La maîtrise de la langue française pour la relève en enseignement est pauvre et cela a des répercussions sur notre enseignement en étude supérieure depuis des années. À ce sujet, on peut lire un texte d’un de nos collègues, Antoine Dumaine, chargé de cours à l’UQTR, et aussi vice-président aux communications de l’Association des professeures de français, qui met de l’avant quelques solutions. Le texte de M. Dumaine est paru dans Le Devoir, du 11 juin 2021. Un peu plus tôt, un autre texte a été publié, cette fois dans La Presse du 31 mai dernier, sous la plume de Philippe Mercure, et qui rend compte de cette très inquiétante situation.