Dans cet article de Catherine Couturier paru dans l’édition des 22-23 janvier du Devoir, la présidente de notre fédération nationale, Caroline Quesnel, affirme avec justesse que les « conséquences du basculement en mode non présentiel, parce que c’est différent de la formation à distance, pensée et conçue comme telle, ne sont pas anodines ». En effet, on parle ici de « détresse psychologique élevée chez les enseignants, temps et travail supplémentaires pour adapter les cours, effacement des frontières entre la vie privée et le travail, sans compter l’isolement et la démotivation pour les étudiants ».