Histoire d’une saga juridique par Marie-Ève Maillé


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Automne 2015. Marie-Ève Maillé est invitée à témoigner comme experte dans une action collective contre le projet éolien de l’Érable, dans le Centre-du-Québec, dont elle a étudié les impacts sociaux dans le cadre de son doctorat. En acceptant l’invitation des citoyens, la jeune diplômée de l’UQAM est loin de se douter des péripéties judiciaires qui l’attendent…

Visée par une ordonnance de la cour qui la force à remettre certains documents à l’entreprise, Marie-Ève Maillé décide de se battre pour préserver la confidentialité de ses données de recherche. Elle estime que c’est là son devoir éthique de chercheuse. Sans ressource, elle devra se démener pour trouver un avocat qui accepte de défendre gratuitement sa cause.

«Décider entre hommes» change de main, après le départ de Marie-Ève Maillé


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C’est la fin et ça continue. La page Facebook Décider entre hommes (DEH) fermera, mais son contenu sera hébergé et géré par l’équipe de Je suis féministe (JSF). Cette production médiatique bien connue (plus de 13 160 abonnés au compteur en date de vendredi après-midi) se présente comme l’«Observatoire de la surreprésentation injustifiée des hommes dans les sphères de décision et d’influence». Elle est liée au mot-clic #DéciderEntreHommes. DEH ne fait qu’une seule chose, avec une passion obstinée: reproduire et commenter (souvent avec humour) des photos de cercles de décision où n’apparaissent que des messieurs, ou presque. «Après plus de deux ans à la barre de la page, je quitte l’aventure, écrit la cofondatrice de l’Observatoire et chargée de cours Marie-Ève Maillé dans un message diffusé le 11 avril.

Marie-Ève Maillé est devenu membre du Conseil des Montréalaises


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Conseillère stratégique en communication et médiation environnementales, la chargée de cours Marie-Ève Maillé est nouvellement membre du Conseil des Montréalaises. À l’origine de la page Facebook Décider entre hommes, elle s’est également fait connaître par son combat pour la confidentialité des données de recherche dans la cause qui l’a opposée à une entreprise d’éoliennes, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Marie-Ève Maillé publie Acceptabilité sociale: sans oui, c’est non


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L’acceptabilité sociale existait bien avant qu’on en parle, mais elle portait d’autres noms. On parlait alors de conflit, de controverse, d’appui populaire… Depuis une dizaine d’années, cet enjeu est au cœur des débats sociaux et politiques entourant les grands projets de développement, du Plan Nord à Énergie Est, en passant par l’éolien et le gaz de schiste. Mais que recouvre cette notion un peu fourre-tout? L’ouvrage Acceptabilité sociale: sans oui, c’est non, propose des réponses. Ses auteurs, Marie-Ève Maillé, chargée de cours et professeure associée au Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l’environnement (CINBIOSE), et Pierre Batelier, doctorant en sciences de l’environnement, rappellent que le terme n’est à ce jour inscrit dans aucun texte de loi.

La chercheuse Marie-Ève Maillé n’aura pas à révéler l’identité de ses sources


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La chercheuse de l’UQAM Marie-Ève Maillé, qu’une entreprise poursuivait pour la forcer à révéler l’identité des participants à son étude, a finalement eu gain de cause devant la Cour supérieure du Québec. Le tribunal indique dans son jugement rejeter la poursuite qui demande la «permission d’interroger Mme Marie-Ève Maillé» et la transmission de «documents préalables à cet interrogatoire». Il estime que la demande de rétraction de la chercheuse est recevable, puisqu’elle «n’était pas représentée à l’audience» et que le jugement la forcerait à rompre ses engagements. Le juge Marc St-Pierre a également indiqué que le privilège de confidentialité, qui a été reconnu pour les policiers en droit criminel et pour les journalistes en droit civil au Québec, s’appliquait dans le cas de Mme Maillé.

Une chercheuse de l’UQAM toujours en cour pour protéger ses sources


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Marie-Ève Maillé, une chercheuse de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), devra attendre encore plusieurs semaines avant de savoir si la décision qui l’oblige à divulguer certaines données confidentielles à propos d’une recherche qu’elle a réalisée sera infirmée. Le juge Marc St-Pierre a pris la cause en délibéré, mercredi, au palais de justice de Victoriaville, où la chercheuse de l’UQAM tentait de le convaincre de renverser la décision qui l’obligerait à dévoiler les sources de son étude Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec, conduite dans le cadre de son doctorat en communication sur les éoliennes.

Des chercheurs de l’UQAR se mobilisent pour la protection des sources scientifiques


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Des chercheurs de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) montent au créneau pour appuyer une collègue montréalaise qu’un tribunal veut forcer à dévoiler l’identité de ses sources. Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur le développement régional de l’Est du Québec (GRIDEQ) a publié, le 17 novembre, une lettre en appui à la chercheuse Marie-Ève Maillé, qui a travaillé sur l’acceptabilité sociale d’un projet éolien. La Cour supérieure a ordonné à Mme Maillé de dévoiler l’identité de toutes les personnes interviewées dans le cadre de ses recherches au promoteur de ce projet.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Une chercheuse de l’UQAM forcée par la justice de révéler l’identité de ses sources


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Une entreprise a obtenu une ordonnance de la cour afin de contraindre la chercheuse Marie-Ève Maillé à lui révéler les noms des participants à une étude qui fait état de la détérioration du climat social dans les communautés où son parc éolien a été construit. Cette première juridique inquiète la communauté scientifique canadienne, qui estime que la démarche de l’entreprise Éoliennes de l’Érable à l’endroit de cette professeure associée de l’UQAM pourrait porter atteinte à la confidentialité des sources universitaires, risquant du coup de freiner la participation des citoyens aux recherches canadiennes.

Lire la suite du texte de Radio-canada.

L’UQAM a pris la décision d’intervenir dans les procédures judiciaires.