Les femmes sont-elles victimes de leurs choix?


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On le sait, au Québec, les femmes gagnent en moyenne un salaire plus faible que leurs homologues masculins. Mais pourquoi en est-il ainsi? Est-ce parce que les femmes ont une préférence naturelle pour les professions moins payantes ou les horaires moins chargés? Autrement dit, est-ce que les femmes ne font que subir les conséquences de leurs choix? L’IRIS a publié le 23 avril une note socioéconomique dans laquelle cette hypothèse est soumise aux données québécoises. S’il est vrai que les femmes gagnent moins parce qu’elles font des choix moins payants, on devrait voir l’écart salarial se résorber, voire même disparaître, lorsqu’elles suivent des trajectoires similaires.

L’instruction aide à réduire l’écart salarial femmes-hommes


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Une étude internationale sur l’éducation révèle des différences de salaire plus importantes que la moyenne entre les Canadiennes et les Canadiens, différences qui diminuent toutefois à mesure que les femmes poursuivent leurs études aux niveaux supérieurs. Le rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) est basé sur l’analyse de données provenant de 35 pays membres et de 11 pays partenaires. Dans le groupe des personnes âgées de 25 à 64 ans n’ayant pas terminé leurs études secondaires, les Canadiennes gagnaient 61% du salaire touché par les Canadiens en 2014, comparativement à une moyenne de 76% pour les pays de l’OCDE.

Étude sur l’écart salarial : enseignantes et enseignants britanniques ne sont pas égaux


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Dans ses conclusions, l’Institute for Fiscal Studies (IFS) britannique démontre qu’en moyenne, les hommes sont payés beaucoup plus que les femmes dans les écoles dépendant des autorités locales et que le problème est encore plus grave au niveau des «academies», les écoles financées directement par le ministère. L’IFS affirme que les femmes britanniques gagnent 18% de moins que les hommes et que le problème est encore accentué pour les femmes ayant des enfants, pour lesquelles l’écart salarial se creuse jusqu’à atteindre le chiffre stupéfiant de 33%.

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L’injustice salariale frappe aussi les diplômées universitaires


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La situation salariale des Québécoises s’améliore au fil des ans, mais les dernières données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) rappellent l’écart qui les sépare toujours des hommes. Un rapport publié mardi indique qu’à compétences égales, les femmes de niveau universitaire travaillant au sein d’une entreprise privée de plus de 200 employés sont moins bien rémunérées que leurs collègues masculins. Parmi l’ensemble des professions analysées par l’ISQ, un écart de 4,19 $ séparait en 2013 le salaire horaire moyen des hommes (38,55 $) et des femmes (34,36 $). La recherche porte sur des employés permanents et à temps plein.