Les membres du SPPEUQAM qui siègent à un comité ou à une instance de l’UQAM sont invité-e-s à participer, en présence, à une formation sur le rôle et le mandat dévolus à ces représentations. La formation aura lieu le 30 novembre, dès 12 h 30. On doit réserver son siège à Raphaël Crevier, conseiller à la mobilisation-intégration.
Plusieurs activités s’organisent en novembre à notre syndicat, en parallèle de notre négociation avec l’employeur. Un conseil syndical sur la mobilisation en deux modes : en visioconférence, le 8, et en présence, le 17; un 5 à 7 pour la Journée nationale des chargées, chargés de cours le 22 novembre; deux ateliers-retraite : un pour les plus jeunes le 23 et le second, pour les moins jeunes, le 24; deux activités de visibilité le 25 novembre. Et le 1er novembre, le Syndicat a demandé la nomination d’un médiateur-conciliateur. Du côté de l’UQAM, le conseil d’administration a désigné un nouveau président; il s’agit de Simon Prévost, un économiste, qui est actuellement vice-président, clientèle institutionnelle et service de la paie à la Fédération des caisses Desjardins du Québec.
Le Devoir nous apprenait dans son édition du 27 octobre dernier que le gouvernement québécois a annoncé qu’il n’imposera la vaccination obligatoire contre la COVID-19 ni au personnel des écoles ni à celui de l’enseignement supérieur. Il justifie cela par le fait que la situation pandémique s’améliore et que « les mesures en place et le contrôle des éclosions dans les établissements d’enseignement supérieur sont suffisants ». Pour lire l’article du Devoir, c’est par ici.
Alors que les 11 000 salariées, salariées de CPE affiliés à la CSN débrayent pour une troisième journée de suite, le 4 novembre, les porte-paroles des deuxième et troisième groupes d’opposition pour la famille, Christine Labrie et Véronique Hivon, ainsi que la vice-présidente de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), Lucie Longchamps, enjoignent le gouvernement à améliorer considérablement les conditions de travail dans les CPE. On peut consulter un article sur le site Internet de la CSN par un simple clic.
Le 1er novembre 2021, le Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM-CSN) a demandé la nomination d’un médiateur-conciliateur, nommé par le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, afin de tenter de dénouer l’impasse actuelle pour le renouvellement de notre convention collective. Après onze mois de négociation, force est de constater que les demandes syndicales ne sont toujours pas prises au sérieux et que seul le comité de négociation syndical se prête à l’exercice de contre-propositions afin d’arriver à un règlement satisfaisant.
La demande de conciliation-médiation survient alors qu’une séance de négociation prévue le 1er novembre devait être consacrée à une réponse patronale sur nos demandes visant à stabiliser nos emplois.
Le comité exécutif a récemment appris que la direction de l’UQAM s’obstinait à refuser de s’entendre avec le SPPEUQAM sur le changement d’assurances collectives. Nous vous rappelons que notre volonté de ce changement résulte de deux résolutions adoptées à l’unanimité en assemblée générale en 2018 et en 2021. Cette fermeture de la direction de l’UQAM est incompréhensible et marque un mépris condescendant envers l’ensemble des membres de notre syndicat et aussi pour nos collègues chargées, chargés de cours du réseau de l’Université du Québec (UQ).
Les discussions entourant le changement d’assureur ont débuté en 2018 entre nos représentants de la FNEEQ et le réseau de l’UQ.
Le 1er novembre, douze membres de l’équipe syndicale tenaient, entre 12 h 30 et 14 h, un kiosque face à l’Agora du pavillon Judith-Jasmin. Arborant fièrement les couleurs de la campagne de mobilisation avec le slogan « Place à notre valorisation », l’équipe a offert aux multiples personnes de passage de délicieuses pommes, des gourdes et surtout, un tract expliquant nos demandes pour le renouvellement de notre convention collective, tout en s’entretenant avec les personnes qui s’arrêtaient pour prendre de l’information.
