Université d’Ottawa : une étudiante dénonce la culture du viol

Une étudiante de l’Université d’Ottawa qui a fait l’objet de propos sexuellement explicites sur les réseaux sociaux veut attirer l’attention sur ce qu’elle appelle une «culture du viol» sur les campus d’universités canadiennes. Anne-Marie Roy, qui préside la Fédération étudiante de l’Université d’Ottawa, a reçu une transcription anonyme d’une conversation privée sur Facebook, le mois dernier, et a décidé de la rendre publique, tenant surtout compte que les étudiants impliqués étaient en position de leadership. Ces échanges entre cinq étudiants masculins contenaient des remarques à caractère sexuel la concernant directement.

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Des membres du corps professoral de l’Université d’Ottawa lui ont exprimé leur appui et leur solidarité dans une lettre envoyé au Droit.

Troublés par de récents incidents à caractère sexuel, dont les allégations qui ont entraîné une enquête policière et la suspension du programme de hockey masculin de leur établissement, des professeurs et des étudiants de l’Université d’Ottawa lancent une vaste mobilisation pour contrer ce qu’ils appellent la «culture du viol» sur leur campus.

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