Les référendums à Montréal et à Québec sont là pour de bon


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En dépit de la parole donnée aux maires Denis Coderre et Régis Labeaume, le ministre des Affaires municipales Martin Coiteux va reculer sur son intention d’interdire les référendums lancés par les citoyens. Selon les informations obtenues par La Presse, le changement fera partie d’une série d’amendements que déposera le ministre Coiteux – son projet de loi 122 est toujours à l’étude à l’Assemblée nationale, mais son adoption ne surviendra pas avant mai. Actuellement, un groupe de citoyens opposés à un projet peut forcer la tenue d’un référendum en obtenant suffisamment de signataires au registre de la Ville. S’ils sont assez nombreux, les modifications proposées aux règlements d’urbanisme sont soumises à un référendum.

Une première dans le financement des organismes communautaires à Québec


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La Ville de Québec accorde désormais un financement sur trois ans à quatre organismes communautaires phares afin que leurs efforts soient concentrés sur la clientèle plutôt que sur la recherche d’argent. C’est la première fois que l’administration municipale opte pour la conclusion d’ententes triennales de financement. La Maison de Lauberivière (75 000$ par année), P.E.C.H. (202 500$), le SQUAT Basse-Ville (20 000$) et le Projet L.U.N.E. (15 000$) vont en bénéficier pour les années 2017, 2018 et 2019. «Non seulement ils vont être capables de planifier plus facilement, mais ils vont pouvoir aller voir les autres ordres de gouvernement en disant que la Ville a signé des ententes de trois ans et qu’ils leur demandent la même chose», s’est réjoui le maire Régis Labeaume, conscient que beaucoup d’énergie est déployée à chercher du financement dans le milieu communautaire.

Grève dans la construction : Hamad rassure Labeaume


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Le maire Régis Labeaume peut dormir tranquille. Le ministre responsable de la Capitale nationale, Sam Hamad, promet de « prendre les moyens nécessaires » pour empêcher une grève dans l’industrie de la construction cet été, ce qui risquerait de nuire à l’amphithéâtre. Conscient de l’impact négatif d’une grève ou d’un lock-out sur l’économie québécoise, le ministre du Travail estime qu’une entente négociée entre les syndicats et les entrepreneurs est néanmoins toujours possible et souhaitable. Mais le temps presse. Les conditions de travail imposées par loi spéciale l’an dernier arrivent à échéance à la fin du mois.

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