L’objectif de l’événement était de faire de la sensibilisation sur nos demandes et d’exprimer notre volonté de voir la négociation avancer en dépit du piétinement patronal.
Sppeuqam-intégration, Mise à jour des connaissances, Mandats de la représentation
Vous trouverez ici le Sppeuqam Intégration où il vous sera possible de consulter la liste des 24 projets d’intégration acceptés suite au dépôt de projets ponctuels (ad hoc) de septembre 2021, pour un financement total de 118 399 $.
La date limite mensuelle pour déposer une demande au programme de mise à jour des connaissances est le premier vendredi de chaque mois. La prochaine date de dépôt est le 5 novembre. On envoie sa demande à l’attention de Brigitte Perron (perron.brigitte@uqam.ca)
Les mandats de représentantes et représentants aux instances et comités des départements débutent dorénavant le 1er juin de chaque année; les assemblées des unités départementales se tiendront au trimestre d’hiver afin de tenir les élections plus près du début des mandats.
Camille Robert, chargée de cours (professeure enseignante), étudiante au doctorat en histoire et études féministes à l’UQAM et agente de relations de travail au SPPEUQAM, vient de se mériter une bourse de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) et de la Fondation de BAnQ, pour son projet « Femmes en grève : tournant néolibéral et travail de reproduction sociale dans le secteur public québécois (1980-1990) ». Pour plus d’infos, on peut lire ce communiqué de la BAnQ. Toutes nos félicitations, Camille!
Nous venons d’apprendre que Dominique Sirois-Rouleau, chargée de cours (professeure enseignante) particulièrement impliquée à son Département d’histoire de l’art à l’UQAM, a été engagée à titre de directrice générale de Vidéographe, à la fin de l’été dernier. Vidéographe, une institution artistique de premier plan au Québec, et dans le monde, fête en 2021 ses 50 ans d’engagement soutenu envers la recherche en art vidéo et le rayonnement des pratiques expérimentales de l’image en mouvement. Bravo pour ton nouveau défi, chère collègue!
Cette année, le 22 novembre sera le théâtre d’un événement spécial. Pourquoi? Avec le rapport « L’université québécoise du futur – Tendances, enjeux, pistes d’action et recommandations » remis à la ministre McCann en février dernier par le scientifique en chef, Rémi Quirion, les chargées et chargés de cours (et professeures, professeurs enseignants) s’interrogent sur ce que l’avenir leur réserve. Qu’est-ce qui nous caractérise aujourd’hui? Quels sont nos défis actuels? Comment nous inscrivons-nous dans ce futur universitaire? Quelle place occuperons-nous?
Pour répondre à ces questions et discuter des enjeux du futur, notre fédération nationale, la FNEEQ a organisé, en collaboration avec des collègues chargées et chargés de cours d’autres centrales syndicales, un « Forum sur les enseignantes et enseignants universitaires contractuels », dont voici la programmation.
La FNEEQ sera présente et vous invite à rejoindre les milliers de travailleuses et de travailleurs qui marcheront le samedi 6 novembre prochain partout dans le monde pour dénoncer le manque d’ambition climatique de nos gouvernements et réclamer des mesures suffisantes pour atteindre la cible de réduction des gaz à effet de serre de l’Accord de Paris. Événement familial et pacifique organisé dans le cadre de la COP26, la marche québécoise s’inscrit dans la foulée de près de 75 manifestations et actions qui auront lieu à travers le monde!
Point de rassemblement à midi: Monument George-Étienne Cartier, au pied du parc du Mont-Royal (surveillez les drapeaux de la FNEEQ) Partagez l’événement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/1221086698372909/?ref=newsfeed
Jusqu’ici, et malheureusement depuis plusieurs années, la direction de l’UQAM fait preuve de mauvaise foi envers nous, les professeures et professeurs enseignants. Dans les derniers mois, que ce soit au niveau de la négociation en cours pour notre nouvelle convention collective ou dans le dossier du changement de preneur pour nos assurances collectives, la question se pose à savoir si le comportement de notre employeur relève de l’incompétence crasse ou d’une stratégie vers un inévitable affrontement. Quoiqu’il en soit, les 2 543 membres du SPPEUQAM ont pu constater à la lecture de la brochure reçue par la poste, et qui fait état de nos demandes lors de l’actuelle négociation que nous exigeons fermement une Place à notre valorisation!
