Intelligence artificielle : Boivin et Breton à la tête du comité


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Québec met sur pied le comité qui va guider la création d’une grappe québécoise en intelligence artificielle, composée d’universitaires et de gens d’affaires. Le gouvernement avait déjà annoncé une somme de 100M$ sur cinq ans pour son développement. Le comité, qui sera composé de 12 personnes issues des domaines universitaire et d’affaires, sera coprésidé par Pierre Boivin, président et chef de la direction de Claridge, et de Guy Breton, le recteur de l’Université de Montréal. La grappe vise la recherche et l’innovation en intelligence artificielle ainsi que la création d’entreprises.

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Des universitaires cherchent comment prévenir la radicalisation des Canadiens


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Pionnier de l’étude du terrorisme intérieur, le chercheur Lorne Dawson fait partie du nombre croissant d’universitaires canadiens qui se penchent sur les moyens de prévenir la radicalisation et l’extrémisme violent, au pays comme à l’étranger. Issus de quelques universités canadiennes et de disciplines très diverses, ces spécialistes échangent dans le cadre de groupes et de programmes axés sur la sécurité et financés par les gouvernements, ainsi que de quelques réseaux universitaires. Le TSAS (Canadian Network for Research on Terrorism, Security and Society) est l’un de ces réseaux. Pour Aurélie Campana, directrice adjointe du TSAS et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les conflits et le terrorisme à l’Université Laval, l’un des grands défis de la prévention des actes violents consiste à déterminer ce qui les déclenche.

Royaume-Uni : le Brexit chasse les universitaires de l’Union européenne


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À la suite du vote sur le Brexit, quelque 31 000 universitaires européens travaillant dans des universités britanniques ont été priés de prendre leurs dispositions pour partir, certains d’entre eux ayant déjà décidé de le faire, menaçant ainsi gravement l’expertise des universités britanniques. Ayant vécu et travaillé ici pendant plus de vingt ans, de nombreux universitaires de l’UE ont décidé de demander l’autorisation de rester après le 23 juin, demande qui a été rejetée. La lettre typique va comme suit: «Si vous ne partez pas volontairement, une décision séparée pourra être adoptée ultérieurement pour exécuter votre renvoi…»

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Des universitaires se font avoir par des revues frauduleuses


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Le nombre d’éditeurs peu scrupuleux à l’affût d’universitaires peu méfiants grimpe en flèche. L’an dernier, une étudiante au premier cycle en biologie de l’Université de la Fraser Valley a indiqué à la doyenne de la faculté des sciences de l’établissement, Lucy Lee, avoir besoin de 2 000$ pour publier un article dans une revue savante. Sa demande a tout de suite alerté Mme Lee qui avait eu une mauvaise expérience avec cette revue, International Journal of Environmental Research and Public Health, en effectuant pour elle un examen par les pairs. Les revues prédatrices et médiocres reposent sur le principe de l’édition en libre accès, où les auteurs paient pour que leurs articles paraissent en ligne.