Fête de la rentrée

On finit cette rubrique sur une note plus légère… Peut-être étiez-vous à une des fêtes de la rentrée qui avait lieu à la Place Pasteur le 6 septembre et le lendemain au Complexe des sciences? On a cherché en vain notre actuelle rectrice, mais elle n’y était pas. On a toutefois pu échanger avec plusieurs collègues, ainsi qu’avec des étudiantes, étudiants et des employées, employés de l’UQAM. Un récent article d’actualités UQAM, signé Jean-François Ducharme, en fait mention.

La gratuité scolaire financièrement viable à l’université

Dans une étude récemment publiée, l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) avance que l’indexation des frais de scolarité n’a plus sa place comme mode de financement des universités. Et si l’éducation devenait une priorité nationale? À ce sujet, on peut lire l’article de la Presse canadienne parue le 24 août dans La Presse +.

Camp Vol d’été Leucan – CSN

L’Assemblée générale du SPPEUQAM a accordé, le 15 juin 2022, un don de solidarité de 2000 $ pour le Camp Vol d’été Leucan-CSN. Le Camp permet aux familles dont l’enfant a reçu un diagnostic de cancer, ou qui a dû composer avec une rechute au cours des trois dernières années, de venir passer une semaine de rêve au Manoir du Lac Delage. On peut accéder à un bref vidéo, où David Bergeron-Cyr, vice-président de la CSN, nous informe de la relance du Camp, par ce lien.

Tant pis pour les recommandations du CAPFE

La journaliste Marie-Ève Morasse signait un article dans la Presse du 15 juin au sujet de trois programmes universitaires menant au brevet d’enseignement qui avait été approuvé par le ministère de l’Éducation, sans attendre l’avis d’un comité d’experts (le CAPFE, pour Comité d’agrément des programmes de formation à l’enseignement) chargé de leur qualité. Or, « sur le site Internet du ministère de l’Éducation, il est bel et bien indiqué que c’est ce comité qui recommande au ministre de désigner les programmes agréés, parmi ceux qui donnent accès à l’autorisation légale d’enseigner au Québec ».

Le féminisme à travers la mobilisation étudiante

L’entrevue de notre collègue Camille Robert, parue dans le dernier numéro (91) de la revue À Babord au printemps 2022 et qui contient un dossier sur le syndicalisme, nous replace sur le terrain féministe des luttes étudiantes de 2012 et de celles qui ont suivi. Camille Robert est actuellement chargée de cours en histoire et agente de relations de travail au SPPEUQAM. L’intégrale de l’entrevue publiée dans À Babord, et qui s’intitule « Une grève féministe? » suit. Bonne lecture, vers ce qui nous amène dans les coulisses du féminisme étudiant.

Quand on interdit la liberté fondamentale de manifester

Aurélie Lanctôt revenait dans l’édition du Devoir du 20 mai avec une autre excellente chronique intitulée « Le périmètre de contestation » sur le 18 mai dernier, qui est un triste anniversaire avec l’adoption d’une loi spéciale du gouvernement Charest pour « couper court aux mobilisations étudiantes du printemps 2012 ». (…) « Au même moment, la Ville de Montréal amendait son règlement P-6 afin d’obliger la divulgation de l’itinéraire des manifestations, d’interdire de se couvrir le visage et de permettre la distribution d’amendes plus salées. » Ce que l’ONU, la Commission de droits de la personne et le Barreau du Québec ont dénoncé.

Quand le mépris provoque l’indignation et la mobilisation populaire

L’émission radio de la Première chaîne de Radio-Canada, Désautels le dimanche, revenait le 29 mai dernier sur la mobilisation étudiante d’il y a dix ans, avec un reportage de Frank Desoer, d’environ treize minutes. Le reportage se termine avec une entrevue de Martine Desjardins, à l’époque présidente de la Fédération étudiante universitaire (FEUQ), qui regroupait 125 000 étudiantes, étudiants. On peut écouter le reportage en cliquant sur ce lien.

