans une optique de justice sociale. Depuis 2010, et actuellement dans le cadre de sa campagne 10 milliards de $ de solutions, nous avons les moyens de faire autrement, la Coalition suggère plusieurs moyens pour financer les services publics et améliorer le bien-être de la population. « Depuis le début de la campagne électorale, il est inquiétant de constater le peu d’engagements des partis politiques en vue d’instaurer un pacte fiscal plus juste et plus équitable entre les individus d’une part, et les banques et les entreprises, d’autre part », souligne Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN).