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Statut pour les parents et proches aidant.es : Entre la garderie et les bancs d’école


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« J’ai vécu des moments où je pensais que c’était mieux pour moi d’abandonner mes études et d’aller juste travailler, parce que je trouvais que c’était demandant », raconte Rose Angèle, étudiante à l’UQAM et mère de deux enfants. Depuis le 1ᵉʳ septembre 2024, les étudiant(e)s proches aidant(e)s ou parents comme elle ont accès à la politique 12 pour faciliter leur accès aux études à l’UQAM et leur réussite scolaire, rapporte le Montréal Campus. La politique a créé un statut de parent étudiant(e) et de proche aidant(e). « Avoir le statut [de parent étudiant ou de proche aidant] fait en sorte que nous ne sommes plus obligés de mentionner énormément de détails intimes sur notre situation familiale [à nos professeurs] », explique Donia Mansour, membre du conseil d’administration du Comité de soutien aux parents étudiants (CSPE) et elle-même mère aux études.

Nouveau poste électrique : Hydro-Québec choisit le site à côté de la Grande Bibliothèque


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Malgré la forte opposition, Hydro-Québec retient le site adjacent à la Grande Bibliothèque pour construire un nouveau poste électrique au centre-ville de Montréal, rapporte La Presse. La société d’État dit avoir étudié plusieurs scénarios de rechange, qui n’ont pas été retenus par ses experts. Hydro-Québec a annoncé son choix final la semaine dernière. Sans grande surprise, la société d’État a retenu le site adjacent à la Grande Bibliothèque, dans le Quartier latin, où l’on trouve actuellement le jardin d’art de l’institution culturelle ainsi qu’un espace vert. « On a la volonté de trouver le meilleur projet qui s’intègre de la façon la plus harmonieuse dans son milieu d’accueil », a indiqué Claudine Bouchard, vice-présidente exécutive et cheffe de l’exploitation et des infrastructures chez Hydro-Québec.

Qui protège les enfants des violences sexuelles dans les écoles au Québec?


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À l’occasion de cette Semaine de persévérance scolaire, il est important de rappeler que l’inaction du gouvernement à l’égard des jeunes victimes de violences sexuelles au sein des écoles engendre de lourdes conséquences sur ces derniers, mais également sur la société en général, rappelle les auteurs d’un texte d’opinion publié par Le Devoir. Depuis plus de sept ans, la loi P-22.1 protège les victimes de violences sexuelles dans les établissements d’enseignement supérieur, en obligeant les institutions à adopter une politique de gestion des plaintes et des mesures d’accompagnement et de prévention. Une avancée certes, mais restreinte aux cégeps et universités.

Sur l’état de la démocratie scolaire, cinq ans après l’adoption de la loi 40


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Voilà maintenant cinq ans, le gouvernement centralisateur de la Coalition avenir Québec, allergique aux contre-pouvoirs, a décidé de retirer de son soulier un caillou contraire à sa culture du contrôle. Par le bâillon de la loi 40, il a sonné le glas des élus scolaires et mis en place des centres de services scolaires en lieu et place des commissions scolaires. Une loi d’une telle envergure devrait invariablement faire l’objet d’une évaluation rigoureuse après avoir disposé d’un temps suffisamment long pour s’articuler concrètement dans la pratique. Or, quels ont été les effets de la loi 40 sur le réseau québécois d’éducation publique, si ce n’est une marge d’autonomie grandement diminuée et un pouvoir accru du ministre s’adonnant à plus de microgestion ?

Payer pour se débarrasser de la congestion


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La tarification de la congestion automobile à New York depuis le début de janvier – une première aux États-Unis – a amélioré la circulation sur les autoroutes et les artères principales de Manhattan. Dans le Grand Montréal, la congestion automobile coûte désormais 6 milliards par année à la société. La déteste-t-on assez pour la tarifer ? Un dossier de Nicolas Bérubé dans La Presse. Jean-Philippe Meloche, professeur à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal, note qu’il a périodiquement été question à Montréal d’imposer une taxe de congestion sur les ponts. Mais le problème avec cette approche, dit-il, c’est que 50 % des véhicules qui génèrent de la congestion viennent de l’île de Montréal.

