Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Initiations à l’UdeM : «Tu te sens presque obligée» de te déshabiller


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Des étudiantes en droit à l’Université de Montréal se sont senties «presque obligé[es]» de se déshabiller pendant les récentes initiations de la prestigieuse faculté, selon le journal des étudiants en droit, Le Pigeon dissident, qui décrit des événements hypersexualisés perpétuant «la culture du viol». Dans un témoignage et un texte collectif de la rédaction publiés cette semaine, on dénonce une ambiance qui encourage «plusieurs étudiants à accepter de poser ou de subir des comportements sexuels déplacés» et à entonner «des chansons dégradantes» qui transforment «la femme» en «vulgaire objet, facile et docile, utile et bonne uniquement à amuser des phallus».