Analyse du SPGQ sur les différences salariales dans le secteur parapublic : des écarts importants qui pénalisent les institutions culturelles


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Dans les secteurs public et parapublic, le personnel professionnel des organismes gouvernementaux à prédominance féminine et à vocation culturelle compose avec des écarts salariaux importants et désavantageux par rapport à celui des organisations à prédominance masculine.  C’est ce qui ressort d’une analyse sur les différences salariales entre les hommes et les femmes dans le secteur parapublic, réalisée par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) en 2018 et dévoilée mardi.

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Retour du Commissaire à la santé et au bien-être : le SPGQ s’en réjouit, mais déplore la perte d’expertise.

Salaires inégaux, à qui la faute ?


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Le 21 novembre 1996, l’Assemblée nationale du Québec adoptait à l’unanimité la Loi sur l’équité salariale, qui exige que les entreprises d’au moins dix salarié·e·s offrent «un salaire égal pour un travail différent, mais équivalent». Deux décennies plus tard, et ce, malgré le ton triomphal utilisé par certains commentateurs, les questions d’égalité de rémunération hommes-femmes sont toujours d’actualité. Même si certaines avancées sont indéniables, il est important de garder à l’œil les écarts qui restent à combler. Dans cette note socioéconomique, l’IRIS propose de mieux comprendre et repérer l’évolution des écarts salariaux entre les hommes et les femmes au Québec, afin de mettre en lumière la discrimination systémique que vivent encore les femmes sur le marché du travail.