Les effets de l’enseignement en ligne et du numérique à tout prix

Qu’en est-il des effets de la formation à distance (FÀD) et aussi de l’enseignement palliatif en ligne. À ce sujet, on peut lire un très bon article dans la dernière infolettre duSyndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO. L’article s’intitule « La formation à distance à la rescousse de l’environnement : une fausse bonne idée ». Sur le même sujet, ce qui complète l’article de notre collègue enseignant à l’Université du Québec en Outaouais, Nicolas Harvey, on peut lire un second article, paru dans La Presse, le 27 mai dernier.

École d’été Witamawi

Une activité universitaire, organisée conjointement par l’Institution Kiuna et l’UQAM, appelée Witamawi est actuellement en campagne de sociofinancement et à 77% de son objectif. Le but est de permettre à des étudiantes et des étudiants qui œuvreront bientôt dans le monde de l’éducation d’intégrer les perspectives autochtones dans leur future pratique professionnelle. Expérience immersive, le cours de trois crédits se déroule du 8 au 12 août 2022 au sein de la communauté abénakise d’Odanak.

Pour en savoir davantage, on se dirige de ce côté. En date du 19 mai, il ne reste que 15 jours pour contribuer.

17 mai, Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie

À l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, soulignée le 17 mai de chaque année, le thème proposé pour 2022 par la Fondation Émergence est : L’homophobie et la transphobie réduisent l’espérance de vie des personnes LGBTQ+.

De l’information est disponible sur le microsite de la campagne, dont une vidéo percutante de 2 minutes. Nous vous invitons à transférer cette vidéo de sensibilisation sur vos réseaux afin que le message atteigne le plus de gens possible.

Ensemble au Conseil fédéral de la FNEEQ

Une forte délégation de militantes et de militants du SPPEUQAM est actuellement présente au Conseil fédéral de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) qui se déroule du 4 au 6 mai à Sherbrooke. Un conseil fédéral, et aussi un congrès, c’est l’occasion de prendre contact, d’échanger et d’entendre les préoccupations des militantes et des militants du milieu de l’enseignement au Québec. C’est un moment d’ouverture qui nous permet d’élargir nos horizons tout en menant des réflexions sur des sujets qui nous concernent toutes et tous, et qui concernent l’avenir du Québec.

L’ œuf de Grégory Charles

Nous vous suggérons ici la très bonne chronique de la très pertinente journaliste Odile Tremblay, parue dans l’édition du Devoir d’aujourd’hui, 5 mai. À lire!

Humeur exécutive

Les coulisses

Quand je relis une de mes chroniques écrites alors que je n’étais qu’une jeune étudiante étrangère, j’y retrouve toute sorte d’émotions liées à cette condition si particulière : la solitude, les chocs culturels, l’anxiété de prouver que l’on est capable de contribuer, que l’on mérite la confiance que l’on nous accorde. Mais, aujourd’hui, avec le recul de l’étrangère devenue partie intégrante d’une communauté, la question qui s’impose à moi est celle-ci : comment la greffe s’est-elle réellement opérée? Je me rends alors compte que j’ai encore beaucoup à écrire, car je n’ai toujours pas suffisamment exploré les coulisses de mon aventure.

Libertés malmenées

Il y a un peu plus d’un an, l’Université d’Ottawa, et le monde universitaire québécois, vivaient une controverse en raison du traitement réservé à notre collègue chargée de cours Verushka Lieutenant-Duval. Un livre rédigé par 34 professeurs de l’Université d’Ottawa, qui s’étaient précédemment portés à la défense de madame Lieutenant-Duval, vient d’être publié sous le titre « Libertés malmenées : Chronique d’une année trouble à l’Université d’Ottawa ». On peut écouter une brève entrevue de Sylvie Paquereau, professeure à l’Université d’Ottawa, menée par Mélanye Boisonnault, de Radio-Canada, Ottawa/Gatineau, à l’émission Les matins d’ici, par ce lien.

