Sandrine Ricci
« Nous ne voulons pas d’excuses au rabais », affirmait notre collègue Sandrine Ricci lors d’une récente conférence de presse à titre représentante de l’une des 16 actions collectives qui a eu gain de cause face à la Ville de Montréal par une entente à l’amiable, le 22 février dernier. Madame Ricci, chargée de cours et chercheuse au Département de sociologie de l’UQAM, qui a été arrêtée illégalement le 15 mars 2013, ajoute que « c’est complètement inconcevable qu’une mairesse qui se dit progressiste ne reconnaisse pas publiquement les torts qui ont été causés. » On peut lire deux articles récents à ce sujet, le premier, paru dans La Presse, le 14 mars, et rédigé par la journaliste Lila Dussault : et le deuxième, de Noovo-Info, signé Alexandre Soro, également publié le 14 mars.