Écoles publiques : Trop intense, l’anglais intensif ?


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Des élèves de cinquième et sixième année sont obligés de faire la moitié de leur année scolaire en anglais intensif dans des écoles publiques du Québec, rapporte La Presse. Ce parcours devrait être un choix et non une obligation, plaident des parents. L’anglais intensif a été implanté dans certaines écoles en 2011 par le gouvernement libéral de Jean Charest, qui souhaitait qu’à terme, tous les élèves de sixième année soient dans ce programme. L’idée a finalement été abandonnée, et il revient maintenant à chaque école de déterminer si elle propose ce parcours à ses élèves. Selon les plus récentes données du ministère de l’Éducation, 17 331 élèves du primaire suivaient un tel parcours en 2023-2024.

Étudiants et partis d’opposition dénoncent la fin hâtive des bourses Perspective


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Des partis d’opposition, des associations étudiantes et plusieurs organisations dénoncent la fin devancée du programme des bourses Perspective Québec, rapporte Le Devoir. Cette décision risque de précariser la situation financière de milliers de personnes qui aspirent à occuper des postes en forte demande dans la province, notamment dans les secteurs de la santé et de l’éducation, préviennent-ils. Ce programme permet depuis l’automne 2022 aux étudiants qui en bénéficient de recevoir, pour chaque session à temps plein terminée avec succès, une bourse de 1500 $ (au cégep) ou de 2500 $ (à l’université). Les nouvelles inscriptions devaient cesser d’être prises à partir de l’automne prochain, mais Québec a décidé de devancer cette date butoir à la session d’hiver en cours, afin d’économiser plus de 100 millions de dollars sur cinq ans, révélait Le Devoir jeudi.

Québec rabaissera ses cibles de remise en état des cégeps


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Québec révisera à la baisse sa cible de doubler d’ici l’an prochain la part des infrastructures collégiales en bon état dans la province, a appris Le Devoir. Plusieurs actions se mettent d’ailleurs en branle pour limiter les dépassements de coûts liés aux projets d’entretien et d’agrandissement des cégeps. En 2021, le gouvernement s’est donné comme cible d’atteindre une part de 70 % des infrastructures collégiales considérées comme étant dans un état satisfaisant d’ici le 31 mars 2026. Or, cette proportion a plutôt diminué depuis, passant de 49 % en 2022 à 35 % l’an dernier, laissant 65 % des bâtiments du réseau en mauvais état.

Dénombrement de l’itinérance : « On sait que ça va augmenter »


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Un nouveau dénombrement des personnes en situation d’itinérance aura lieu au printemps. Si le dernier exercice mené en 2022 avait démontré une forte hausse du phénomène, cette mise à jour risque d’être encore plus sombre, s’inquiète le milieu communautaire, peut-on lire sur La Presse. « On n’a encore rien vu », prévient-on. « Tout ce à quoi on peut s’attendre, c’est une détérioration de la situation, indique la directrice du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), Annie Savage. Si on trouve que la situation est sans précédent et qu’il y a urgence d’agir, on n’a encore rien vu de ce qui s’en vient dans cinq ou dix ans.

L’Université McGill annonce des coupes en réponse aux nouvelles politiques du Québec


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L’Université McGill prévoit des réductions de coûts et des licenciements pour faire face à un déficit prévu de 45 millions de dollars pour le prochain exercice financier, qu’elle impute en partie aux nouvelles politiques du gouvernement du Québec, rapporte La Presse canadienne. Les administrateurs de l’université montréalaise affirment que McGill fait face à bon nombre des mêmes défis que d’autres établissements postsecondaires canadiens, notamment la réduction des inscriptions d’étudiants internationaux. Ils affirment cependant que McGill a également été durement touchée par la décision du gouvernement du Québec d’augmenter les droits de scolarité des étudiants de l’extérieur de la province et de récupérer des revenus d’inscription.