Le rôle central de l’éducation dans la vie démocratique

Sans doute que quelques membres du SPPEUQAM ont enseigné à Aurélie Lanctôt alors qu’elle étudiait à l’UQAM en journalisme. C’est dire qu’elle a reçu un enseignement de qualité et qu’elle sait bien s’en servir! Quoiqu’il en soit, c’est un réel plaisir de la lire régulièrement. Dans une chronique parue dans Le Devoir du 25 mars, elle revenait sur les récentes manifestations étudiantes. Elle écrivait ainsi : « Si l’on remet aujourd’hui la gratuité scolaire sur la table, ce n’est pas uniquement un clin d’œil aux mobilisations d’il y a dix ans.

On prend place à l’Assemblée nationale

Hugo Pilon-Larose nous apprend dans La Presse du 5 avril que « l’organisme Ma place au travail, qui milite pour que Québec accorde une aide financière temporaire aux familles qui ne trouvent pas une place en garderie pour leur enfant, annonce que des parents assisteront tous les jeudis à la période de questions au Salon bleu pour être vus du gouvernement, qui refuse à ce jour leur demande. »

Manifestation samedi 26 mars, pour la paix, contre la guerre

Le collectif Échec à la guerre, dont est membre notre fédération nationale, la FNEEQ, organise une manifestation pour signifier l’opposition à la guerre. Le rendez-vous est à 14 h, à l’angle Cherrier et du Parc-Lafontaine, à Montréal. Échec à la guerre est une coalition d’organismes de la société civile québécoise, préoccupés par la place grandissante de la guerre dans notre politique étrangère et par la montée d’un discours officiel militariste au pays. Pour soutenir Échec à la guerre, on ouvre son portefeuille de ce côté

Amnistie Internationale, le peuple ukrainien et le gouvernement russe

Amnistie Internationale mobilise actuellement toutes ses ressources pour venir en aide aux familles déplacées et toutes les personnes réfugiées dans le pays. Un simple clic nous permet de faire un don à Amnistie. L’organisme mène aussi une campagne de pression sur le gouvernement russe; pour y participer, on se dirige vers ce lien.

Pour connaître l’Ukraine

Pour avoir de l’information de toutes provenances, entre autres sur l’Ukraine, le conflit en cours et son histoire, un des membres du SPPEUQAM, qui connait bien cette région du globe, nous suggère d’aller faire un tour sur le site Internet d’Agoravox.fr. Vous y trouverez vraiment une source d’informations variées.

Inégalités des sexes et crise climatique

La combinaison des inégalités entre les sexes et de la crise climatique représente l’un des plus grands défis de notre époque. Elle menace les modes de vie, les moyens de subsistance, la santé, la sûreté et la sécurité des femmes et des filles dans le monde entier. On en apprend davantage à la lecture de cet article paru sur le site Internet d’ONU Femmes .

ONU Femmes est l’entité des Nations Unies consacrée à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Dans la dernière édition de son Bulletin de veille, le Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine (CDEAF) nous apprend qu’ONU Femmes propose aux gouvernements cinq manières de renforcer l’égalité des sexes et la durabilité.

Faire converger les luttes féministes

Un cahier spécial sur les luttes féministes est paru dans l’édition du Devoir des 5 et 6 mars. On y retrouve un article de Rose Carine Henriquez qui souligne la pertinence des actions du Collectif du 8 mars. L’autrice nous recommande également un amusant Guide de survie féministe aux soupers de famille publié par Oxfam-Québec.

Dévoilement ou pas du harcèlement ou de la violence sexuelle

La Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur mène actuellement une étude visant à mieux comprendre les motifs de dévoilement et de non-dévoilement du harcèlement et des violences sexuelles à l’université.

Qui peut participer à cette étude? Les personnes étudiantes ou employées d’une université qui ont vécu un évènement de harcèlement ou de violence sexuelle en contexte universitaire (comportements, attitudes ou propos à caractère sexuel non consentis ou non désirés, avec ou sans contact physique). Il faut que l’évènement ait été commis par une personne affiliée à leur université, peu importe le lieu.

Pour participer, répondez à un court questionnaire en ligne.