Au revoir Michel…


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Michel Sarra-Bournet

Chargé de cours aux départements d’histoire et de science politique

Décédé le 1er février 2019

Les obsèques ont eu lieu les 09 et 10 février

 

J’ai perdu un collègue.

Pas un grand ami, ni une simple connaissance. Mais un collègue, un vrai bon collègue.

Je ne le côtoyais pas suffisamment pour le connaitre vraiment, échanger sur nos vies personnelles, mais assez pour être heureuse de le croiser encore une fois, de savoir qu’il est aussi dans les parages ce trimestre.

Bref échange cordial dans le cadre d’une porte, discussion riante près de la machine à café au Lieu social, petite conversation historique ou politique.

Cocktail dînatoire, table ronde et lancement : Bulletin d’histoire politique fête ses 25 ans


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La revue Bulletin d’histoire politique (BHP), revue scientifique et de transfert, dont le chargé de cours en histoire, en science politique et en études québécoises Michel Sarra-Bournet est membre du comité de rédaction, fêtera ses 25 ans le jeudi 20 avril de 17h30 à 20h30 dans le Foyer de la salle Marie-Gérin-Lajoie de l’UQAM, avec un cocktail dînatoire, une table ronde et le lancement du numéro 25.3 L’histoire politique au Québec. Depuis 1992, le BHP publie trois fois par année des articles évalués, de même que des textes de vulgarisation et des débats dans le champ de l’histoire politique. Elle est disponible par abonnement, en librairie et par Érudit.

André Lamoureux et Michel Sarra-Bournet commentent l’histoire du terrain que trois sénateurs se sont vendu pour satisfaire à une loi vieille de 150 ans


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Trois sénateurs québécois se sont mutuellement vendu un terrain qu’ils n’ont jamais utilisé et pratiquement jamais vu, afin de satisfaire à une loi vieille de 150 ans qui les oblige à être propriétaires pour accéder à leurs fonctions, selon les recherches effectuées par le Bureau d’enquête du Journal de Montréal. «L’obligation de propriété dans la division sénatoriale est une règle vétuste qui devrait être changée. Néanmoins, cela m’apparaît discutable que l’on se passe le terrain d’un sénateur à l’autre juste pour se conformer au règlement», analyse André Lamoureux, chargé de cours au Département de science politique de l’UQAM. «C’est inscrit dans la Constitution.

Le kiosque des chargées et chargés de cours chercheurs et créateurs au congrès de l’Acfas remporte un franc succès!


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Le SCCUQ a tenu un kiosque au carrefour des pavillons Judith-Jasmin, Hubert-Aquin et Gestion, du 10 au 12 mai, dans le cadre du congrès de l’Acfas, pour mettre de l’avant les chargées et chargés de cours qui font de la recherche et de la création. Le Syndicat voulait ainsi valoriser leur travail et rendre visible, auprès de la communauté, l’expertise des personnes chargées de cours. De nombreux congressistes se sont arrêtés au kiosque pour rencontrer les chargés de cours chercheurs et créateurs Michel Sarra-Bournet, Cécile Nicolas, Benoît Coutu, Jean-Philippe Laperrière, Nicole Milette, Isabelle Morisette, Julie Paquette, France Simard, Jean-Baptiste Plouhinec, Ève-Marie Lampron, Dominique Sarrazin, Elsa Acem, Carine Dierckx, Jean Régnier et Olivier Barsalou.

Les grands commis et les grandes missions de l’État dans l’histoire du Québec


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L’ouvrage Les grands commis et les grandes missions de l’État dans l’histoire du Québec, sous la direction du chargé de cours en histoire, en science politique et en études québécoises Michel Sarra-Bournet, vient de paraître aux Presses de l’Université du Québec. Cet ouvrage est consacré à des individus de haut calibre qui ont participé à l’essor du Québec à partir de postes stratégiques dans les organisations publiques, ainsi qu’aux diverses missions de l’État à travers les âges. Chacune des cinq parties de l’ouvrage correspond à une période, de la Nouvelle-France jusqu’à la fin du XXe siècle. Elles comportent toutes deux chapitres, le premier traçant le portrait d’un grand commis de l’État québécois, qui s’incarne dans un personnage ou une fonction, le deuxième exposant une grande mission de l’État liée au travail de ce personnage ou de cette fonction.

