Plus de transparence sur les coûts des médicaments


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Depuis le 15 septembre, les Québécoises et Québécois ont droit à plus de transparence sur leur facture de médicaments en pharmacie. Le SFPQ invite les citoyens à jeter un coup d’œil attentif sur la nouvelle facture détaillée qui comprend désormais les données suivantes : • Les honoraires du pharmacien; • Le prix de la molécule (médicament); • La marge du grossiste (distributeur). Une seule ligne varie d’une pharmacie à l’autre, soit les honoraires des pharmaciens.

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Le BEI manque de transparence, selon plusieurs organismes


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Un an après son entrée en service, le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) n’apporte pas la transparence voulue, selon un collectif d’organismes qui a effectué une sortie publique mardi. Le BEI a pourtant été créé pour rassurer la population dans le cas où un policier blesserait ou tuerait un citoyen dans le cadre d’une opération policière. Avant, ce type d’enquête était toujours confié à un autre corps policier ce qui laissait planer des soupçons de manque d’indépendance. La coalition, composée de la Ligue des droits et libertés, Montréal Républik, de la Coalition contre la répression des abus policiers et du Conseil central du Montréal métropolitain (CSN), demande au ministère de la Sécurité publique de revoir la loi et la réglementation pour permettre d’avoir accès aux documents d’enquête lorsqu’un dossier ne mène pas à des accusations de la part du Directeur des poursuites criminelles et pénales comme ça a été le cas récemment.

Explications du DPCP : mais de quelle transparence parle-t-on au juste?


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Les explications fournies par le Directeur des poursuites criminelles et pénales de ne pas porter d’accusations contre le policier impliqué dans la collision ayant causé la mort d’un enfant de cinq ans soulèvent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses, selon la Ligue des droits et libertés. En outre, bien loin de satisfaire aux exigences de transparence réclamées par la population en pareilles circonstances, ces explications soulèvent des doutes sur la manière dont le SPVM a pu mener l’enquête sur laquelle s’appuie la décision du DPCP.

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Québec ordonne un examen indépendant.

Contrats publics : rare consensus entre patrons et syndicats


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L’encadrement des pratiques en matière d’octrois de contrats publics et de suivi sous la loupe d’une expertise indépendante, préférablement interne, ressort des mémoires déposés auprès de la commission Charbonneau. Plus de 70 mémoires déposés en marge des travaux de la commission Charbonneau sont désormais disponibles dans le site de la Commission d’enquête sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction (CEIC). Parmi ceux venant de source ou d’allégeance patronale et syndicale, le thème de la transparence et de l’encadrement des pratiques devient récurrent. S’ajoute, pour l’Institut canadien des économistes en construction-Québec, un impératif de suivi, par un expert indépendant, des grandes étapes de l’octroi et de l’exécution des contrats publics.

Une loi électorale nocive pour nos institutions


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Des universitaires canadiens qui étudient les principes et les institutions des démocraties constitutionnelles croient que la Loi sur l’intégrité des élections, si elle devait être adoptée, ferait des torts importants à l’institution qui est au cœur de la démocratie de notre pays : le vote dans des élections fédérales. Ils veulent que le gouvernement procède à une plus vaste consultation autour de ce projet de loi. Ils sont d’accord pour dire que le système électoral a besoin de réformes, mais ils estiment que ce projet de loi contient des propositions qui réduiraient la transparence des élections fédérales et l’équité lors de celles-ci, et que cela provoquerait une diminution de la participation politique.

Vidéosurveillance : les étudiants dénoncent le manque d’encadrement et de transparence de l’UQAM


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L’UQAM se prend-elle pour « Big Brother » ? C’est l’avis de plus en plus d’étudiants et d’enseignants, qui dénoncent le manque de transparence et plaident pour un meilleur encadrement de l’utilisation des caméras de sécurité. « Il n’y a aucun encadrement pour la vidéosurveillance. Et quand on demande des informations, comme le nombre de caméras installées, on refuse de nous répondre en invoquant la Loi d’accès à l’information et en nous disant que ces infos risquent de compromettre la sécurité », a dit René Delvaux, représentant étudiant au conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal.

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