Palmarès mondial des universités : l’UdeM s’approche du top 100


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Les universités américaines et britanniques continuent de dominer largement le Times Higher Education, le palmarès des universités dans le monde publié cette semaine. Trois universités canadiennes se classent parmi les 100 «meilleures», tandis que cinq institutions chinoises parviennent elles aussi à se hisser à ce niveau. L’Université de Montréal a grimpé de 10 échelons cette année (103e rang), ce dont se félicite son recteur, Guy Breton. L’Université de Toronto (22e), celle de la Colombie-Britannique (36e) et de McGill (42e) ont, elles, perdu quelques petits rangs, mais se classent parmi les 100 premières. Le classement du Times Higher Education recense les «meilleures» universités dans le monde depuis 2004 à la lumière de cinq critères : l’enseignement, la qualité de la recherche, le nombre de mentions dans les publications scientifiques, la portée internationale et l’apport des connaissances à l’industrie.

Huit universités canadiennes au sein d’un classement mondial


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Les établissements canadiens ont légèrement glissé au sein du classement mondial 2014-2015 des meilleures universités du Times Higher Education. Huit universités canadiennes figurent toujours aux 200 premiers rangs du classement. La mieux placée est l’Université de Toronto qui occupe le 20e rang. L’Université McGill arrive au 39e et l’Université de Montréal est 113e, une baisse de 7 places.

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L’évaluation des universités, une « farce »?

« Le classement de Shanghaï et celui du Times Higher Education sont très populaires auprès des administrateurs universitaires ». À l’occasion de la sortie de son ouvrage intitulé Les dérives de l’évaluation de la recherche. Du bon usage de la bibliométrie, Yves Gingras, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en histoire et en sociologie des sciences à l’UQAM, explique que le monde de la recherche et de l’enseignement supérieur est agité depuis plusieurs années par une véritable « fièvre de l’évaluation ». Mais les classements des universités n’ont aucune valeur scientifique, selon lui.

Lire la suite du texte du Devoir.