Après le déni, le « retardisme » climatique


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Les trois quarts des Canadiens croient que les changements climatiques sont réels, mais moins de la moitié se sentent touchés, suggère une enquête du Centre pour les médias, la technologie et la démocratie de l’Université McGill, rapporte La Presse. Les discours visant à retarder l’action climatique font recette en ligne, s’inquiètent les chercheurs. Sur plus de 2100 Canadiens interrogés, 74 % ont dit croire que les changements climatiques sont réels, mais seulement 48 % estiment avoir été personnellement affectés, montre le sondage Abacus commandé par le Centre. « J’ai été très surprise par ce fossé. Au Canada, nous avons eu plusieurs évènements climatiques dévastateurs dans les dernières années, dont des incendies de forêt.

L’IA, un nouveau front pour la désinformation


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Des deepfakes visant à influencer des élections aux agents conversationnels relayant des fausses nouvelles, la pollution du monde de l’information apparaît comme l’un des grands dangers du recours croissant à l’intelligence artificielle (IA), rapporte l’Agence France-Presse. Le déploiement rapide de cette technologie, au cœur d’un sommet mondial en cours à Paris, a déjà nourri ces dernières années l’essor de la désinformation, en lui offrant de nouveaux outils redoutables. En Slovaquie, en 2023, un enregistrement avait fait grand bruit : on y entendait le chef d’un parti pro-européen y admettre que les élections législatives allaient être manipulées. Il s’agissait d’un hypertrucage (deepfake), un contenu truqué grâce à l’IA, qui a pu influencer des électeurs.

Revenu viable à la Baie-James


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Le revenu viable correspond au seuil nécessaire pour atteindre un niveau de vie qui permet de réellement sortir de la pauvreté, au-delà de la seule couverture des besoins de base. En calculant le revenu viable pour cinq municipalités de la Baie-James, on constate que celui-ci est plus élevé que dans les grands centres urbains dans presque tous les scénarios étudiés. Cet écart est principalement attribuable aux coûts du transport. La publication de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) met aussi en évidence la difficulté d’atteindre le revenu viable pour les femmes et pour les personnes seules. Pour une personne seule, le revenu viable varie de 43 735 $ (Chibougamau) à 56 348 $ (Radisson).

Crise de l’itinérance : Stations-refuges


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Stations de métro squattées par des sans-abri, multiplication des campements, urgences des hôpitaux qui servent de refuges, haltes-chaleur qui débordent… L’explosion de l’itinérance cause des problèmes partout à Montréal, mais le gouvernement du Québec n’a pas prévu de financement d’urgence d’ici la fin de l’hiver. Un dossier d’Isabelle Ducas dans La Presse. Après l’entente sur la lutte contre l’itinérance conclue entre Québec et Ottawa en décembre, les organismes communautaires montréalais plongés dans la crise se sont rués sur les fonds et ont fait des demandes pour 126 projets d’une valeur totale de 92 millions. Or, le financement disponible pour Montréal n’est que 24 millions sur deux ans.

Une bibliothèque passive, ça chauffe quoi en hiver?


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Avis aux architectes : la future bibliothèque de Villeray devra se conformer à la certification PassivHaus, qui repose sur le chauffage solaire. Cela en fera normalement le premier édifice de la Ville de Montréal à atteindre ce graal de l’efficacité énergétique. Selon les experts consultés par Le Devoir, cette exigence ne gonfle en rien la facture (déjà salée) du projet. Au contraire, elle participe peut-être à la réduire. Plus tôt ce mois-ci, la Ville de Montréal lançait un concours d’architecture pour une nouvelle bibliothèque remplaçant celle située dans le Patro Villeray, un centre communautaire de l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension.

