Salaires et sécurité d’emploi : les syndicats de La Presse veulent connaître la position de l’employeur


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Les syndicats représentant les 420 employé-es de La Presse et de sa filiale Nuglif exigent de connaître la position de l’employeur concernant les salaires et la sécurité d’emploi, près de 18 mois après l’échéance de leurs précédentes conventions collectives. Les syndicats veulent poursuivre les négociations en ayant tous les éléments en main. Jusqu’ici, ces négociations ont porté sur des aspects sans incidence financière. Il est plus que temps que les salarié-es de La Presse et Nuglif sachent ce que l’employeur souhaite leur proposer, alors qu’une cinquantaine d’employé-es s’apprêtent à quitter l’entreprise en raison d’une nouvelle ronde de coupes à La Presse, annoncées il y a maintenant près de trois semaines.

Une nouvelle vague de coupes de postes à La Presse


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La Presse a annoncé jeudi matin sa volonté de réduire de 49 le nombre de ses employé-es – dont 40 sont syndiqués –, par une combinaison de licenciements et de départs volontaires. Les syndicats de La Presse déplorent ces nouvelles coupes. Au total, celles-ci se chiffrent par centaines depuis une dizaine d’années. Actuellement en négociation pour le renouvellement de leurs conventions collectives, les employé-es syndiqués de La Presse tiennent à conserver leur sécurité d’emploi, d’autant plus que celle-ci vient d’être confirmée par une décision arbitrale. Le 25 mai dernier, le Syndicat des travailleurs de l’information de La Presse (CSN) (STIP) et le Syndicat des employés de bureau et de journaux (CSN) (SEBJ) ont eu gain de cause sur toute la ligne relativement aux dispositions touchant à la sécurité d’emploi.

États-Unis : les enseignantes et enseignants sur un siège éjectable


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La sécurité de l’emploi, c’est fini pour les enseignants en Californie. C’est du moins ce qu’a décidé un juge de Los Angeles. Un groupe de neuf élèves a intenté il y a deux ans un procès demandant la suppression du statut de titulaire qui empêche de licencier des profs jugés incompétents. Le juge a statué en faveur de ces élèves en estimant que le système en place était « inconstitutionnel » et violait les droits civiques des élèves. Une grande première sur le plan légal qui relance le débat sur les causes de l’échec scolaire et risque d’avoir de grosses répercussions sur le mode de recrutement et d’évaluation des enseignants au plan national.