Les stratégies employées contre les cliniques d’avortement, maintenant appliquées aux syndicats en Alaska


Classé dans : Monde syndical | 0

Les répercussions du coup que la Cour suprême a porté aux syndicats continuent de se faire sentir. Janus c. AFSCME, décision du tribunal 2018 5-4, accordait aux employés du secteur public, dans chaque État, le droit de profiter des avantages de la représentation syndicale sans les payer. Les commanditaires du litige avaient pour objectif d’affaiblir le pouvoir de négociation des syndicats et de les conduire à la ruine financière. De nombreux travailleurs ont saisi cette opportunité : Après la décision, au moins 210 000 travailleurs, qui payaient auparavant des frais de participation équitables (également appelés frais d’agence) pour couvrir le coût de la négociation collective, ont cessé de verser un sous à leurs syndicats.

Ne pas se faire payer ou assister à un rally de Trump : un choix inacceptable pour des syndiqués de Shell en Pennsylvanie


Classé dans : Monde syndical | 0

La voix retentissante de Trump a envahi ce mardi-là le nouveau complexe pétrochimique Shell de Pennsylvanie, dans l’ouest de la Pennsylvanie, alors que la foule, composée en majorité de travailleurs de la construction portant des gilets de chantier orange et jaunes, écoutait attentivement.

Le discours de président du président, décrit par un haut responsable de l’administration comme « un événement non pas politique mais officiel », comprenait des critiques adressées à la sénatrice Elizabeth Warren et à l’ancien vice-président Joe Biden, appelant les dirigeants syndicaux à le soutenir en 2020, avertissant que les démocrates prendraient leurs emplois et s’attribuant le crédit du complexe, qui est toujours en construction et qui a été annoncé pour la première fois en 2012, alors que l’ancien président Barack Obama était toujours au pouvoir.

La grève des femmes de Suisse expliquée au reste du monde


Classé dans : Monde syndical | 0

Surprise: la Suisse, ce pays si prospère où règne la paix sociale et qui a adopté depuis longtemps le terme de «cheffe», va connaître une grève de ses femmes historique ce vendredi. Explications

La moitié du pays tremble d’excitation, l’autre la regarde parfois avec sympathie, plus souvent avec incompréhension, voire la condamne. Plusieurs collectifs, relayés par les faîtières syndicales – pardon, les «centrales» syndicales –, ont lancé des appels à cesser le travail et à défiler vendredi. Pourquoi? Le point.

Une si longue marche

La Suisse n’a jamais brillé en matière de droits des femmes. Les hommes ont dit oui au vote et à l’éligibilité des femmes en 1971 seulement (et encore, le non l’a emporté dans huit cantons).

Le nom, un facteur de discrimination à l’embauche


Classé dans : Monde syndical | 0

Un demandeur d’emploi a moitié moins de chance de décrocher une entrevue d’embauche à Québec s’il se nomme Abdellah Hafid plutôt que Marc-Olivier Tremblay, selon une étude. Cette discrimination — équivalente à ce qu’on a déjà mesuré à Montréal — est encore plus forte si le même dossier de candidature provient d’un Mamadou Traoré, mais presque nulle s’il est d’une Maria Martinez.

Le principe de l’expérience est désormais bien connu. Il s’agit d’envoyer des curriculum vitae fictifs dont seuls les noms changent en réponse à de véritables offres d’emplois pour voir si le fait que ces noms évoquent des origines ethniques particulières aura un impact sur la réception des employeurs.

Blâme sévère contre le MAPAQ


Classé dans : Monde syndical | 0

Le gouvernement Legault redonnera son poste au lanceur d’alerte Louis Robert, congédié en janvier, mais le ministre André Lamontagne n’a pas voulu lui présenter ses excuses jeudi après la publication d’un rapport accablant de la protectrice du citoyen.

