Le Québec coincé par ses impôts. Vraiment ?


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«Le Québec coincé par ses impôts» titrait La Presse à la une le 24 mai. Le Québec consacrerait l’équivalent de 13,5% de son Produit intérieur brut (PIB) à l’impôt sur le revenu des particuliers, ce qui placerait celui-ci au 3e rang des pays avancés derrière le Danemark (27,7%) et l’Islande (13,8%). Voilà des statistiques évoquées par l’économiste Luc Godbout au dernier congrès de l’Association des économistes québécois (ASDEQ) à l’appui de sa proposition visant à redéployer la fiscalité pour donner plus de poids aux taxes à la consommation. Qu’en est-il au juste? En soi, oui, la donnée avancée par Luc Godbout est exacte.

Manifestation pour un meilleur partage de la richesse le 31 mars


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La Coalition Main rouge organise une manifestation le 31 mars, à 10h30, au square Phillips, pour rappeler au gouvernement que la richesse doit être partagée et les mesures suivantes, parmi nos 10 milliards de solutions!, mises en oeuvre: réinstaurer la taxe sur le capital pour les banques; augmenter les impôts des grandes entreprises; revoir la fiscalité des particuliers en augmentant le nombre de paliers d’imposition pour assurer une réelle progressivité de l’impôt et une plus grande contribution des plus riches et imposer davantage les dividendes et les gains en capital, au même titre que les revenus de travail; lutter plus activement contre l’évasion fiscale.

Baisse d’impôt des sociétés n’égale pas hausse de l’investissement et meilleurs salaires


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La première idée défendue par les apôtres des baisses d’impôt des sociétés serait qu’il y aurait un lien direct avec le réinvestissement et la bonification des salaires de leurs employées et employés. Au cours des 10 dernières années, les entreprises québécoises ont vu leur taux effectif marginal sur l’investissement (TEMI) baisser d’un peu plus de 20 points de pourcentage. Il n’y a pas plus eu de réinvestissement dans l’économie ou de hausse directe des revenus des employés du secteur privé.

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Quand les tarifs d’Hydro remplacent l’impôt


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Il est presque devenu fréquent de recevoir à l’arrivée du printemps la mauvaise nouvelle du compte d’Hydro qui va augmenter. Cette année ne fait pas exception. Alors qu’Hydro-Québec fait des profits records, ses tarifs vont connaître une hausse de 2,9% pour la clientèle résidentielle. Cet exercice devrait lui permettre d’accumuler 301 millions de dollars additionnels. Entre 2011 et 2015, les hausses consenties auront représenté 8,7% alors que l’inflation aura été de 7,41% (prévisions pour 2015 incluses).

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La FTQ demande un impôt minimum pour les grandes entreprises


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Dans son mémoire à la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise qui sera présenté le 28 octobre, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) propose d’établir un impôt minimum sur le revenu des grandes entreprises qui, malheureusement dans le contexte très difficile des finances publiques actuelles, parviennent trop souvent à éviter le paiement d’impôts.

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Une mesure fiscale pénalise les victimes d’accidents et de maladies du travail


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Encore cette année, des milliers de victimes d’accidents et de maladies du travail, ainsi que leur famille, auront la surprise d’être pénalisées, en produisant leur déclaration de revenus, par une mesure fiscale adoptée il y a maintenant dix ans par le gouvernement du Québec. L’uttam ainsi que de nombreuses organisations ouvrières dénoncent depuis longtemps cette injuste mesure et revendiquent son abolition, notamment la FTQ, la CSN, la CSQ, la CSD, la FIQ, l’APTS et le SPGQ.

Calculées sur la base du salaire net des victimes, les indemnités de remplacement du revenu de la CSST sont pourtant non-imposables. En effet, les principes fondamentaux de notre droit déterminent que la réparation d’un dommage corporel et ses conséquences n’est pas imposable puisque le corps humain n’est pas taxable.

Le système fiscal québécois désavantage la classe salariée


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Une étude de l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques se penche sur les effets de la complexité du système d’impôt québécois pour les particuliers. En compilant les données des statistiques fiscales des particuliers, l’étude permet de voir comment l’imposition diffère selon la provenance des revenus des contribuables. Elle rassemble également quelques propositions afin d’augmenter les revenus de l’État sans nuire de manière importante à la majorité des salariées et salariés.

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