L’intelligence artificielle québécoise aura pignon sur rue à Montréal


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Le secteur de l’intelligence artificielle québécois disposera d’un «centre d’excellence mondial» à Montréal où se concentreront ses forces vives tant en recherche fondamentale qu’en expérimentation technologique et commerciale, et en financement et en développement d’entreprises. «Nous sommes actuellement dans le peloton de tête dans le monde en intelligence artificielle, mais pour rester dans la course, il va falloir faire des choses différemment parce qu’on n’aura jamais les capitaux des Chinois ni des Américains», a déclaré lundi le coprésident du comité d’orientation pour la création de la grappe québécoise en intelligence artificielle, Pierre Boivin. La solution qui a été trouvée est de lui donner pignon sur rue dans «un centre d’excellence mondial nouveau modèle» disposant de plus «d’un demi-million de pieds carrés» en ville où se retrouveront 160 chercheurs de l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal (MILA) de l’Université de Montréal, ainsi que leurs collègues de l’Université McGill.

Intelligence artificielle : Boivin et Breton à la tête du comité


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Québec met sur pied le comité qui va guider la création d’une grappe québécoise en intelligence artificielle, composée d’universitaires et de gens d’affaires. Le gouvernement avait déjà annoncé une somme de 100M$ sur cinq ans pour son développement. Le comité, qui sera composé de 12 personnes issues des domaines universitaire et d’affaires, sera coprésidé par Pierre Boivin, président et chef de la direction de Claridge, et de Guy Breton, le recteur de l’Université de Montréal. La grappe vise la recherche et l’innovation en intelligence artificielle ainsi que la création d’entreprises.

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