Thème du 8 mars 2018, Journée internationale des femmes : Féministes tant qu’il le faudra!


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Féministes tant qu’il le faudra! Le thème du 8 mars 2018 résonne plus que jamais alors que les derniers mois ont été marqués par des événements sans précédent avec les nombreuses vagues de dénonciation des agressions sexuelles perpétrées à l’endroit des femmes. Travaillons à combattre et à mettre un terme aux multiples violences faites aux femmes, dont celles qui sont commises envers les femmes autochtones. Dénonçons aussi l’impact sexiste du néolibéralisme et des mesures d’austérité, dont les coupes dans les services publics, la commercialisation des services éducatifs à la petite enfance et la discrimination systémique en emploi qui persiste pour toutes les femmes et en particulier pour les femmes racisées ou en situation de handicap.

Le FMI contre le néolibéralisme?


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Dans le plus récent Finance and Development, le magazine du Fonds Monétaire International (FMI), trois chercheurs du FMI signent un texte au titre étonnant: Neoliberalism : Oversold?. Les chercheurs qui, comme à l’IRIS, ont une posture critique face au néolibéralisme depuis un moment vivent toujours une satisfaction un peu malsaine à lire ce genre d’articles. L’envie de crier: «On vous l’avait bien dit!» aux deux lignes, par exemple. Cela dit, le FMI n’a pas, en lui-même, plus de crédibilité aujourd’hui quand il doute du néolibéralisme qu’hier quand il l’imposait dans certains pays de la planète. Il est néanmoins intéressant de voir quels chemins parcourent les chercheurs pour trouver aujourd’hui des défauts à cette doctrine qui hier séduisait tant leur organisation.

Le fardeau individuel : de l’endettement à la dépression


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Endettement et santé mentale. Faut-il établir un lien entre les deux? Chose certaine, force est de constater que le néolibéralisme a modifié notre rapport à l’un et à l’autre de ces deux thèmes. Dans chaque cas, il a rendu les individus plus isolés et plus vulnérables. La dépression et le burn-out sont plus durs à quantifier que l’endettement des ménages, notamment parce qu’ils restent encore aujourd’hui très tabous. On peut néanmoins les lier eux aussi aux aléas du durcissement socio-économique néolibéral.

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L’université globalisée : transformations institutionnelles et internationalisation de l’enseignement supérieur


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Le néolibéralisme ne se limite pas à transformer le rôle de l’État, il transforme aussi l’«ADN» interne de l’université pour répondre à des mutations induites par le capitalisme avancé et l ’économie du savoir. Cela amène une «révolution entrepreneuriale» de l’université dont les orientations sont notamment impulsées par la Banque mondiale et l’Organisation de coopération de développement économiques (OCDE). L’objectif est de réorienter l’université pour en faire non plus une institution indépendante au service du bien commun, mais une organisation modelée sur les autres organisations économiques (entreprises), et pilotée en fonction des mécanismes de régulation du nouveau «marché» mondial de l’enseignement supérieur globalisé.

Le néolibéralisme et l’éducation au Québec : Une société de savoirs peu éduquée


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Dans les deux billets de blogue précédents, nous avons vu en quoi le néolibéralisme affectait l’éducation au Québec par le désengagement de l’État et la reproduction des ségrégations sociales, favorisant la privatisation ainsi que les groupes déjà avantagés. Dans ce troisième billet de blogue, nous verrons une dernière conséquence néfaste du néolibéralisme en éducation, soit la promotion de l’économie du savoir.

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Le néolibéralisme et l’éducation au Québec : L’éducation n’est pas une marque de «frigidaire»


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Depuis quelque temps, nous entendons parler du néolibéralisme et des mesures d’austérité, maintenant bien en place dans notre société québécoise. Même si le néolibéralisme glorifie le retrait presque complet du pouvoir de l’État dans les domaines publics, il en a cependant besoin pour arriver à ses fins. C’est ainsi qu’il est possible, aussi paradoxalement que cela puisse paraître dans une société dite « démocratique », d’être dirigés par des néolibéraux qui appliquent des politiques nuisibles pour le bien commun. Cette série de 3 billets de blogue vise à expliquer brièvement 3 principales conséquences de la logique néolibérale dans notre système éducatif québécois, de l’école primaire et secondaire à l’université.

Bilan de 2013 et perspectives pour 2014 : le vent doit tourner, dit la CSN


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La dernière année se sera une fois de plus déroulée à l’enseigne du néolibéralisme avec ses politiques d’austérité et la recherche d’une plus grande flexibilité du marché du travail par le patronat, à l’encontre des intérêts des travailleuses, des travailleurs et des communautés. Dans son bilan de 2013, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) signale toutefois que la mobilisation était au rendez-vous pour parer aux attaques lancées et offrir des avenues différentes.

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