Suicides : Les fillettes et adolescentes affichent des données en hausse qui inquiètent


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Pour la première fois depuis la publication de telles statistiques, les jeunes filles de 10 à 14 ans enregistrent la proportion la plus élevée de suicides parmi toutes les causes de décès à cet âge, soit 25,8 %, une statistique inquiétante qui « pourrait s’agir davantage d’une variation ponctuelle plutôt que d’une tendance établie », écrit l’Institut national de santé publique du Québec. En 2022, 1142 suicides ont été recensés, tandis que les données préliminaires de 2023 indiquent jusqu’ici que 1005 décès sont attribuables à un suicide. C’est donc globalement un portrait de chiffres en baisse qui est brossé, ce qui semble encourageant.

48 écoles torontoises de plus pourront offrir des repas gratuits


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La Ville prévoit de dépenser 6 millions de dollars de plus dans son prochain budget pour étendre le programme de déjeuner gratuit dans les écoles. Cette annonce s’inscrit dans la foulée de la déclaration de l’état d’urgence alimentaire, une résolution adoptée en décembre par le conseil municipal. Ce financement va permettre d’offrir de la nourriture gratuite à 21 500 élèves de plus dans 48 écoles, a annoncé la mairesse Olivia Chow lors d’une visite la semaine dernière à Islington Middle School, qui a un tel programme, rapporte Radio-Canada. « Nous n’abandonnerons pas tant que chaque enfant, dans chaque école, n’aura pas accès à un repas en avant-midi d’ici 2026 », a affirmé Mme Chow, qui presse Ottawa et la province d’accroître leur contribution pour que le programme soit offert partout. 

L’UQAR, première université québécoise à quitter X


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L’Université du Québec à Rimouski (UQAR) devient la première université québécoise à quitter le réseau social X, anciennement Twitter, propriété d’Elon Musk, conseiller du président américain Donald Trump. Dans un message envoyé à ses étudiants vendredi, la direction de l’UQAR mentionne que les nouvelles règles concernant la modération sur le réseau social ne lui convenaient pas. Son compte a été supprimé définitivement. Déjà, depuis l’automne, les services des communications de l’UQAR ne publiaient plus de messages sur X. Pour l’instant, l’Université rimouskoise fait cavalier seul. Tous les autres établissements universitaires du Québec ont conservé leur compte X, y compris le réseau des Universités du Québec, selon les vérifications effectuées par Radio-Canada lundi.

Mois de l’histoire des Noirs : ressources à partager


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 À la veille du Mois de l’Histoire des Noirs, qui se déroule chaque année en février, voici quelques suggestions de ressources à partager : 1. Programmation des activités au Québec  : Ateliers, concerts, conférences, contes, danse, expositions, films, gastronomie, humour, littérature, mode, musique, théâtre, spectacles, sport, webinaires, etc. 2. Outils d’apprentissage et d’information  : Trousse sur l’histoire des Noirs au Québec, de la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ). L’observatoire des communautés noires du Québec a recensé un bon nombre d’articles et d’études et a produit divers travaux et outils dont celui-ci : Tableau de bord sur les Noirs dans les organismes publics du Québec.3.

La Presse en Espagne | Un monde de solutions : Pour une révolution verte… et juste


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Prendre le virage d’une économie verte entraîne des bouleversements — parlez-en aux travailleurs forestiers québécois menacés par la protection du caribou forestier. En Espagne, l’État dépense des centaines de millions d’euros pour soutenir les communautés touchées par l’abandon du charbon. Philippe Mercure s’est rendu pour La Presse dans la région des Asturies, gigantesque laboratoire environnemental, économique et social de la « transition juste ». Y a-t-il là des leçons pour le Québec ?

Certains ont perdu leur emploi, d’autres surfent plutôt sur les possibilités apportées par la transition juste. Les femmes, pendant ce temps, espèrent s’insérer dans l’économie espagnole post-charbon. Portraits.

