Une fin de trimestre derrière les barreaux


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Un leader étudiant de l’UQAM finira son trimestre en prison, et ce, même s’il n’a pas d’antécédent judiciaire et qu’il s’était engagé à ne pas remettre les pieds à l’université. Pour préserver la confiance du public dans le système de justice, un juge de la cour municipale de Montréal a refusé de libérer sous condition Hamza Babou d’ici son procès. Aux yeux de son avocate, Me Véronique Robert, «c’est clair qu’on a voulu en faire un exemple» dans le contexte de la grève qui secoue l’UQAM. «Ça ressemble à un jugement de nature politique», dit-elle, ajoutant qu’elle songe à se tourner vers la Cour supérieure pour demander une révision judiciaire.

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Le conflit étudiant actuel plus violent qu’en 2012, prétend le SPVM.