Celle-ci conclut que le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) a commis une violation de confidentialité majeure en dévoilant à plusieurs reprises l’identité de l’agronome, allant même jusqu’à fournir le nom de M. Robert au ministère chargé d’enquêter sur une fuite dans les médias.

« Ce qu’on a constaté, c’est une série de manquements qui ont perdu de vue l’objectif ultime de la loi qui est la protection du lanceur d’alerte », a signalé Marie Rinfret en conférence de presse.

Le harcèlement sexuel au travail est inacceptable, confirme un jugement important du Tribunal des droits de la personne


Classé dans : Monde syndical | 0

Un propriétaire de restaurant a été condamné par le Tribunal des droits de la personne à verser 26 000 $ en dommages moraux et punitifs à une employée pour des gestes et des propos à caractère sexuel, une cause portée par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.

« Cette victoire extrêmement importante pour la Commission et plus généralement, pour la société, n’aurait pas été possible sans le courage de la plaignante, courage que nous tenons à saluer. Le jugement souligne clairement à quel point le harcèlement sexuel en milieu de travail est inacceptable en 2019.

Reprendre le travail après un burn-out, un long cheminement émotionnel


Classé dans : Monde syndical | 0

Le burn-out, en lien avec un stress chronique et parfois aigu, se traduit par une grande fatigue émotionnelle, un cynisme vis-à-vis de son activité et une dilution du sentiment d’accomplissement au travail. Le syndrome d’épuisement professionnel se manifeste en conséquence à la fois par une érosion de l’engagement (en réaction à l’épuisement), une érosion des sentiments (à mesure que le cynisme s’installe) et une érosion de l’adéquation entre le poste et le travailleur (vécu comme une crise personnelle).

Le burn-out est donc étroitement lié à un processus émotionnel, ce qui implique d’analyser le cheminement vers le retour à la vie professionnelle au prisme de ces émotions.

Une succursale de la SQDC obtient un mandat de grève


Classé dans : Monde syndical | 0

Les syndiqués de la Société québécoise du cannabis de la succursale de Rosemont-Petite-Patrie, à Montréal, viennent de se doter d’un mandat de grève – le premier qui touche la SQDC depuis qu’elle a été créée.

Ces 21 travailleurs sont membres du syndicat des Travailleurs unis de l’alimentation et du commerce (TUAC) qui est affilié à la FTQ. Et le mandat de grève générale et illimitée a été voté à l’unanimité.

Les salaires sont au coeur du litige. Le salaire d’embauche est de 14 $ l’heure à la SQDC.

Au cours d’une entrevue avec La Presse canadienne, mardi, le président du conseil provincial des TUAC-FTQ, Antonio Filato, a déploré le fait que les conditions de travail des employés de la SQDC soient comparées à celles qui prévalent dans le commerce de détail.

Lever les barrières pour les travailleurs en situation de handicap


Classé dans : Monde syndical | 0

Depuis plusieurs années, les employeurs de toutes les régions du Québec sont aux prises avec un enjeu important de rareté de main-d’oeuvre et cherchent des solutions. Une des façons de remédier à cette situation est d’avoir recours à des bassins de population pour qui l’accès à l’emploi peut être parsemé d’obstacles, mais qui représentent un potentiel extraordinaire.

Dans le cadre de la semaine québécoise des personnes handicapées (qui se tient du 1er au 7 juin), rappelons qu’il y a environ 287 000 personnes en situation de handicap et aptes au travail, vivant au Québec. Il s’agit de personnes possédant les compétences et les ambitions nécessaires afin d’intégrer le marché du travail, mais qui se heurtent souvent à des difficultés d’intégration.

