L’argent ou la maternité, le difficile choix des chercheuses universitaires


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Plus de femmes que d’hommes obtiennent un diplôme universitaire de premier cycle au Québec. Mais de vieilles inégalités entre les sexes subsistent dans les postes de recherche — le sommet de la pyramide universitaire —, indiquent des données obtenues par Le Devoir. Les professeures des 15 plus grandes universités de recherche du Canada dirigent une fraction des prestigieuses chaires de recherche, recueillent 57% du financement obtenu par les chercheurs masculins et signent 27% des articles publiés dans des revues savantes. Leurs travaux sont de qualité égale ou supérieure à ceux des hommes, mais «des inégalités entre les sexes persistent, notamment dans le financement, malgré les bonnes intentions», dit Vincent Larivière, professeur à l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information de l’Université de Montréal (UdeM).

L’analyse différenciée selon les sexes pour mieux comprendre les causes des inégalités


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Madame Lise Thériault arrive en poste à un moment où les femmes du Québec font face à des reculs importants au plan économique et social. L’analyse différenciée selon les sexes (ADS) permet de mieux comprendre les causes des inégalités vécues par les femmes et de développer des stratégies appropriées pour y remédier. L’analyse différenciée selon les sexes doit également tenir compte des inégalités existantes entre les femmes elles-mêmes et des autres systèmes d’oppression (âgisme, capacitisme, capitalisme, colonialisme, hétérosexisme, racisme notamment) qui sont à l’origine de ces inégalités. Nous devons constater qu’actuellement le gouvernement québécois renie cet engagement en mettant de l’avant des politiques, surtout budgétaires, qui nuisent spécifiquement aux femmes.

Kenya : l’ONU exprime des inquiétudes quant à la qualité de l’éducation et aux inégalités croissantes


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La piètre qualité de l’éducation, combinée à l’augmentation du nombre des établissements scolaires privés et informels, fait partie des sujets évoqués dans le dernier rapport publié par le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies. L’augmentation incontrôlée du nombre de prestataires de services éducatifs privés est un sujet de préoccupation croissante dans la mesure où elle impacte directement la qualité de l’éducation, selon Olga Khazova, membre du Comité et Rapporteur pour le Kenya. Ses questions sont reprises dans les Observations finales du Comité.

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La répartition du patrimoine : l’autre visage des inégalités


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La classe politique québécoise défend ses choix en matière de politique publique et de développement économique au nom de la création de richesse. Mais tout le monde profite-t-il également de la richesse effectivement créée? L’IRIS a montré par le passé que les inégalités de revenus croissaient au Canada et au Québec, notamment en raison de la détérioration du pouvoir de négociation collective des personnes salariées et de l’explosion de la rémunération des plus fortunées, fortunés. Les revenus ne comptent cependant que pour une partie de la richesse d’un individu ou d’une famille. Afin de dresser un portrait plus complet de la situation, cette note socioéconomique analyse la répartition du patrimoine au sein des familles canadiennes et québécoises, c’est-à-dire l’ensemble de leurs richesses accumulées à travers le temps.

Fête nationale : c’est le temps de fêter la richesse de nos différences…


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Aujourd’hui, c’est le temps de mettre de côté nos différences politiques, d’origine, de statut social et d’être tous des Québécoises et Québécois. Cependant, demain matin, le retour à la réalité risque d’être plus accentué pour certains que pour d’autres. Alors que les revenus d’emploi sont relativement égaux pour les francophones, les anglophones et les allophones, pour les autochtones et les immigrantes et immigrants de première génération qui travaillent, la différence importante de revenus se vit quotidiennement.

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