Services de garde en milieu familial : le ministre Fortin maintient son incohérence


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«Si le ministre Luc Fortin était vraiment sérieux dans sa volonté d’améliorer la qualité des services de garde, il n’aurait certainement pas baissé les bras sur les exigences imposées aux garderies privées dans le projet de loi no 143.» Telle est la réaction de Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), et de Valérie Grenon, présidente de la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ), à l’appel de projets du ministre de la Famille pour renforcer la qualité des services de garde publics en milieu familial. Cela soulève également un enjeu d’équité. En effet, l’ensemble des enfants devrait avoir accès à des services adéquats, il est donc questionnable que le gouvernement décide de procéder à la pièce pour un enjeu aussi important.

Projet de loi no 143 : réussite éducative et égalité des chances : le gouvernement doit protéger les enfants avant tout


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L’Association québécoise des CPE (AQCPE), la Fédération des commissions scolaires, la Fédération des comités de parents, la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ), l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ), la Coalition des garderies privées non subventionnées du Québec et l’Association des cadres de CPE (ACCPE) interpellent le ministre de la Famille sur le manque de détermination avec lequel il défend la mise en place de mesures favorisant la réussite éducative et l’égalité des chances pour tous les enfants, avec ses modifications proposées au projet de loi no 143.

Projet de loi 143 : les ratios des services de garde familiaux privés doivent être réduits


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Alors que le gouvernement du Québec s’apprête à faire adopter le projet de loi 143 avant les fêtes, la CSN invite le ministre de la Famille, Luc Fortin, à revoir à la baisse le ratio du nombre d’enfants de six à quatre dans les services de garde privés en milieu familial, qui refuseront de se conformer aux mesures réglementaires. Le ministre ne doit pas céder à l’argument — non fondé — selon lequel une telle baisse entraînerait inévitablement la fermeture de plusieurs de ces services de garde. D’autant que pour ceux qui comprennent que la sécurité passe avant le bénéfice, il y aura une procédure possible.

Projet de loi no 143 en petite enfance : les vrais enjeux ignorés, selon la CSQ


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La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) accueille tièdement le projet de loi no 143 modifiant la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance déposé aujourd’hui par le ministre de la Famille, Sébastien Proulx, à l’Assemblée nationale. «Bien que nous partagions la volonté du ministre d’introduire la notion de réussite éducative dans la loi, nous constatons que les moyens pour concrétiser cette volonté ne sont pas au rendez-vous. Même s’il a multiplié les annonces dans les dernières semaines, les sommes prévues pour la transition vers l’école sont nettement insuffisantes», dénonce Louise Chabot, présidente de la CSQ. Cette dernière déplore que le gouvernement s’entête à maintenir des mesures comme la modulation des tarifs et les crédits d’impôt qui poussent les parents vers des services de garde privés de moindre qualité.

Centres de pédiatrie sociale : 20 millions $, Organismes communautaires Famille : 0


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Le 4 octobre 2016, le ministre de la Famille, Sébastien Proulx, réitérait l’octroi de 20 millions $ à la Fondation du Dr Julien, pour le financement des centres de pédiatrie sociale. À terme, ce sont 5 millions $ par année qui seront versés d’ici 2020 pour financer la quarantaine de centres déjà existants un peu partout dans la province et en implanter de nouveaux. Or, la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées (FAFMRQ), le Regroupement des organismes communautaires Famille de Montréal (ROCFM) et la Table régionale des organismes communautaires Famille de Lanaudière (TROCFL) déplorent qu’on fasse encore une fois le choix d’investir dans le développement de nouvelles ressources plutôt que de soutenir les organismes communautaires Famille qui font déjà un immense travail sur le terrain.

Ouverture au retour d’une approche généraliste dans la lutte à l’itinérance


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Dans un communiqué diffusé jeudi, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, Jean-Yves Duclos évoque que «le financement permettra de répondre aux besoins des collectivités à l’échelle du pays afin de prévenir et réduire l’itinérance». Il est aussi question «d’offrir aux collectivités la souplesse et le soutien dont elles ont besoin afin de contribuer à la prévention et réduction de l’itinérance». Le RAPSIM se réjouit de voir le ministre Duclos confirmer son ouverture au retour d’une approche généraliste dans la lutte à l’itinérance intégrant une diversité de réponses et à la flexibilité dans l’allocation de ces fonds.

CPE et garderies réclament la tête du sous-ministre, le ministre prend sa défense


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Le ministre québécois de la Famille Sébastien Proulx nie que les règles budgétaires présentées cette semaine aux associations représentant les centres de la petite enfance (CPE) et les garderies subventionnées par son sous-ministre adjoint ne respectent pas les termes de l’entente convenue avec elles en février dernier. Le Rassemblement des garderies privées du Québec (RGPQ) demande la tête de M. Robert, tandis que l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) critique sévèrement son manque de collaboration et de souplesse, notamment au sujet de l’utilisation de l’allocation de transition de 60 millions de dollars qui a fait l’objet d’une entente avec les associations du milieu en février.

Le vandalisme d’État envers le réseau de la petite enfance a assez duré


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La Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ) intime la ministre de la Famille, Francine Charbonneau, et son gouvernement de cesser l’appauvrissement, voire le démantèlement, du réseau public de la petite enfance du Québec. «Notre gouvernement est en train de vandaliser littéralement le réseau public en l’offrant à l’entreprise privée. Car c’est bien de cela qu’on parle quand on sait que les crédits d’impôts qu’il accorde aux garderies privées subventionnées coûtent au bas mot 589 millions de dollars à l’État», s’exaspère Kathleen Courville, présidente de la FIPEQ-CSQ.

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