Les étudiantes et les étudiants de plusieurs chargés et chargés de cours se distinguent au Symposium GRH 2017


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Le Symposium GRH 2017 s’est tenu à l’Université Laval, le 18 novembre et réunissait sept institutions universitaires. L’équipe de l’ESG en dotation et stratégie de dotation (cas surprise) a remporté la deuxième place. Les étudiantes et étudiants en arbitrage de grief coachés par le chargé de cours Claude St-Laurent et celles et ceux du quiz coachés par la chargée de cours Marielle Lacombe ont obtenu une troisième place. L’équipe des chargés de cours Gilles Dulude et Normand Ducasse en négociation collective s’est bien défendue mais n’a pu se rendre sur le podium. L’excellent ouvrage sur les relations de travail de la chargée de cours Hélène Ouimet a servi à toutes les universités.

Olivier Barsalou commente l’onde de choc provoquée par la première année de pouvoir de Trump


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Un an après l’élection de Donald Trump, l’onde de choc est palpable pour les universitaires américains invités par l’Observatoire des États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Les limites au pouvoir du président existent dans la mesure où des gens veulent les faire respecter. Le contre-pouvoir judiciaire est déjà bien actif, remarque le chargé de cours en Sciences juridiques Olivier Barsalou. «Il y a quelques semaines, le procureur général de la Californie a contesté le projet de mur», dit-il. Quant aux nominations judiciaires de Trump, elles auront un effet encore inconnu, mais qui durera des générations, a-t-il expliqué à LaPresse+.

Catherine Béliveau participe à l’exposition Cyclages du Grupmuv présentée jusqu’au 23 novembre à la Galerie R3 de l’UQTR


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Tourner, retourner, détourner, répéter et animer… Alors que le dessin se manifeste dans sa forme traditionnelle par un arrêt dans le temps, l’exposition Cyclages interroge à travers l’installation in situ comment la durée transforme la temporalité du dessin lorsque ce dernier quitte son état de suspension. Elle est l’œuvre du Grupmuv, un laboratoire de recherche et de création rattaché à Hexagram et fondé par les professeurs de l’École des arts visuels et médiatiques, Michel Boulanger, Thomas Corriveau et Ælab (Gisèle Trudel). La chargée de cours et étudiante à la maîtrise Catherine Béliveau et l’étudiant à la maîtrise Jonathan Plante participent également à l’exposition, présentée jusqu’au 23 novembre à la Galerie R3 de l’UQTR.

Émilie Tremblay-Wragg est lauréate des Rendez-vous Pile 2017 avec Espace Blitz, le projet de l’OBNL Blitz Paradiso


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Espace Blitz, le projet de l’OBNL Blitz Paradiso, qui souhaite établir à Montréal un premier espace collectif de rédaction conçu pour les étudiants de 2e et 3e cycles, dans la foulée des succès obtenus par les retraites de rédaction «Thèsez-vous?» est un des lauréats des concours organisés dans le cadre du Rendez-vous Pile 2017. Ils ont été dévoilés le 9 novembre, à l’occasion d’un gala qui avait lieu au MT Lab. Les cofondatrices de cet OBNL sont la chargée de cours en Didactique Émilie Tremblay-Wragg et Sara Mathieu-Chartier. Les autres gagnants sont Arpent, chez les étudiants, et les projets Flash sur mon quartier!

Brigitte Alepin n’est pas étonnée que les Paradise Papers se rapprochent des dirigeants politiques


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Une nouvelle fuite massive de documents lie aux paradis fiscaux d’influents argentiers du Parti libéral du Canada proches de la famille Trudeau, mais aussi les anciens premiers ministres Paul Martin, Jean Chrétien et Brian Mulroney. «Je ne crois pas que ces nouvelles révélations soient tellement une surprise pour les gens», a remarqué en entretien téléphonique au Devoir la chargée de cours et fiscaliste Brigitte Alepin, qui publiait déjà il y a 15 ans un ouvrage intitulé Ces riches qui ne paient pas d’impôt. «On peut quand même s’étonner qu’avec tout ce qui s’est dit sur les paradis fiscaux, nos élus ne soient pas devenus plus prudents dans le choix de leurs relations.»

Florent Michelot cerne les enjeux majeurs à venir pour la nouvelle mairesse de la Ville de Montréal


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Les grands chantiers à l’œuvre à Montréal ne régleront que momentanément le problème de congestion, estime le chargé de cours en sciences politiques à l’UQAM, Florent Michelot. «Avec l’échangeur Turcot, il y avait moyen d’intégrer plus de transport en commun et d’espaces verts, mais à Montréal, c’est la norme de construire des infrastructures qui ne sont pas pensées pour autre chose que la voiture et le camionnage», déplore-t-il, pour Le Journal de Montréal.

