Le BEI manque de transparence, selon plusieurs organismes


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Un an après son entrée en service, le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) n’apporte pas la transparence voulue, selon un collectif d’organismes qui a effectué une sortie publique mardi. Le BEI a pourtant été créé pour rassurer la population dans le cas où un policier blesserait ou tuerait un citoyen dans le cadre d’une opération policière. Avant, ce type d’enquête était toujours confié à un autre corps policier ce qui laissait planer des soupçons de manque d’indépendance. La coalition, composée de la Ligue des droits et libertés, Montréal Républik, de la Coalition contre la répression des abus policiers et du Conseil central du Montréal métropolitain (CSN), demande au ministère de la Sécurité publique de revoir la loi et la réglementation pour permettre d’avoir accès aux documents d’enquête lorsqu’un dossier ne mène pas à des accusations de la part du Directeur des poursuites criminelles et pénales comme ça a été le cas récemment.

Val-d’Or : aucune accusation contre six policiers suspendus


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Aucune accusation ne sera portée contre les six patrouilleurs de la Sûreté du Québec suspendus à la suite du reportage de l’émission Enquête de Radio-Canada dénonçant de présumées violences et agressions sexuelles commises contre des femmes autochtones. Le Journal de Montréal a rapporté la nouvelle ce matin, qui a également été confirmée par des sources à La Presse. À la suite du reportage d’Enquête intitulé Abus de la SQ: les femmes brisent le silence et diffusé en octobre 2015, le ministère de la Sécurité publique a, à la demande de la SQ, donné le mandat à la police de Montréal d’enquêter sur toutes les allégations de crimes physiques ou sexuels à l’égard des autochtones, présumément commis par la Sûreté du Québec et par tout autre corps de police.

Fermeture de la Maison Tanguay : un choix incompréhensible dans un contexte de surpopulation


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C’est avec étonnement que le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec a appris la décision du Ministère de la Sécurité publique de fermer l’établissement de détention Maison Tanguay (EDMT) et de transférer les détenues à l’établissement de détention Leclerc de Laval (EDLL), surtout dans le contexte de surpopulation carcérale qui existe depuis plusieurs années et ne cesse de s’amplifier.

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