Alors que les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant des véhicules sur nos routes ont connu une hausse de plus de 33% depuis 1990, il est assez surprenant de constater l’inaction des différents paliers de gouvernement quand vient le temps de soutenir des solutions alternatives. En fait, même s’ils s’évertuent à nous dire qu’ils veulent régler le problème, ils sont souvent contre-productifs. Un exemple en provenance de la ville de Montréal. Alors qu’à bien des égards l’administration Coderre veut se donner une bonne image environnementale, ses politiques freinent le développement des véhicules en libre-service (VLS), un service qu’on nomme aussi l’autopartage. Ce service n’est pas une solution miracle en termes écologiques (le transport en commun demeure préférable), mais c’est un pas en avant qui permet à peu de frais de faciliter la vie des personnes qui l’utilisent. En ce sens, il est grand temps que les gouvernements cessent de bouder ce service ou de lui mettre des bâtons dans les roues.
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