Russiagate : Facebook, Google et Twitter doivent prendre une partie du blâme, selon Julien Tourreille


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Facebook, Google et Twitter sont jugés en partie responsables de l’interférence du Kremlin durant la campagne électorale présidentielle américaine de 2016. «Ils doivent prendre le blâme, dit le chargé de cours et politologue Julien Tourreille à l’antenne de Radio-Canada, notamment en admettant qu’ils jouent un rôle dans la propagation des fausses nouvelles. Il faudrait aussi baliser leurs pratiques comme on le fait avec les médias traditionnels.»

Réjean Myette et Louis Gagnon ont encadré les lauréats uqamiens du magazine Applied Arts


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Le numéro de novembre du magazine Applied Arts consacre près de 100 pages aux lauréats 2017 des prix étudiants qu’il organise chaque année, parmi lesquels on retrouve plusieurs Uqamiens. Le magazine canadien Applied Arts est une référence pour les professionnels dans le domaine des communications visuelles et du design. Les chargés de cours Réjean Myette et Louis Gagnon ainsi que les professeurs Sylvain Allard et Ronald Jr. Filion-Mallette de l’École de design ont encadré le travail des étudiants lauréats, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Michel Adès collabore à La lecture en cadeau du 6 novembre au 8 décembre


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Pour la 14e année consécutive, l’UQAM participe, du 6 novembre au 8 décembre, à La lecture en cadeau, une campagne qui vise à recueillir des livres neufs pour les enfants défavorisés de 0 à 12 ans. Créée en 1999 par la Fondation pour l’alphabétisation, l’initiative a pour but d’initier les enfants aux joies de la lecture et de prévenir l’analphabétisme et le décrochage scolaire. L’an dernier, 1274 livres neufs et 763 dollars en dons ont été recueillis à l’UQAM, un record. L’UQAM figure au sommet des institutions qui organisent une collecte pendant la campagne. Pour contribuer à La lecture en cadeau, il suffit d’acheter un livre neuf et de se procurer le sac à l’effigie de la campagne auprès d’un des bénévoles, dont le chargé de cours Michel Adès au PK-5225, ou dans les bibliothèques participantes.

Yann Breault organise un colloque sur La Grande Révolution d’Octobre les 14 et 15 novembre


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Les jeunes cégépiens qui s’inscrivent à l’UQAM n’ont pas connu l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), dissoute en 1991. Pour eux, la Russie a toujours été dirigée par Vladimir Poutine. Lénine, Trotski, Staline, Khrouchtchev, Brejnev, Gorbatchev et Eltsine font partie de l’histoire ancienne… mais quelle histoire! «La révolution d’Octobre 1917 fut sans doute l’événement qui a le plus durablement marqué le 20e siècle», affirme Yann Breault, chargé de cours au Département de science politique. Afin de souligner le 100e anniversaire de cette révolution, l’Observatoire de l’Eurasie du Centre d’étude sur l’intégration et la mondialisation (CEIM) organise un colloque interdisciplinaire intitulé «La Grande Révolution d’Octobre, 100 ans plus tard: qu’en reste-t-il en Russie et dans le monde?

Marie-Ève Maillé publie Acceptabilité sociale: sans oui, c’est non


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L’acceptabilité sociale existait bien avant qu’on en parle, mais elle portait d’autres noms. On parlait alors de conflit, de controverse, d’appui populaire… Depuis une dizaine d’années, cet enjeu est au cœur des débats sociaux et politiques entourant les grands projets de développement, du Plan Nord à Énergie Est, en passant par l’éolien et le gaz de schiste. Mais que recouvre cette notion un peu fourre-tout? L’ouvrage Acceptabilité sociale: sans oui, c’est non, propose des réponses. Ses auteurs, Marie-Ève Maillé, chargée de cours et professeure associée au Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l’environnement (CINBIOSE), et Pierre Batelier, doctorant en sciences de l’environnement, rappellent que le terme n’est à ce jour inscrit dans aucun texte de loi.

