Rapport du Vérificateur général : le MTQ continue de faire fausse route, juge le SPGQ


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Encore une fois, le travail de la vérificatrice générale, Mme Guylaine Leclerc, relève des irrégularités au ministère des Transports (MTQ) dans la gestion des contrats et l’encadrement de firmes externes. «Le bar est toujours ouvert au MTQ. Les lacunes relevées par la vérificatrice générale sont nombreuses et, malheureusement, ne sont pas nouvelles. L’expertise au sein du MTQ demeure vulnérable, dit la vérificatrice. Le manque d’expertise soulève bien des questions sur la capacité du MTQ à encadrer les faramineux contrats confiés aux firmes privées. L’influence indue des entrepreneurs et lobbyistes dans la gestion des projets du plus gros donneur de contrats publics au Québec se poursuit donc», soutient Richard Perron, président du Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ).

Rapport de la Vérificatrice générale : plus ça change, plus c’est pareil au MTQ, déplore le SPGQ


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Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) accueille, encore une fois, avec frustration les observations du Vérificateur général. Dans un énième rapport déposé aujourd’hui, la vérificatrice générale, Mme Guylaine Leclerc, dénonce les irrégularités dans l’attribution des contrats par le ministère des Transports (MTQ). «Les lacunes relevées par la vérificatrice générale sont nombreuses et, malheureusement, elles ne sont pas nouvelles. Que ce soient des lacunes dans l’attribution et la surveillance des contrats ou encore les ratés de la haute direction, il s’agit là d’exemples probants de la gangrène qui ronge le MTQ», soutient Richard Perron, président du SPGQ.

Entre vous et moi


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Je me demande bien comment ça se fait que l’UQAM ait été à peu près la dernière institution d’enseignement à suspendre ses activités mercredi en raison des conditions météorologiques. Il était passé 8h30, j’ai reçu un courriel à 9h50. Ça faisait un bon bout de temps que l’Université de Montréal, Concordia, la plupart des cégeps et toutes les commissions scolaires de l’île de Montréal avaient avisé les médias de leur fermeture. Quelqu’un dormait au gaz ou dormait tout court. Mais c’est quand même moins pire que le ministère des Transports et sa gestion de l’autoroute 13. Une des leçons à retenir dans ce cas-là, c’est qu’avec toutes les compressions budgétaires des dernières années tout le financement des «en cas» a été éliminé.

La gestion du Fonds vert dénoncée : des groupes doutent qu’il serve réellement à réduire les émissions GES


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Plusieurs organismes environnementaux déplorent le manque de transparence du Fonds vert et réclament des changements. Le Regroupement national des Conseils régionaux en environnement (RNCREQ) a été le premier mardi à exiger des modifications dans la gestion du Fonds vert, tandis que d’autres organisations reviendront à la charge durant la semaine, en commission parlementaire sur l’étude du projet de loi 102, qui porte notamment sur la gouvernance du Fonds vert. En résumé, 481 millions de dollars du Fonds vert seront versés d’ici à 2020 dans des programmes du ministère des Transports, par l’entremise du Fonds des réseaux de transport terrestre (FORT), sans qu’on puisse savoir s’ils serviront réellement à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES).

Rapport annuel du MTMDET : le SPGQ juge que le ministère camoufle la réalité


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Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) dénonce le camouflage d’information dans le rapport annuel de gestion 2015-2016 du ministère des Transports, de la Mobilité durable et l’Électrification des transports (MTMDET). Malgré les nombreux changements de ministre à la tête du MTMDET, le dernier rapport annuel de gestion n’est pas plus transparent que celui de l’année précédente. «Comme il l’a fait en 2014-2015, de façon subtile, le ministère tente de camoufler la vérité sur la surveillance des contrats octroyés au secteur privé», s’insurge le président du SPGQ, Richard Perron. La raison qui explique la diminution du nombre de contrats analysé par les auditeurs du ministère est bien simple.

Quand sortira-t-on le loup de la bergerie? Rapport sur l’éthique au MTQ


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Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) accueille avec frustration les conclusions d’un «nouveau» rapport de l’Institut d’éthique appliquée de l’Université Laval, commandé en 2013 par le ministère des Transports (MTQ). Ce rapport conclut que l’exercice de pressions externes inappropriées perdure au sein du MTQ et que la frontière entre le politique et l’administratif n’y est toujours pas respectée. «Malgré les conclusions du rapport de la commission Charbonneau, nous n’arrivons pas à régler le problème de l’influence indue des entrepreneurs et lobbyistes dans la gestion des projets du plus gros donneur de contrats publics au Québec. Ce rapport remis au MTQ en août 2014, mais dévoilé publiquement deux ans plus tard, révèle que les loups sont toujours dans la bergerie», s’indigne Richard Perron, président du SPGQ.