Facebook a annoncé la création de 10 000 emplois d’ici 5 ans en Europe pour développer le métavers, sorte d’univers parallèle de réalité virtuelle augmentée. Nadia Seraiocco, chargée de cours à l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal, décortique le nouveau projet de Mark Zuckerberg. On peut écouter l’entrevue de notre collègue animée par Patrick Masbourian, lors d’une récente émission radio Tout un matin.
Pierre Barrieau, professeur enseignant en Études urbaines et touristiques croit qu’on « va s’apercevoir que la charge du réseau routier va augmenter un peu dans les mois à venir, mais pas autant qu’on pourrait s’y attendre. L’essentiel du retour se fera [alors] en transports collectifs. » À lire dans La Presse du 14 octobre, dans un article signé Henri Ouellette-Vézina.
Le changement d’assureur pour les assurances collectives pour la famille des chargées, chargés de cours du réseau de l’Université du Québec (UQ) afin que la FNEEQ soit preneuse des assurances collectives, est un projet initié depuis dix ans avec le réseau UQ et, plus intensivement, depuis trois ans. Ce projet découle de la très grande insatisfaction exprimée par les membres des sept syndicats par le service pitoyable offert par Desjardins, notre assureur actuel (voir cette infolettre précédente à ce sujet). Tous les syndicats du réseau de l’UQ affiliés à la FNEEQ devaient être d’accord pour ce changement, ce qui a été fait.
Le syndicat cherche une perle rare pour remplacer notre Violaine nationale au secrétariat jusqu’à la fin décembre pour 34 heures/semaine. Par la suite, ce poste deviendra ponctuel. Pour consulter l’offre d’emploi.
Le slogan principal pour la négociation en cours qui vise à réduire considérablement notre précarité à titre d’enseignantes et enseignants à contrat est « Place à notre valorisation ». Nous invitons toutes et tous les membres du SPPEUQAM à inclure ce bandeau de signature pour vos courriels afin de soutenir la mobilisation vers une reconnaissance institutionnelle.
Perfectionnement et mise à jour des connaissances, intégration
5 novembre 2021 : dépôt pour la mise à jour des connaissances
La date limite mensuelle pour déposer une demande au programme de mise à jour des connaissances est le premier vendredi de chaque mois. La dernière date de dépôt était le 1er octobre 2021, la prochaine date de dépôt sera donc le 5 novembre. On envoie sa demande à l’attention de Brigitte Perron (perron.brigitte@uqam.ca).
Vous trouverez ici le SPPEUQAM PERFECTIONNEMENT où il vous pouvez consulter la liste des membres ayant obtenu une bourse de perfectionnement court et de mise à jour des connaissances en septembre 2021.
Le 25 octobre est la date limite pour modifier les modalités de l’enseignement par les unités d’embauche de l’UQAM. Les membres du SPPEUQAM doivent savoir que ces modalités peuvent tout à coup changer au gré de l’idéologie managériale de la direction de l’UQAM. L’option comodale et l’enseignement en ligne, qui fait l’objet d’un flirt de la part de la direction de l’UQAM, permettent d’augmenter sans limite le nombre d’inscriptions dans un groupe-cours, en raison de l’absence des contraintes physiques des locaux. Aller vers cette voie sans négociation des conditions de travail et d’apprentissage est dangereux. Nous nous demandons si l’UQAM a en effet profité de l’enseignement en non-présentiel durant la pandémie pour augmenter la taille des groupes-cours, ce qui aura privé de travail plusieurs de nos collègues, dont l’enveloppe globale des charges a pu être diminuée.