Katya Montaignac commente la subversion au féminin de deux femmes chorégraphes


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«Longtemps, la violence en scène a pu être un acte subversif. À un certain moment, c’était une façon de venir déranger le train-train bourgeois du spectacle et du divertissement. Elle a pu pousser à faire réfléchir et servi à donner des leçons ou à dénoncer. Mais aujourd’hui, dénonce-t-on encore la violence par la violence ? s’interroge pour Le Devoir Katya Montaignac, chercheuse et chargée de cours au Département de danse de l’UQAM. Étant soumis à une surenchère de la violence dans les médias et dans notre quotidien, dans quelle mesure celle-ci ne devient-elle pas banalisée et standardisée en scène, un ingrédient nécessaire à un show

Julien Tourreille commente le phénomène des bunkers antinucléaires aux États-Unis


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Alors que le ton continue de monter entre les États-Unis et la Corée du Nord, de plus en plus d’Américains s’achètent des bunkers antinucléaires. Le Devoir a visité l’un de ces sites survivalistes aux États-Unis. «C’est l’Amérique… souffle sans surprise Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM. Face à la menace, les Américains attendent que le gouvernement prenne des dispositions, mais ils ont aussi ce sentiment que c’est à chaque individu d’assurer sa propre sécurité, soit en achetant des armes, soit en construisant son propre bunker antinucléaire.»

Nadia Seraiocco participe à une table ronde sur la cyberdépendance à la radio de Radio-Canada


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Quand l’utilisation d’Internet d’une personne dépasse le temps qu’elle a prévu, qu’elle engendre des problèmes de sommeil, des conflits familiaux, des difficultés scolaires, une absence au travail, et en plus, qu’une telle habitude occasionne des souffrances, on parle de cyberdépendance. Nadia Seraiocco, chargée de cours à l’École des médias, Anne-Élizabeth Lapointe, de la Maison Jean Lapointe, Miguel Therriault, du centre Le grand chemin, et Marc Cassivi, chroniqueur, parlent à Catherine Perrin à l’antenne de Radio-Canada des causes et des solutions de ce problème qui guette de 2 à 3% des jeunes.

Odette Cyrenne pédale pour la bonne cause


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Une quarantaine de membres du personnel de l’UQAM, dont la chargée de cours Odette Cyrenne, ont participé au Spin-o-don au profit de Centraide du Grand Montréal, le 26 octobre dernier, au Centre sportif. Tenu pour la première fois à l’UQAM, cet événement consistait à faire deux heures de vélo stationnaire à relais, tout en amassant des dons pour l’organisme qui vient en aide aux personnes vulnérables, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Normand Brunet et Marie Saint-Arnaud font partie des auteurs de L’espoir malgré tout. L’œuvre de Pierre Dansereau et l’avenir des sciences de l’environnement


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«La croyance aveugle dans les vertus de la croissance matérielle illimitée, la soumission aux lois du marché – même teintées de vert ou de durable –, l’hyperconsommation et la double persistance des asymétries Nord-Sud accompagnée du pillage implacable des écosystèmes et des déshérités de la modernité demeurent la trame de notre existence quotidienne au troisième millénaire». Ces quelques lignes d’introduction donnent le ton à l’ouvrage collectif L’espoir malgré tout. L’œuvre de Pierre Dansereau et l’avenir des sciences de l’environnement (Presses de l’Université du Québec). Normand Brunet, chargé de cours et professeur associé à l’Institut des sciences de l’environnement, Marie Saint-Arnaud, chargée de cours et chercheuse associée au Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté (Centr’ERE), et les professeurs René Audet, du Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale, et Paulo Freire Vieira, de l’Université fédérale de Santa Catarina, au Brésil, en sont les co-auteurs, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Amélie Voghel collabore à la création d’un lexique en langue des signes québécoise pour désigner une cinquantaine de concepts en astronomie


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Il y a parfois de ces projets qui surgissent comme une pluie d’étoiles filantes et qui réjouissent franchement leurs protagonistes. C’est le cas de celui qui occupe ces temps-ci les professeurs Pierre Chastenay, du Département de didactique, et Anne-Marie Parisot, du Département de linguistique. Les deux chercheurs collaborent à la création d’un lexique en langue des signes québécoise (LSQ) pour désigner une cinquantaine de concepts en astronomie. Un doctorant en linguistique Darren Saunders, les enseignants Michaël Lelièvre, de l’école primaire Gadbois, et Sonia Dubé-Arnaud, de l’école secondaire Lucien-Pagé ainsi que la chargée de cours au Département de linguistique Amélie Voghel complète l’équipe, qui a amorcé ses travaux au printemps dernier, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Yolande Brunelle remet des Prix de l’engagement en éducation à trois diplômées


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Le Conseil de diplômés de la Faculté des sciences de l’éducation (FSE) remet annuellement des Prix de l’engagement en éducation à des diplômés qui se sont distingués pour avoir mis en œuvre des projets novateurs et mobilisateurs s’inscrivant dans une démarche personnelle d’engagement dans leur milieu professionnel. Cette année, la chargée de cours Yolande Brunelle, lauréate du prix Reconnaissance 2014 et présidente du Conseil de diplômés de la FSE, s’est rendue sur le lieu de travail des récipiendaires pour leur remettre les prix 2017 en présence des élèves et des directions d’école, peut-on lire sur le site d’Actualités UQAM.

