Tout se passe comme si les universitaires ne se sentaient plus interpellés par le statut du français dans leur institution. Une telle désaffection a de quoi inquiéter. Depuis quelques années, des signes préoccupants se multiplient selon lesquels l’anglais est de plus en plus employé dans les universités francophones du Québec. Deux linguistes de l’Université Laval se sont penchés sur la question.
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