Autres textes liés à l’environnement :Le président de la COP30 appelle à des objectifs « les plus ambitieux possibles ».•

Violence conjugale : Québec veut un dispositif « grave danger » comme en France


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Québec s’inspire de l’exemple français et souhaite offrir aux victimes de violence conjugale un nouvel outil : un téléphone disposant d’une touche spéciale permettant de joindre en tout temps un service d’urgence, rapporte La Presse. Pour l’implantation de ce dispositif « grave danger », le gouvernement Legault a annoncé vendredi un appel d’intérêt afin de trouver un fournisseur. « Le dispositif grave danger a fait ses preuves en France, a déclaré par communiqué Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice et procureur général du Québec. Il faut voir maintenant comment et s’il peut être adapté et implanté ici, au Québec. » Le Québec a notamment déployé depuis mai 2022 des bracelets antirapprochements, des dispositifs imposés à des contrevenants sur ordonnance judiciaire prévenant la victime de la proximité de son agresseur potentiel.

Prendre au sérieux les risques de l’IA


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Au moment où entre en vigueur en Europe une loi prohibant certaines utilisations de l’intelligence artificielle (IA) jugées inacceptables, le décret pour « éliminer les barrières au leadership américain en IA » du président américain Trump ordonne de passer à la déchiqueteuse les mesures mises en place sous Joe Biden en 2023 pour réguler l’intelligence artificielle. Pour Donald Trump, de telles mesures ne seraient que des « entraves au nom de biais idéologiques ou de programmes sociaux artificiels ». Pourtant, la plupart des experts préviennent que l’IA mal encadrée met les populations à risque. Cette semaine, le Sommet pour l’action sur l’IA réunira à Paris des scientifiques et des décideurs du monde entier.

L’école à la maison demeure populaire, au-delà de la pandémie


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Le nombre d’enfants québécois qui sont scolarisés à la maison a augmenté à un rythme beaucoup plus rapide que celui de la population étudiante en général au cours des dernières années. Les doléances de parents qui enseignent à leurs enfants à domicile sont aussi nombreuses à l’endroit du réseau scolaire, qui peine à répondre à leurs demandes en contexte de pénurie de main-d’œuvre. État des lieux. Après avoir atteint un sommet en 2020-2021, pendant la pandémie, le nombre d’élèves suivis en enseignement à la maison est en diminution depuis. Il s’établissait à 8104 en date du 27 décembre dernier, selon des données fournies par le ministère de l’Éducation à la suite d’une demande d’accès à l’information faite par Le Devoir.

Si nous rêvions de la formation professionnelle?


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Après plus de 45 ans à travailler en formation professionnelle, j’ai décidé de rêver la formation professionnelle plutôt que de me concentrer sur ce qui ne fonctionne pas, explique Henri Boudreault dans un texte publié par Le Devoir. Je veux laisser aller mon imagination pour penser à un avenir prometteur qui découlerait d’un présent visionnaire. La formation professionnelle est souvent victime d’une fâcheuse tendance à séparer les capacités d’un élève à apprendre avec sa tête ou avec ses mains. Lorsqu’un élève éprouve des difficultés à l’école, il est couramment orienté vers un métier de la formation professionnelle, en fonction des préalables exigés.

Urgences au Québec : Le pire taux d’occupation des civières en cinq ans


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Les urgences restent sous haute pression dans la province, avec un taux d’occupation sur civière à son plus haut niveau en cinq ans pour cette période de l’année, a annoncé vendredi Santé Québec. Montréal demeure la région la plus achalandée, rapporte La Presse. « Le nombre de visites explique en grande partie la congestion aux urgences que nous connaissons actuellement principalement à Montréal », a déclaré la directrice générale adjointe de la coordination réseau et soutien aux opérations, Véronique Wilson, lors d’une conférence de presse vendredi matin. Les urgences de la province ont accueilli en moyenne 9580 patients par jour, entre le 14 et le 27 janvier, soit environ 400 de plus quotidiennement que l’an dernier.