Olga Hazan publie le livre Stratégies figuratives dans l’art juif – Étude de trois haggadot sépharades du XIVe siècle : lancement le 7 novembre


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La chargée de cours Olga Hazan vient de publier le livre Stratégies figuratives dans l’art juif – Étude de trois haggadot sépharades du XIVe siècle, aux Presses de l’Université de Montréal. Le lancement aura lieu à la Librairie Olivieri, 5219, chemin de la Côte-des-Neiges, le mardi 7 novembre à 17h30. Pour l’occasion, l’auteure s’entretiendra avec Jean-Jacques Lavoie, professeur au Département de science des religions de l’UQAM. Réservation souhaitée: 514 739-3639. Le livre sera en libraire le 6 novembre. Ce livre, dont l’objectif est d’exposer les modalités de la figuration dans trois haggadot sépharades du XIVe siècle, est axé sur l’étude de deux objets: la structure de leurs cycles imagés et les protagonistes qui y sont représentés.

Un architecte imagine le mur idéal entre le Mexique et les États-Unis, Elisabeth Vallet commente son livre


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«Puisqu’il faut se résigner à voir apparaître un mur à la frontière américano-mexicaine, aussi bien en profiter pour construire un objet architecturalement intelligent.» Ainsi la chargée de cours et collaboratrice à l’émission Plus on est de fous, plus on lit!, à l’antenne de la radio de Radio-Canada, Élisabeth Vallet, résume le parti-pris de Ronald Rael, qui vient de faire paraître le livre Borderwall as Architecture: A Manifesto for the U.S.-Mexico Boundary.

Eric Duchemin en lice pour un prix dans le cadre du Rendez-vous Pile 2017


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Le Rendez-vous Pile 2017, organisé par le Service des partenariats et du soutien à l’innovation (SePSI) dans le cadre des célébrations de l’UQAM entourant le 375e de Montréal, aura lieu le 9 novembre. C’est à cette occasion que seront désignés les lauréats de deux concours s’adressant aux étudiants et aux enseignants lancés plus tôt cette année. Ces concours, qui visent à valoriser l’innovation en recherche et en création, ont pour thème commun «Des solutions de recherche pour un mieux-être dans la ville». Parmi les finalistes, le chargé de cours de l’Institut des sciences de l’environnement Éric Duchemin et le professeur de l’École de design Mark Poddubiuk, réunis au sein du Laboratoire sur l’agriculture urbaine (AU/LAB), proposent la création d’un module de production alimentaire urbain mobile dans un conteneur.

Plaisirs coupables : une part émotionnelle nous fait revenir vers certains types d’aliments, selon Marie Watiez


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Tout le monde a le sien. Il est souvent gras, salé ou sucré. Parfois tout ça. On ne l’aime pas pour ses qualités nutritives. Mais on en rêve souvent, même si on en a peut-être un peu honte. Quel qu’il soit, il y a de fortes chances que le simple fait d’y goûter vous replonge en enfance… À table, quel est votre plaisir coupable? La chargée de cours et psychosociologue de l’alimentation Marie Watiez croit qu’une part émotionnelle nous fait revenir vers certains types d’aliments. «On vit des émotions dès la petite enfance dans notre rapport à la nourriture, avec notre mère, avec toutes les personnes qui nous ont nourris, souligne-t-elle.

Le niqab et la burqa, symboles du bannissement des femmes, soutient André Lamoureux


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Dans le débat qui a entouré l’adoption du projet de loi 62 et la nouvelle polémique concernant sa mise en œuvre, il est sidérant de constater l’aveuglement volontaire qui ronge la classe politique ainsi que nombre de journalistes et de chroniqueurs. Ce qu’on veut laisser croire, comme la Cour fédérale l’a fait en février 2015 dans l’affaire Zunera Ishaq, c’est que le port du niqab (ou de la burqa) serait l’expression d’une croyance religieuse, une allégeance à ce point affirmée qu’on déciderait de se cacher le visage. Pourtant, le port du niqab ne découle aucunement de l’expression d’une piété religieuse ni d’une prescription du Coran.