André Lamoureux et Michel Sarra-Bournet font bénéficier de leurs analyses le Journal de Montréal et Montreal Gazette


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Plus de 2 M$ en indemnités de départ ont été versés aux directeurs de cabinet des ministres québécois depuis 2011, certains ayant empoché des sommes de plus de 100 000 $. «On justifie cela sur la base que ces employés n’ont pas de sécurité d’emploi. Mais c’est comme ça, la politique. C’est comme se lancer en affaires, il y a des risques. On le fait pour la cause», dit le chargé de cours au Département de science politique André Lamoureux au Journal de Montréal. Il commente aussi, en compagnie de son collègue Michel Sarra-Bournet, l’avenir du Nouveau Parti démocratique au Québec pour Montreal Gazette.

Louis Bernard, entretiens avec Michel Sarra-Bournet


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Le chargé de cours en histoire et en science politique Michel Sarra-Bournet a procédé mercredi à l’UQAM au lancement de ses entretiens avec Louis Bernard, une des personnes les plus influentes au sein de l’État québécois pendant plus de trois décennies. Le livre a été publié par les Éditions du Boréal sous le titre Louis Bernard. Entretiens. En recueillant son témoignage sur les événements politiques qu’il a vécus et ses propos sur la gouvernance et l’avenir du Québec, cet ouvrage rend compte de sa contribution aux affaires publiques.

Louis Bernard a tour à tour été qualifié de «mandarin des mandarins», parce qu’il a été le patron de tous les fonctionnaires, et d’«éminence grise», en raison de sa participation aux décisions gouvernementales sous plusieurs premiers ministres.

De la pertinence de l’histoire politique : retour sur l'Affaire Bastien

Éditorial du Bulletin d’histoire politique, vol. 22, no. 1, (automne 2013)

Depuis 2006, le Québec a été traversé par tant de débats au sujet de l’histoire qu’on ne peut pas s’empêcher de conclure qu’il s’agit d’une question délicate, au cœur même de son identité. Le nouveau programme d’histoire « nationale » de 3e  et 4e secondaire, la célébration des 400 ans de la Ville de Québec, la commémoration de la Bataille des Plaines d’Abraham, la murale BMO, le Moulin à paroles, les rapports Lavallée, Laporte-D’Arcy et Bédard sur l’enseignement de l’histoire du Québec du secondaire à l’université, la monarchie et la Guerre de 1812, la transformation du Musée de la civilisation en un Musée canadien de l’histoire, l’étude du Comité du Patrimoine canadien sur l’enseignement de l’histoire dans les écoles canadiennes et plus récemment la décision d’Ottawa d’allouer 12 millions dans la promotion de l’histoire canadienne, le nouveau cours obligatoire d’histoire du Québec dans les cégeps, tous ces sujets ont fait couler beaucoup d’encre.

De la pertinence de l’histoire politique : retour sur l’Affaire Bastien


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Éditorial du Bulletin d’histoire politique, vol. 22, no. 1, (automne 2013)

Depuis 2006, le Québec a été traversé par tant de débats au sujet de l’histoire qu’on ne peut pas s’empêcher de conclure qu’il s’agit d’une question délicate, au cœur même de son identité. Le nouveau programme d’histoire « nationale » de 3e  et 4e secondaire, la célébration des 400 ans de la Ville de Québec, la commémoration de la Bataille des Plaines d’Abraham, la murale BMO, le Moulin à paroles, les rapports Lavallée, Laporte-D’Arcy et Bédard sur l’enseignement de l’histoire du Québec du secondaire à l’université, la monarchie et la Guerre de 1812, la transformation du Musée de la civilisation en un Musée canadien de l’histoire, l’étude du Comité du Patrimoine canadien sur l’enseignement de l’histoire dans les écoles canadiennes et plus récemment la décision d’Ottawa d’allouer 12 millions dans la promotion de l’histoire canadienne, le nouveau cours obligatoire d’histoire du Québec dans les cégeps, tous ces sujets ont fait couler beaucoup d’encre.