Les travailleurs de Velan Montréal s’affichent publiquement pour dénoncer la délocalisation de 195 emplois vers l’Asie


Classé dans : Monde syndical | 0

Les travailleurs de l’usine montréalaise Velan, fleuron de l’économie québécoise et chef de file international en matière de robinetterie industrielle, ont tenu une action symbolique au cours de l’avant-midi du 5 juin 2019 pour dénoncer la délocalisation des opérations de l’entreprise vers l’Asie, qui entraînera l’abolition de 195 emplois d’ici 2021. Lors de cette activité, les employés ont tapissé la pelouse entourant les lieux de travail de pancartes intitulées « Le vrai visage de la délocalisation » illustrant une mosaïque des visages des quelque 200 employés qui perdront leur emploi d’ici 18 mois.

« Le geste symbolique que nous posons ce matin a pour objectif d’envoyer un message clair à notre employeur : le vrai visage de la délocalisation, c’est la mise à pied de 195 travailleurs, pères de famille pour plusieurs, cumulant en moyenne près de 15 ans d’ancienneté chez Velan.

Mais quelle sorte d’employeur est l’Université de Montréal ?


Classé dans : Monde syndical | 0

Après les briseurs de grève, les déclarations mensongères et les abolitions de postes, l’Université de Montréal a annoncé, lors de la dernière séance de négociation avec le Syndicat des techniciens en mécanique du bâtiment et des mécaniciens en machines fixes de l’Université de Montréal, que les travailleurs étaient désormais évincés du régime d’assurances collectives, refusant même que le Syndicat en assume les frais.

Cette mise en péril de la santé de ces syndiqué-e-s et de celle de leur famille est totalement inacceptable.

Les 17 membres de ce Syndicat sont en grève depuis le 14 mars dernier. Le principal point de désaccord de cette série de négociations est l’acharnement des représentants de l’université à vouloir recourir à des sous-traitants du secteur privé pour assurer le bon fonctionnement de la machinerie, notamment pour le nouveau campus MIL à Outremont.

Conflit à l’aluminerie de Bécancour : Une offre inacceptable


Classé dans : Monde syndical | 0

La tentative de relancer les négociations à l ‘Aluminerie de Bécancour n’a pas fait long feu: la compagnie a rejeté sans plus de discussion la contre-proposition syndicale.

L’employeur a de plus menacé de cesser la production encore assurée sur la dernière série de cuves par le personnel-cadre.

Mercredi, les deux camps se sont retrouvés à la table de négociations en compagnie d’un médiateur pour tenter de régler le conflit de travail qui perdure depuis janvier 2018.

« ABI n’a pas daigné répondre à la contre-proposition syndicale qui comportait plusieurs compromis et a refusé une reprise des négociations en bonne et due forme », a affirmé le président de la section locale des Métallos, Clément Masse, dans un communiqué.

Taxi : des chauffeurs qui « n’ont plus rien à perdre » s’en vont à Montréal


Classé dans : Monde syndical | 0

Une cinquantaine de chauffeurs de taxi de Québec prévoient converger vers Montréal tôt vendredi matin en vue du grand rassemblement contre le projet de loi du gouvernement Legault qui vise à déréglementer leur industrie.

Les chauffeurs de taxi maintiennent « qu’ils n’ont plus rien à perdre » et que tous les moyens sont bons pour se faire entendre.

« Tous les moyens sont là maintenant : perturber la circulation, bloquer les ponts. Tous les moyens sont bons, car on a tout perdu. On n’a plus rien à perdre », souligne Omar Berri, propriétaire et représentant de la compagnie Hypra Taxi.

Le ministre Bonnardel rappelle pour sa part que les chauffeurs de taxi ont le droit de s’exprimer, mais que ce sont les travailleurs qu’ils vont pénaliser s’il y a des débordements.

350 universitaires se déclarent « complices » des « gilets jaunes »


Classé dans : Monde syndical | 0

Alors que les « gilets jaunes » manifestent une 19e fois dans les rues de plusieurs villes de France, 350 universitaires signent sur « Lundimatin », revue de la gauche radicale, un appel à « ne pas céder un pouce de terrain face à la répression ».

