Thème du 8 mars 2018, Journée internationale des femmes : Féministes tant qu’il le faudra!


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Féministes tant qu’il le faudra! Le thème du 8 mars 2018 résonne plus que jamais alors que les derniers mois ont été marqués par des événements sans précédent avec les nombreuses vagues de dénonciation des agressions sexuelles perpétrées à l’endroit des femmes. Travaillons à combattre et à mettre un terme aux multiples violences faites aux femmes, dont celles qui sont commises envers les femmes autochtones. Dénonçons aussi l’impact sexiste du néolibéralisme et des mesures d’austérité, dont les coupes dans les services publics, la commercialisation des services éducatifs à la petite enfance et la discrimination systémique en emploi qui persiste pour toutes les femmes et en particulier pour les femmes racisées ou en situation de handicap.

Mal protéger pour mieux contrôler la parole publique


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La Ligue des droits et libertés (LDL) s’oppose au projet de loi 59 concernant la prévention et la lutte contre le discours haineux et incitant à la violence. Selon nous, ce projet de loi annonce des restrictions importantes à la liberté d’expression alors que le gouvernement ne nous en a pas démontré la nécessité pas plus que les avantages pour notre vie en commun. Nous croyons également que le système de dénonciation que met de l’avant ce projet de loi aura pour effet d’inciter à la délation et nous fera entrer dans une ère du soupçon où la méfiance des uns à l’égard des autres sera la règle et non l’exception.

Dénonciations d’agressions sexuelles : l’UQAM dans la tourmente


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Faut-il appuyer ou condamner les dénonciations sous le couvert de l’anonymat de présumés agresseurs sexuels sur la place publique et les réseaux sociaux? À l’Université du Québec à Montréal, où la question divise les cercles féministes, le débat fait rage, alors que des professeurs ont vu leur porte de bureau entièrement placardée d’autocollants dénonçant la culture du viol.

Lire la suite du texte de La Presse.

Se faire justice sur Facebook.

L’UQAM réprouve les actes d’intimidation à l’endroit de membres du corps professoral.