Lors de l’assemblée générale du 27 janvier 2021, les syndicats affiliés au Conseil central Montréal métropolitain (CCMM–CSN), dont le SPPEUQAM, ont adopté un plan d’action contre le racisme systémique. Un des objectifs du plan d’action est d’assurer la représentation des personnes issues des groupes racisés, de l’immigration et des personnes autochtones dans les structures et instances syndicales, à égale proportion de leur présence sur le marché du travail. Nous avons besoin pour ce faire d’un portrait de la situation actuelle. Votre participation au sondage est donc très importante. Bien sûr, toutes réponses sont anonymes.
On clique ici pour le lien qui mène au sondage
Solidairement,
Pour le CCMM-CSN, Rama Diallo, trésorière responsable politique du Plan d’action contre le racisme systémique
La Semaine nationale de la santé et de la sécurité du travail est en cours depuis dimanche et se déroulera jusqu’au 23 octobre sous le thème « Revendiquons. Agissons. »
Dans le milieu de l’éducation, les principaux enjeux de SST sont souvent invisibles. Ils n’en sont pas moins importants. Les problèmes associés à la santé psychologique, au stress ou à l’ergonomie du travail sont parmi les plus fréquents chez les enseignantes et les enseignants. Notre santé psychologique est particulièrement mise à mal par divers facteurs récurrents comme la surcharge de travail, les conflits interpersonnels, une organisation du travail déficiente ou la précarité.
À voir, à voir, à voir! Un très bon documentaire, intitulé « Les unions qu’ossa donne », réalisé par Hélène Choquette, sur les 100 ans de la CSN. On y apprend que la révolution tranquille québécoise a, selon notre collègue professeur enseignant au Département d’études littéraires, Donald Cuccioletta, véritablement pris naissance avec la mobilisation nationale lors de la grève de l’amiante en 1949, et non par l’élection de Jean Lesage en 1962, ou précédemment lors de 100 jours de Paul Sauvé, qui se démarquait alors de son « cheuf » Maurice Duplessis. On y apprend aussi que la CSN a été très active dans les grands mouvements sociaux pour une plus grande justice sociale, entre autres, avec les revendications féministes dont les allumettières de Hull sont les précurseures.
Présentée par Sophie Potvin et Bertrand Guibord, cette conférence du 28 octobre, de 14 h à 15 h 30, vise à mieux faire connaître la CSN en relatant sa riche histoire et surtout en mettant en lumière l’importance des dossiers de la solidarité internationale et de la défense des droits des travailleuses et travailleurs, en particulier des plus précarisé-es d’entre nous. La conférence présentera aussi les dossiers prioritaires de l’organisation, soit, l’environnement, la santé-sécurité au travail, la condition féminine, la défense des droits des personnes LGBT+ et des personnes racisées ou issues de l’immigration.
Le CCMM-CSN se fait encore et toujours porteur de causes qui dépassent le cadre des milieux de travail et concernent la société dans son ensemble, sans jamais laisser de côté sa mission première d’appui aux syndicats en lutte pour les droits des travailleuses et travailleurs ainsi que l’amélioration de leurs conditions de travail.
Le titre du film d’Arthur Lamothe, réalisé en 1969, est toujours d’actualité en 2021 en ce qui concerne nos relations de travail avec la direction de l’UQAM. Que ce soit à la table de négociation pour notre nouvelle convention collective, ou dans le dossier de nos assurances collectives, notre employeur reste inflexible et incapable de mettre l’épaule à la roue pour favoriser de meilleures conditions de travail pour les membres du SPPEUQAM et, par extension, pour une plus grande qualité de l’enseignement. Je vous invite à prendre quelques minutes pour lire cette infolettre, entre autres, en ce qui concerne notre volonté de changer d’assureur conjointement avec plusieurs syndicats du réseau de l’Université du Québec affiliés à la FNEEQ-CSN, notre fédération nationale.