Se présentant comme des « universitaires pour beaucoup spécialistes des questions de mouvements sociaux, de maintien de l’ordre et de violence politique », ils et elles se déclarent, dans ce texte publié le 22 mars, « complices » des « gilets jaunes » – une référence à Emmanuel Macron, qui avait déclaré, devant des élus du Grand Est le 26 février, que les personnes se rendant dans « des manifestations violentes » étaient « complices du pire ».

INVITATION : École de la relève syndicale 2019


Classé dans : Monde syndical | 0

Depuis plus de quinze ans, le comité national des jeunes de la CSN organise une formation estivale d’initiation au syndicalisme à l’intention des jeunes syndiqué-es.

L’École de la relève syndicale est d’abord et avant tout destinée aux membres ayant peu ou pas d’expérience syndicale. Elle est donc ouverte à toutes celles et à tous ceux qui n’assument pas encore de fonctions au sein de leur syndicat.

Vous trouverez toute l’information sur cette activité à la fois formatrice et ludique ici : https://www.csn.qc.ca/ecole/

Conditions d’admission

Pour participer à la formation, il faut être âgé de 35 ans et moins.

Le nombre de places disponibles est limité à 25 personnes par session.

Les meilleurs pays où travailler quand on est une femme


Classé dans : Monde syndical | 0

L’inégalité entre les sexes persiste dans le monde du travail et cette situation est plus ou moins déséquilibrée selon les pays. Où fait-il bon être une femme au travail dans les pays de l’OCDE ? Voici la question que tente de répondre l’étude Women in Work 2019 du cabinet PwC.

Pour son analyse, PwC a passé au crible plusieurs facteurs tels que l’écart moyen entre les rémunérations des femmes et des hommes, l’accès et la sécurité de l’emploi. Sans surprise, les pays nordiques sont fortement représentés dans le Top 10, avec l’Islande et la Suède en tête. L’Hexagone pointe au 22ème rang avec un score de 61,4, affichant un écart salarial de 14,8 %.

La CSN accueille le Musée de la Gaspésie


Classé dans : Monde syndical | 0

Le Conseil central de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine (CCGIM) est fier d’annoncer la syndicalisation des employé-es du Musée de la Gaspésie. Le nouveau syndicat sera affilié à la Fédération nationale des communications. Depuis plusieurs semaines, la CSN travaille avec les salarié-es du Musée pour obtenir leur accréditation. De nombreux enjeux de relations de travail ont stimulé leur désir de syndicalisation.

Pour lire le reste de l’article sur le site de la CSN, cliquez ici.

Donalda Charron, un modèle pour l’UQO


Classé dans : Monde syndical | 0

Donalda Charron qui travaillait comme contremaitresse à la compagnie E. B. Eddy spécialisée dans la fabrication des allumettes a été la première présidente de syndicat au Québec. Même si le site Web Réseau du patrimoine de Gatineau et de l’Outaouais* indique que « Le nom de Donalda Charron figure sur la liste de noms disponibles pour de futures désignations toponymiques municipales », depuis plusieurs années, il n’y a toujours rien à son nom à Gatineau. Cette femme a soutenu deux grèves et après la deuxième, monsieur Eddy qui l’avait congédiée a refusé de la rembaucher.

Pourtant, cet homme, un des pires employeurs qui verrouillaient les portes avec les employés et employées à l’intérieur de l’édifice quand un feu se déclarait, a une rue à son nom à Gatineau.

Pétition en appui au lanceur d’alerte Louis Robert


Classé dans : Monde syndical | 0

Louis Robert, agronome au bureau de Saint-Hyacinthe du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), a été congédié après 32 ans de service, car il a dénoncé ce qu’il considère comme de l’ingérence des puissantes compagnies du secteur privé dans la recherche publique du CÉROM sur l’utilisation des pesticides car ces faits étaient connus au MAPAQ depuis plusieurs années et rien ne semblait avoir été fait de concret pour corriger la situation.

