Faut-il appuyer ou condamner les dénonciations sous le couvert de l’anonymat de présumés agresseurs sexuels sur la place publique et les réseaux sociaux? À l’Université du Québec à Montréal, où la question divise les cercles féministes, le débat fait rage, alors que des professeurs ont vu leur porte de bureau entièrement placardée d’autocollants dénonçant la culture du viol.
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Se faire justice sur Facebook.
L’UQAM réprouve les actes d’intimidation à l’endroit de membres du corps professoral.