L’injustice salariale frappe aussi les diplômées universitaires


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La situation salariale des Québécoises s’améliore au fil des ans, mais les dernières données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) rappellent l’écart qui les sépare toujours des hommes. Un rapport publié mardi indique qu’à compétences égales, les femmes de niveau universitaire travaillant au sein d’une entreprise privée de plus de 200 employés sont moins bien rémunérées que leurs collègues masculins. Parmi l’ensemble des professions analysées par l’ISQ, un écart de 4,19 $ séparait en 2013 le salaire horaire moyen des hommes (38,55 $) et des femmes (34,36 $). La recherche porte sur des employés permanents et à temps plein.

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