Robert a agi comme lanceur d’alerte en portant à la connaissance du public des informations importantes pour la santé et la sécurité alimentaire des Québécoises et des Québécois.

Il y a 10 ans… lockout au Journal de Montréal


Classé dans : Monde syndical | 0

Il y a dix ans, les 253 syndiqué-e-s du Journal de Montréal tombaient en lockout pour un interminable 764 jours.

Alors que le quotidien continuait à paraître avec l’aide de cadres, de pigistes et de l’agence interne QMI, et était encore acheté par le public, les employé-e-s lançaient leur propre média électronique : Rue Frontenac.

Pour lire l’article de Le Devoir retraçant les faits marquants de ce conflit, cliquez ici.

APPEL À LA SOLIDARITÉ : Profilage des membres de l’ACT et menaces de mort


Classé dans : Monde syndical | 0

L’Internationale de l’Education (IE) encourage la communauté mondiale des enseignant-e-s à exprimer son indignation face aux menaces de mort reçues par le Secrétaire général de l’Alliance of Concerned Teachers (ACT) aux Philippines, Raymond Basilio, et au profilage illégal des membres de l’ACT par les autorités.

Raymond Basilio a reçu des menaces de mort sur son téléphone portable personnel. Il a reçu cet appel le 11 janvier 2019 lors d’une conférence de presse organisée par l’ACT pour dénoncer le harcèlement et les menaces répétées auxquels ses membres et dirigeants sont confrontés. L’interlocuteur de Raymond Basilio, qui semblait détenir de nombreuses informations personnelles sur lui et sa famille, a affirmé qu’un ordre avait été donné pour assassiner Raymond s’il n’acceptait pas de se plier à certaines exigences.

RAPPEL D’INVITATION : Camp de formation syndicale et militante de Lutte commune


Classé dans : Monde syndical | 0

L’inscription pour le camp de formation de Lutte commune est commencée!

Celui-ci aura lieu les 15, 16 et 17 février 2019 à l’UQAM. 

Les locaux seront confirmés sous peu aux personnes inscrites.

L’horaire complet sera divulgué au courant des prochaines semaines, en voici les grandes lignes : – Réinventer la grève : qu’en est-il du droit de négocier? (Conférence d’ouverture) – Négociations du secteur public – Monter une campagne de mobilisation – Laïcité caquiste : enseignantes et éducatrices – Syndicats et partis politiques – Réseautage et organisation …et bien plus! Des espaces de réseautage pour les travailleuses et les travailleurs des secteurs public (pour préparer les négociations de 2020, entre autres), parapublic et privé seront aussi organisés.

RAPPEL : Pour comprendre les gilets jaunes


Classé dans : Monde syndical | 0

Un nouvel acteur, « sorti de nulle part », est apparu sur la scène politique et sociale: les Gilets jaunes. Dans une société française assommée par des décennies d’austérité, désespérée par les défaites et les reculs sociaux, le mouvement des Gilets jaunes a sonné l’alarme sociale et donné le premier coup d’arrêt à la politique d’appauvrissement et de dislocation sociale menée par les pouvoirs successifs.

Pour vous aider à comprendre la situation ayant cours en France en ce moment, vous pouvez consulter le dossier « Gilets jaunes – Des clés pour comprendre » publié par les Éditions Syllepse en cliquant ici.

Communiqué du Collectif de l’ÉGES sur la dérèglementation des droits de scolarité


Classé dans : Monde syndical | 0

Le Collectif des États généraux de l’enseignement supérieur (ÉGES) tient à rappeler au gouvernement qu’il n’est pas trop tard pour stopper la dérèglementation des droits de scolarité des étudiantes et des étudiants internationaux. La mesure initiée sous le précédent mandat libéral et qui doit entrer en vigueur d’ici la rentrée 2019 engendrera des conséquences néfastes pour le réseau universitaire québécois.

Un communiqué que vous pouvez lire en cliquant ici.